Un combat farouche a eu lieu, le vendredi 31 mars 2017, entre les millitaires Fardc, et un groupe des miliciens Maï-Maï, précisement, au village de kasugho, situé au Sud de du térritoire de Lubero, province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : En cette même occasion, des affrontements entre Mai mai et Fardc, font fait rage dans cette localité. Toute la population en débandade d'où la plus part d'entre eux, ont fui, depuis cet après-midi. Kasugho est situé à 50km au Sud est de lubero en chefferie de batangi, groupement musindi, village bas musindi. Dernièrement, mr Gloire Mumbere tuée par balles, 45 boutiques et 15 pharmacies pillées, des ménages dévalisés, et plusieurs personnes poussées à l’exode, tel été le bilan d’une incursion des éléments de Nduma Defense of Congo (NDC) du maï-maï TCHEKA mardi 16 septembre 2014 à Bunyatenge, village situé à l’extrême Sud-ouest du territoire de Lubero, Chefferie des Batangi, Groupement Musindi, Localité Mwanza, au Nord-Kivu/RDC. À titre de rappel, Bunyatenge est une entité sous contrôle des maï-maï du Général autoproclamé Sikuli Lafontaine où un jour, le TCHEKA et ses éléments sont entrés dans ce village à 8 heures 15 minutes, à provenance de Mulamba (Majengo), Groupement Luongo, Chefferie des Bamate, Territoire de Lubero. Ils ont d’abord crépité des balles à l’entrée du village. N’ayant trouvé aucune résistance, ils sont alors entrés librement. A 10h35, ils tiennent un meeting populaire. « Nous avons besoin de 10 milles dollars américains. Nous sortirons d’ici quand vous nous les aurez donnés » ont-ils renseigné. C’est ainsi qu’ils se sont positionné dans les coins stratégiques du village pour éviter que les gens sortent avec des biens. SITUATION GEOGRAPHIQUE Notre milieu d'étude est Kasugho, une contrée située en localité Bas - Musindi, groupement Musindi, chefferie des Batangi, territoire de Lubero, province du Nord Kivu en République Démocratique du Congo. Les coordonnées géographiques suivantes représentent certains points remarquables : v S00°13'09.0'' ; E 028°59'21.2'' ; Alt. 1259 m pour Vusigha (basse altitude) v S 00°16'45.5'' ; E 029°01'19.0'' ; Alt. : 2018 m pour Katoyo/Mulinde (haute altitude) Les autres endroits sont localisés entre les coordonnées ci-dessus. II.1.1. Relief Le relief de Kasugho présente une diversité des formes : collines, montagnes y sont remarquables. Du côté Est, on trouve la chaîne de montagnes Katoyo avec des altitudes allant même jusque 2100 m. Elle s'étend légèrement vers le Sud à Bughere et Katendere. Plusieurs autres montagnes et collines colorent le milieu notamment Mulinde, Bulibuli,... Vers l'Ouest, on observe des surfaces en majorité planes (Vusigha) avec des petites collines ayant des altitudes parfois inférieures à 1100 m. II.1.2. Climat Le climat de Kasugho est jusqu'aujourd'hui mal connu car moins étudié. Cependant, en nous basant sur la position de cette contrée par rapport à l'Equateur, nous concluons qu'un climat équatorial y règne. Il est influencé soit par les montagnes ou par les plaines. Une alternance de deux saisons difficilement séparables est observée : la saison de pluie (la plus longue) et la saison sèche. La température ressentie varie avec l'altitude et la pluviosité. II.1.3. Sol et hydrographie Selon la carte des sols d'Afrique (d'après D'HOORE, 1964 cité par MALAISE, 1997), les principaux sols rencontrés à l'Est de la RDC sont férralitiques. Ce sont souvent des sols profonds dont les horizons sont peu différenciés avec des transactions diffuses et graduelles. Il en est de même pour Kasugho dont les sols ont une texture à apparence argilo - sablonneuse avec une fertilité importante. Le sous - sol est apprécié à certains endroits pour ses potentialités en minerais qui sont d'ailleurs exploités artisanalement par la population locale dans certaines carrières. Quant à l'hydrographie, plusieurs ruisseaux et ruisselets sont signalés dans beaucoup de vallées. On peut citer Lwati, Lulemo,... qui alimentent l'unique grande rivière de la contrée appelée Musumumbu. II.2. SITUATION ECOLOGIQUE Il est difficile de se faire une idée exacte, à l'heure actuelle, de la richesse floristique et faunique de Kasugho. Généralement, plusieurs formations végétales sont rencontrées. Il s'agit : Ø Des forêts secondaires vieilles àSyzygium guineense, Beilschmedia sp, Ocotea usambarensis,... Ø Des forêts secondaires jeunesàMacaranga spinosa, Musanga cecropioides, Harungana madagascariensis,... Ø Des jachères et terrains savanicolesavecTriumfetta cordifolia, Pteridium aquilinum, Pennisetum purpurem,... Ø Des champs récemment abandonnésdominés par des espèces commeBidens pilosa, Galinsoga ciliata, G. parviflora, Polygonum nepalenseet beaucoup d'autres adventices surtout les Asteraceae et les Poaceae. Concernant les animaux, on note quelques espèces de primates commeCercopithecus ascanius, C. mitis, Pan troglodytes,...,plusieurs espèces de Muridae (Ex. :Lemniscomys striatus,...)sans oublier les oiseaux et les chiroptères.
