Un bandit armé de grand chémin qui s'est habillé, en tenu civile, a été mis en déroute par les gens qui ont sécouri, l'un de leurs, à Oicha : D'après les témoignages de Adirodu-Roger, ce hors la loi, a voulu emporter, le matelas sans succès, chez Mr Adirodu-Roger, dans les heures nocturne, à Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, précisement, dans le quartier MAMBABEKA, situé au Nord-Est d'Oicha : À tout mes ami-es internautes ; Je vous informe que, vers 21h locale de chez nous, j'ai été visité, par un homme munis d'une arme à feu, avec un long couteau. À ce sujet, le bandit a surpris, mes fils dans leurs Chambre on ne sait pas si c'est par quel moyen, cet homme armé, a accèdé, dans la maison alors il était déjà fait sortir le matelas de mes deux enfants garçons, qu'il voulait l'emporté, pendant que, nous étions en plein sommeil. Et après nos cries de plus en haute voix, les voisins sont vennue, pour voir ce qui s'est passe dans la parcelle de leurs collègue, et ensuite l'incivique apris la fuite dans les avenues, et donc le Dieu tout puissant nous a protègé contre un actes de térrorisme en cours, dans la région de Beni, situé dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, précisement, au Nord-Kivu, en proie d'insécurité grandissante qui s'enrégistre contre les civils ce dernier victimes des massacres, vols, incendies, abandons des maisons d'habitations pour cause, de ne plus être les victimes des prophètes des malheurs qui nous suivent en tout moment, et qui nous poussent à vivre dans des clandestinités, donc pour nous c'est difficile de comprendre à ce niveau peut être c'est la fin du monde en se référant, de quelques versets Biblique dans l'appocalypse :

À Oicha, des sources sur place indiquent que ces actes sont perpétrés par des militaires FARDC en attente de leur relève annoncée depuis un certain temps mais qui tarde à matérialiser, au point que certains observateurs pensent qu’il s’agit là d’une nouvelle stratégie des occupants de lâcher la horde des militaires impayés contre les civils.
Dans le passé, les suspects des gens armés ont été aperçu à Oicha.
En conséquence de cette insécurité entretenue par les agents dits de l’ordre ou de securité, la population d’Oïcha est contrainte de dormir aux mêmes heures que les animaux de la basse-cour. Malheureusement, dormir tôt n’est pas la solution car les militaires Fardc munis de kalachnikovs ou d’armes AK47 pourchassent leurs victimes jusque dans leurs chambres à coucher à n’importe quelle heure de la nuit ou de la journée pour les piller de tous leurs biens.
Pas plus tard que la nuit d'un certain samedi à dimanche 06 février courant, Monsieur JARGIE, habitant du Quartier PAKANZA a été parmi les cibles des militaires Fardc. Ces derniers ont tiré plus de quinze balles sur les portes et fenêtres de sa maison pour accéder à sa chambre à coucher. Sous l’effet des balles, JARGIE qui survécu aux balles parce que coucher par terre remis 150 US$, toutes les téléphones portables des habitants de sa maison, à ses bourreaux. Avant de quitter le lieu du crime, ces militaires détruisirent ses meubles et ustensiles de cuisine par des coups de balles. À part la recherche de l’argent et des biens de valeur, les militaires Fardc démontraient ainsi qu’ils ont aussi une mission de détruire ou d’anéantir les rescapés de leurs attaques.
Dans la même nuit, au Quartier Oïcha 1er, le Superviseur de la Zone de Santé d’Oïcha a été visité par des militaires Fardc qui ont troublé la quiétude de tous ses voisins. Au Quartier BAKAHEKU, le fils du magasinier de l’Hôpital Général de Référence d’Oïcha était aussi attaqué presqu’en même temps. Des téléphones et de l’argent ont été emportés sans aucune résistance de la part de victimes.
«Les exactions des miliciens, et certains millitaires Fardc, ne seront pas impunies. Ils devront être sanctionnés conformément à la loi», a indiqué le président de la république, lors de son discours dévant le congrès, le mercredi, 05 Avril 2017, à Kinshasa.
La dégradation de l’environnement sécuritaire qui prévaut, après une accalmie, a non seulement des conséquences néfastes pour les populations civiles, surtout n’épargne aucun secteur de la vie.
Les populations de toutes ces localités victimes de conflits armés devenus cycliques, n’aspirent qu’au retour d’une paix durable. Un défi auquel les troupes gouvernementales doivent coûte que coûte relever pour redonner de l’espoir à tous ces milliers des Congolais.
La région de Beni, est réputée par une insécurité qui a coûté la vie à des centaines de personnes dépuis quelques années, œuvre des ADF-NALU.
Pour sa part, la Coordination de la Société Civile du Territoire de Beni qui déplore cette situation note que la Cité d’Oïcha fait face à une sur-militarisation qui ne s’explique pas. Le retard de la relève militaire ne justifie pas à lui tout seul la recrudescence de l’insécurité étant donné que les troupes devant partir et celles qui arrivent pour la relève sont toutes les deux commandées.
La fois passé, le Président de la Société Civile Territoire de Beni, àl'époque Omar’ KAVOTA, en appellait à l’implication de la hiérarchie militaire pour prendre leurs responsabilités en main afin d’épargner la vie des innocents des quartiers/Cellules tels MUVINGI, MALIOBU, KABAMBI au Quartier MASOSI, NTWANI au Quartier PAKANZA, etc...
L’insécurité dans laquelle est plongé depuis plusieurs années déjà le territoire de Beni, c’est connu de tous, est entretenue par des rebelles ougandais de l’Alliance des forces démocratiques (ADF).
D’ailleurs l’actualité dans la province du Nord-Kivu reste marquée par des activités militaires en cours menées par des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), visant justement à lutter contre la recrudescence de l’activisme des groupes armés dont les ADF à Beni et dans d’autres territoires.
Dans plusieurs localités du territoire de Beni, particulièrement sur l’axe Beni-Oicha, la détérioration du climat sécuritaire affecte gravement le cours normal des activités. En fait, la situation sécuritaire constitue, un vrai casse-tête pour les populations au Nord de Beni.
Dans les procès en cours contre les ADF, en Ville de Beni, BAMUKOKA SAA-MBILI ROGER de nouveau charger, il à ete en 2013 dans un camps ADF pour voir et déposer un montant de 15000$ à JAMIL MUKULU selon Geofrey ALI l'un des gardes proches du Chef ADF. En réaction Bamukoka chef de la cheferie de Watalinga parle d'un complot contre lui et une main noir dernière son dossier qui à corps et à cris veut l'impliquer dans les ADF.
En Lubero : Le Village de Kasugho 'est vidée de ses habitants civils, et ce sont, des coups de balle contre mur entre Mai Mai mazembe et l'armée.

Commentaires