Après la phénomène des rébélles islamistes radicaux du groupe ADF-NALU en Beni, l'insécurité sanitaire qui s'oserve ce dernier temp vers localité de TOTOLITO sur axe routier Mbau-Kamango, alimente beaucoup d'épyscauses, au sein dela population dela place, qui ont décidés, de retournés dans leurs lieu d'habitation, dans le quel ils vivaient, après une accalmie qui s'observe en ce jours, dépuis la fin del'année 2016, à nos jours, ou l'instabilité social des habitants été en danger, aux mains des inciviques des ADF-NALU, dépuis 2010, surtout dans la partie Est de térritoire de Beni en République Démocratique du Congo, province du Nord-Kivu, pose problème dans cette aire de santé de TOTOILITO située en territoire de Beni dans le grand Nord-Kivu. Aucune structure sanitaire n'y est fonctionnelle depuis 2013 à en croire Kasereka MBURA Président du conseil des jeunes sur l’axe Mbau-Kamango, qui plaide pour la reprise des activités dans les institutions sanitaires de cette partie du Territoire de Beni. Dans son dernier entretien avec Radio Moto Oicha, cet animateur de la jeunesse a expliqué que cette situation était causée par des tueries, kidnappings et pillages qui y ont été reportées depuis cette année 2013. En effet, ajout-t-il, les présumés ADF s’étaient rendus titulaires dans la zone. Depuis 2014, la plupart de ceux qui avaient fui craignant pour leur sécurité sont déjà retournés cette zone. Aujourd'hui, ils éprouvent d’énormes difficultés pour se faire soigner, rapportent nos confrères de Radio Moto Oicha informant que les uns se dirigent à Mbau et les autres à Oicha pour accéder aux soins :

Face à ce qui s'est passé, dans la localité de TOTOLITO, dans la région beni, il est temps qu’on redéfinisse la Stratégie par rapport à la sécurisation des Civils et leurs localités : Kasereka MBURA en appelle en même temps à l’implication de l’administrateur du territoire de Beni et du médecin chef de zone de santé rurale d’Oicha pour que les soins de santé redeviennent accessibles dans la zone.
Pour rappel, il y a quelques années que plusieurs habitants du territoire de Beni avaient abandonné leurs localités à cause de l’insécurité qui y sévit. Par exemple, toutes les activités sont presque à l’arrêt sur l’axe Mbau-Kamango. Des sources locales vont jusqu'à parler des villages fantômes pour désigner certains milieux comme KISIKIZI, MUKOKO, KISIKI, KOKOLA,TUNGUDU, LINZO-SISENE et OPIRA où l’on ne signale aucune présence humaine. Beni : Aucune structure sanitaire n'est fonctionnelle à TOTOLITO depuis 2013 ;
ALERTE À BURUSI, territoire de Beni, on a un groupe de maimai qui etait venu vers Nguli. Ceux ci le dimanche etaient venu s'abattre à 11h00 contre les gardes parc du mont kyavirimu dont ils ont blessé un garde parc au genou. Ce dernier suit de soin au centre de sante de referance BURUSI. Après cet affrontement ils etaient retournés jusqu'à kitolu ou ils campent. Maintenant ce mercredi nos elements FARDC minuent des gros armes à feu sont deployés à Burusi ou ils tirent des coups de balls qu'ils dirigent dans le PN de virunga. Ca fait 19h00, la population locale et des villages environnants comme vusigha, muramba, bulambo, kabeka, vikuku viennent abandonné leurs maisons craigant la suite car les balls crepitent le moment sans repos.
Procès des présumés collaborateurs des ADF Reprend avec à la Barre l'Administrateur du Territoire de Beni AMIS KALONDA BERNARD en qualité de renseignant à charge ou à décharge du Mwami BOROSSO D'Eringeti.
Journée mondiale de la presse : les journalistes de Beni appelés à prévenir les conflits
Les journalistes de la ville et du territoire de Beni sont appelés à prévenir les conflits fonciers que de parler de leurs conséquences.
Appel lancé, mercredi 3 mai 2017, par le chef des travaux Innocent Bora Uzima, secrétaire général académique de l’Université Chrétienne Bilingue du Congo et coordonateur des sciences de l’information et de la communication à cette institution. Selon Reporters sans frontières, ce classement 2017 de la liberté de la presse « est marqué par la banalisation des attaques contre les médias et le triomphe d’hommes forts qui font basculer le monde à l’ère de la post-vérité, de la propagande et de la répression, notamment dans les démocraties ».
«L’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis et la campagne du Brexit au Royaume-Uni ont offert une caisse de résonance au « médias bashing », aux discours anti-médias fortement toxiques», note RSF. Ainsi les Etats-Unis (43e) et le Royaume-Uni (40e) reculent de deux rangs.
En Afrique, Reporters sans frontières regrette que couper l’internet soit devenu «une habitude au moment des élections et des mouvements sociaux».
Aux première places de ce classementfigurent les pays scandinaves (Norvège, Suède, Finlande, Danemark) et aux dernières le Turkménistan, l'Erythrée et la Corée du Nord. C’était à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse. Pour lui, les conflits fonciers sont à la base de l’existence des plusieurs groupes armés autour de Beni.
Le chef des travaux Innocent Bora Uzima appelle les médias à intégrer sur leurs grilles, des programmes qui traitent des questions foncières.
Toujours dans le cadre de cette journée, sachez quedans le classement 2017 de la liberté de la presse publié par Reporters sans frontières (RSF), la RDC occupe la 154e place sur 180 pays, deux rangs de moins que l’année précédente où elle avait déjà chuté de deux places. En deux ans, la RDC rétrograde ainsi de quatre rangs.
Les épreuves hors-session de l’examen d’Etat, éditions 2016-2017 ont débuté ce mardi 2 mai 2017 sur toute l’étendue du territoire national. Dans la Sous-division d’Oicha, l’ouverture officielle de la male contenant les cahiers d’items a eu lieu à l’institut Nduani. C’était en présence de l’administrateur de Beni, Bernard Amisi Kalonda, des responsables de la sous-division de l’enseignement primaire, secondaire et professionnel et du chef de l’agence nationale de renseignement (ANR) en territoire de Beni. Pour sa part, l’administrateur de Beni, Amisi Kalonda a demandé aux finalistes de verser les frais de participation. «Tous les finalistes seront admis à ces épreuves, même sans avoir versé les frais mais allez demander à vos parents de verser ces frais avant le début de la session ordinaire parce que lors de la session ordinaire on va vous chasser », prévient Amisi Kalonda
Plus de 1 600 finalistes du secondaire passent ces épreuves en sous-division éducationnelle d’Oicha. Ils sont repartis dans 5 centres notamment aux instituts Oicha, Moera de Mbau, Mabalako, Nduani et Mangina.

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