Mais selon le gouverneur dela province la fois passé, la restauration de l’Autorité de l’Etat reste une priorité, dans cette zone jadis en proie aux groupes armés. À lui d'ajouté que, ‘’ nous ne voulons plus la guerre’’. C'est sur ce ton que Julien a formulé, son appel à tous les groupes armés encore réfractaires à ce processus dans la région à fumer le calumet de la paix, se joindre aux différents projets de développement déjà amorcés par le Gouvernement provincial du Nord-Kivu et de se les approprier.
Après avoir écouté plusieurs doléances des populations de KASUGHO, Julien Paluku a mis sur la table cinq mille dollars Américain (5.000 USD) pour l’achat d’un cimetière afin d’honorer les morts.
Un autre village qui a accueilli le Gouverneur de Province, c’est KAHERI à près de 30 km de Lubero. Ici, des populations nostalgiques ont reçu le message de paix du Gouverneur Julien Paluku qui a répondu favorablement aux préoccupations de ces habitants.
Des tôles pour des écoles de KAHERI emportées par des ouragans, des ponts qui s’évertuent en obstacle sur la route LUBERO-KASUGHO seront construits par le Gouvernement provincial aux populations de KAHERI a-t-il conclu.
Del'autre conté du térritoire de Masisi ; Cette entité est maintenant, à 91% des électeurs attendus. Il est avec le territoire de BENI en deçà des statistiques voulues et attendues des autorités du Nord-Kivu. C’est ainsi qu’après BENI mercredi et jeudi, JULIEN PALUKU était dans le groupement de KAMURONZA où il a visité deux centres d’enrôlement et identification des électeurs dans le groupement KAMURONZA et un centre dans le MUVUNISHANGA. A part cette sensibilisationpour l’enrôlement dans le MASISI où le dernier centre devra fermer à la deuxième moitié du mois d’avril, il y a d’autres problèmes sécuritaires et des tracasseries policières et militaires sur des barrières internes illégales auxquelles les autorités doivent se pencher. L’honorable ABDOUL PILIPILI, élu de MASISI résidant à SAKE a accompagné le gouverneur JULIEN PALUKU avec d’autres autorités coutumières dans cette itinérance de suivi du processus d’enrôlement.
À Oicha chef lieu du térritoire de Beni : suite àl'arrestation de quatre personnes par le service de renseignement millitaire dela Garnison de Butembo-Beni le mercredi 29 mars dernier. Dans ce dossier, ils sont soupçonnés, de collaborer avec les Maï Maï, à partir cette aglomération ; À ce sujet, un membre dela société civile dela place a précisé que, oui, nous ne pouvons pas réclamé la paix et la sécurité dans la région de Beni tout en interdisant, les services de sécurité à faire leurs travail mais attention, nous nous insurgeons plutôt contre les violations flagrantes de toutes les procédures pour l'exécution d'arrestations. Nous disons non et encore "NON" en majuscule aux arrestations du genre d'enlèvement par les services sensés appliquer les loi de la république. Nous disons aussi, non aux arrestations qui visent à extorquer l'argent des victimes des actes pourtant contraire aux lois de la république.
Le nouveau mandat dela Monusco rénouvelé en Rdcongo : Les Nations-Unies ont adoptés à l'unanimite la Resolution 2348 renouvelant le mandat de la MONUSCO jusque mars 2018. Le mandat de la MONUSCO inclut desormais l'accompagnement de la mise en oeuvre de l'accord du 31 Decembre entre la Majorite et l'Opposition. Le CS demande au Secrétaire de lui faire rapport chaque 45 jours. Ambassadeur Kikaya et Gatha representent la RDC a la reunion. Au final les 15 pays membres du Conseil de sécurité semblent avoir trouvé un compromis. L'effectif maximum autorisé sera réduit de 3000 personnes pour passer à 16 000 environ.
Sur le terrain, cela se traduira par une baisse d'un peu moins de mille casques bleus, sachant que 16 893 soldats sont effectivement en RDC. Un compromis qui devrait également satisfaire les autorités congolaises. Kinshasa plaide depuis des semaines pour une réduction des troupes, trop peu efficaces selon elle face à des groupes armés ou des conflits ethniques.
Au-delà de la protection des civils, l'autre enjeu c'est l'organisation des élections. La nouvelle résolution devrait mettre l'accent sur cet aspect. Offrir une assistance logistique mais aussi renforcer les capacités de la mission. Pour les Etats-Unis, les 19 815 casques bleus en RDC sont trop coûteux mais aussi trop peu efficaces pour que leur nombre soit maintenu tel quel. Ils voulaient que ce chiffre soit réduit à 15 000.
