Goma chef lieu dela province du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo, un cas de tuerrie a été signalé, contre un docteur d'un hôpital, dans les heures nocturne du mardi au mercredi 31 mais 2017, en cours : au dernière nouvelle dela par d'un membre dela société civile, dela place, nous avons apris que, les adultes tout collés des enfants, personnes ne se sent en sécurité. Chacun est plus ou moins persuadé qu’il peut être kidnappé ou même assassiné’ n’importe quand et n’importe où. La localité de Mwesso, dans l’extrême nord-est du territoire de Masisi, a été attaquée cette nuit, vers 23 heures. Des assaillants non autrement identifiés, munis d’armes à feu, ont fait irruption parmi les habitants, tirant dans tous les sens. Selon les sources témoins de l’événement, un médecin du nom de Deo œuvrant sur place à Mweso aurait été kidnappé, pendant que deux jeunes vendeurs des unités de communication téléphonique ont été blessés par balles. La panique s’est aussitôt emparée du milieu et la nuit a été traversée dans une incertitude totale :

Encore un cas d’assassinat dans la ville de Goma non loin de l’hôpital Bethesaida dans le Quartier Himbi.
En effet, un enfant d’au-moins 9ans récemment kidnappé par les inconnus à été retrouvé égorgés ce matin tout près de la Résidence de « tonton Hubert ». Cet enfant a été enlevé avec son aîné qui reste encore détenu par les ravisseurs dont la présence est uniquement signalée par des menaces sur les lignes téléphoniques.
La famille de la victime a reçu des SMS (messages téléphoniques) qui prévenaient les parents des deux enfants de leur assassinat imminent, au cas où la rançon exigée n’est pas versée en temps. Cette rançon étant fixée à 50.000$ dollars. Le pire a du intervenir, vu que les parents se sont trouvés dans l’impossibilité de réunir ce montant.
Il y a nécessité de signaler que bien d’autres victimes du même quartier sont sommés de payer des rançons allant d’une somme allant de 50 à 100.000 dollars américains. La situation sécuritaire générale reste préoccupante dans plusieurs axes du territoire de Masisi. De nombreux groupes armés ont fait marqué, ces jours leurs retour sur la scène des violences armées tantôt contre l’armée gouvernementale tantôt contre la paisible population civile dépourvu de tout. Par ailleurs, le secrétaire de la localité a également frôlé la mort, car les assaillants tenaient à l’assassiner.
UE: SANCTIONS II :
(Actes non législatifs)
RÈGLEMENTS
RÈGLEMENT D'EXÉCUTION (UE) 2017/904 DU CONSEIL
du 29 mai 2017 mettant en œuvre l'article 9, paragraphe 2, du règlement (CE) no 1183/2005 instituant certaines
mesures restrictives spécifiques à l'encontre des personnes agissant en violation de l'embargo sur
les armes imposé à la République démocratique du Congo
LE CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE ;
vu le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne,
vu le règlement (CE) no 1183/2005 du 18 juillet 2005 instituant certaines mesures restrictives spécifiques à l'encontre
des personnes agissant en violation de l'embargo sur les armes imposé à la République démocratique du Congo, et
notamment son article 9, paragraphe 2,
vu la proposition du haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité,
considérant ce qui suit :
(1) Le 18 juillet 2005, le Conseil a adopté le règlement (CE) no 1183/2005.
(2) Le 12 décembre 2016, le Conseil a adopté le règlement (UE) 2016/2230 (
2
) en réponse aux entraves au processus
électoral et aux violations des droits de l'homme qui y sont liées en République démocratique du Congo (RDC).
Le 6 mars 2017, le Conseil a adopté des conclusions dans lesquelles il s'est déclaré gravement préoccupé par la
situation politique en RDC provoquée par le blocage dans la mise en œuvre de l'accord politique inclusif du
31 décembre 2016, ainsi que par la situation sécuritaire dans plusieurs régions du pays, où un usage dispropor-
tionné de la force a été observé.
(3) Compte tenu de la gravité de la situation en RDC, il convient d'ajouter neuf personnes à la liste des personnes et
entités faisant l'objet de mesures restrictives qui figure à l'annexe I bis du règlement (CE) no 1183/2005.


Les volets politico-sécuritaire, socio-économique et culturel, administratif, environnemental ainsi que beaucoup d’autres questions de l’heure, étaient parmi les préoccupations sur lesquelles le Député Simon Kazungu tenait à être édifié de la bouche du Gouverneur Julien Paluku. Les députés provinciaux du Nord-Kivu ont adressé au total 289 questions au gouverneur de province dont 45 posées par l’honorable SIMON KAZUNGU, auteur de la question orale avec débat qui a inauguré la reprise des plénières de l’assemblée provinciale après 7 mois de suspension. Cette question orale avec débat portait sur la politique générale de la province mais aussi sur des questions socio-économiques et sécuritaires. L’honorable SIMON KAZUNGU a dit au sortir de cette plénière marathon que c’est la première fois que le gouverneur répond à toute une série de questions d’une manière posée et calme. Le second round de cette question orale avec débat est attendu dans le prochain jour après le moratoire accordé au gouverneur pour apporter des réponses aux questions des députés. Mais tout de même, sur le volet sécuritaire de la province, JULIEN PALUKU a révélé que dans le procès des ADF qui se déroule à BENI il y a 125 prévenus, 16 arrêts ont déjà été rendus et 56 prévenus ont déjà été condamnés, les uns à la peine capitale et d’autres à une peine de servitude pénale. Pendant près de quatre vingt minutes, l’Autorité province a répondu aux 45 sous questions détaillées lui soumises par le député Kazungu, élu de la ville de Butembo avant que seize autres députés n’enchainent avec un total de 244 questions relevant de la situation générale du Nord-Kivu. Le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku a brossé ce mardi 30 mai, la situation générale qui prévaut dans sa juridiction répondant à la question orale avec débats à lui adressée par le député provinciale Simon Muhayirwa Kazungu.

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