En face la France, qui a dirigé les négociations pour le renouvellement du mandat ces dernières semaines, a plaidé pour une réduction minimum, vue la crise politique en cours et les élections cruciales prévues d'ici la fin de l'année. La resolution a ete initiee par la France. Le Ministre des affaires de la Tanzanie Ernest Mahiga, a aussi brieffe le CS, au nom des 16 pays de la SADC, et contribue aux discussions relatives au role de la brigade integree.
Une obligation formelle de chaque année, le mandat de cette mission en RDC depuis 1999.
Après avoir écouté plusieurs doléances des populations de KASUGHO, Julien Paluku a mis sur la table cinq mille dollars Américain (5.000 USD) pour l’achat d’un cimetière afin d’honorer les morts.
Un autre village qui a accueilli le Gouverneur de Province, c’est KAHERI à près de 30 km de Lubero. Ici, des populations nostalgiques ont reçu le message de paix du Gouverneur Julien Paluku qui a répondu favorablement aux préoccupations de ces habitants.
Des tôles pour des écoles de KAHERI emportées par des ouragans, des ponts qui s’évertuent en obstacle sur la route LUBERO-KASUGHO seront construits par le Gouvernement provincial aux populations de KAHERI a-t-il conclu.
Del'autre conté du térritoire de Masisi ; Cette entité est maintenant, à 91% des électeurs attendus. Il est avec le territoire de BENI en deçà des statistiques voulues et attendues des autorités du Nord-Kivu. C’est ainsi qu’après BENI mercredi et jeudi, JULIEN PALUKU était dans le groupement de KAMURONZA où il a visité deux centres d’enrôlement et identification des électeurs dans le groupement KAMURONZA et un centre dans le MUVUNISHANGA. A part cette sensibilisationpour l’enrôlement dans le MASISI où le dernier centre devra fermer à la deuxième moitié du mois d’avril, il y a d’autres problèmes sécuritaires et des tracasseries policières et militaires sur des barrières internes illégales auxquelles les autorités doivent se pencher. L’honorable ABDOUL PILIPILI, élu de MASISI résidant à SAKE a accompagné le gouverneur JULIEN PALUKU avec d’autres autorités coutumières dans cette itinérance de suivi du processus d’enrôlement.
À Oicha chef lieu du térritoire de Beni : suite àl'arrestation de quatre personnes par le service de renseignement millitaire dela Garnison de Butembo-Beni le mercredi 29 mars dernier. Dans ce dossier, ils sont soupçonnés, de collaborer avec les Maï Maï, à partir cette aglomération ; À ce sujet, un membre dela société civile dela place a précisé que, oui, nous ne pouvons pas réclamé la paix et la sécurité dans la région de Beni tout en interdisant, les services de sécurité à faire leurs travail mais attention, nous nous insurgeons plutôt contre les violations flagrantes de toutes les procédures pour l'exécution d'arrestations. Nous disons non et encore "NON" en majuscule aux arrestations du genre d'enlèvement par les services sensés appliquer les loi de la république. Nous disons aussi, non aux arrestations qui visent à extorquer l'argent des victimes des actes pourtant contraire aux lois de la république.
Le nouveau mandat dela Monusco rénouvelé en Rdcongo : Les Nations-Unies ont adoptés à l'unanimite la Resolution 2348 renouvelant le mandat de la MONUSCO jusque mars 2018. Le mandat de la MONUSCO inclut desormais l'accompagnement de la mise en oeuvre de l'accord du 31 Decembre entre la Majorite et l'Opposition. Le CS demande au Secrétaire de lui faire rapport chaque 45 jours. Ambassadeur Kikaya et Gatha representent la RDC a la reunion. Au final les 15 pays membres du Conseil de sécurité semblent avoir trouvé un compromis. L'effectif maximum autorisé sera réduit de 3000 personnes pour passer à 16 000 environ.
Sur le terrain, cela se traduira par une baisse d'un peu moins de mille casques bleus, sachant que 16 893 soldats sont effectivement en RDC. Un compromis qui devrait également satisfaire les autorités congolaises. Kinshasa plaide depuis des semaines pour une réduction des troupes, trop peu efficaces selon elle face à des groupes armés ou des conflits ethniques.
Au-delà de la protection des civils, l'autre enjeu c'est l'organisation des élections. La nouvelle résolution devrait mettre l'accent sur cet aspect. Offrir une assistance logistique mais aussi renforcer les capacités de la mission. Pour les Etats-Unis, les 19 815 casques bleus en RDC sont trop coûteux mais aussi trop peu efficaces pour que leur nombre soit maintenu tel quel. Ils voulaient que ce chiffre soit réduit à 15 000.
En face la France, qui a dirigé les négociations pour le renouvellement du mandat ces dernières semaines, a plaidé pour une réduction minimum, vue la crise politique en cours et les élections cruciales prévues d'ici la fin de l'année. La resolution a ete initiee par la France. Le Ministre des affaires de la Tanzanie Ernest Mahiga, a aussi brieffe le CS, au nom des 16 pays de la SADC, et contribue aux discussions relatives au role de la brigade integree.
Une obligation formelle de chaque année, le mandat de cette mission en RDC depuis 1999.
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