Avec un plat de référendum toujours en cours, en République Démocratique du Congo, que ce qui va se passer, encore entre la plus part des acteurs politique d'opposition, et celle dela majorité, qui ne parlent pas, les mêmes louanges dépuis des années. Dès lors, enttendons voir de plus ! Pendant ce temp là, l’idée resurgie de nouveau au niveau de la Majorité présidentielle. Certaines voix s’élèvent au sein de la famille politique du chef de l’État pour réclamer la tenue d »un référendum. Et pourtant, ce schéma est mal perçu par certains qui ne jure que par la tenue des élections surtout la présidentielle d’ici décembre 2017. Ainsi, le mouvement citoyen Compte à rebours a lancé samedi dernier une vaste campagne de sensibilisation pour mettre en garde contre une telle initiative et contraindre les adeptes d’un référendum à y renoncer. Pour ce faire, ce mouvement citoyen compte recourir à tous les moyens légaux et pacifiques pour dire non à un référendum et exiger un processus électoral apaisé avec une présidentielle sans Joseph Kabila. Dans un premier temps, des banderoles ont été placées dans les différents carrefours et coins de Goma relayant ce message disant Non à l’organisation d’un référendum au pays :

Pour le mouvement citoyen Compte à rebours, Goma et le Nord- Kivu ne sont qu’une première étape d’une campagne qu’il compte étendre sur toute l’étendue du territoire national.
Compte à rebours exige aussi la publication d’un calendrier électoral. « Non au projet de référendum de la Majorité présidentielle », nouvelle campagne de sensibilisation initiée par le mouvement citoyen Compte à rebours.
En outre, les sociétés civiles de l’Ituri, du Sud-Kivu et celle de Goma, lancent un gris d’alarme afin que, les autres Etats de la Conférence Internationale sur la Région des Grands-Lacs respectent les engagements de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba. Signé depuis quatre ans, seule la RDC reste victime de la circulation des groupes armés dans la région. Les sociétés civiles font ainsi pression en invitant la RDC de se retirer carrément de la CIRDGL si ledit Accord Cadre d’Addis-Abeba n’est pas respecté par les autres Etats. Le vice-gouverneur Maitre Feller Lutaichirwa qui a clôturé l’atelier de deux jours d’évaluation dudit Accord Cadre a mis un bémol sur les déclarations des sociétés civiles en demandant au Mécanisme National ‘’Congolais’’.
Qui sont réellement les populations Hutus qui s’obstinent a partir en Ituri pour cultiver les champs en menaçant l’autorité provinciale allant jusques a appeler a la balkanisation du Nord-Kivu ? La question reste posée car le gouverneur Julien Paluku a révélé samedi qu’il a appelé les administrateurs du territoire de Masisi, le titulaire et son adjoint ne sont pas a mesure de précisé quels sont les villages qui se sont vidés de ses habitants qui partent en masse a Boga dans le territoire d’Irumu dans la province de l’Ituri. Julien Paluku insiste et tape du point sur la table en se posant trois grandes questions. Au Nord-Kivu il y a 199.097 réfugiés rwandais qu’il faut séparer des populations Congolaises parlant la même langue. En plus, le gouverneur du Nord-Kivu ne voit pas un seul député qui a besoin d’électeurs les pousser a quitter la province pendant qu’il faut se faire élire. Rappelons que Julien Paluku vient d’annoncer depuis samedi qu’il y aura une identification de nos compatriotes du Nord-Kivu se trouvant déjà en Ituri pour y cultiver les champs afin de lutter contre toute globalisation. Disons tout simplement en paraphrasant le gouverneur de province que les Administrateursde Territoire de Masisi n’en savent rien de ces déplacements. Dans une déclaration faite ce lundi 22 mai 2017, les parlementaires de la province de l’Ituri disent non à la balkanisation de la RDC en se servant de leur province comme élément déclencheur. Les députés nationaux, membres du caucus parlementaires de la province de l’Ituri, s’opposent à la nouvelle vague de migration «massive et incontrôlée» des Hutus-rwandais en provenance du Nord-Kivu, vers l’Ituri. Les députés de l’Ituri s’opposent à la migration des Hutus vers leur province
Les députés nationaux, membres du caucus parlementaires de la province de l’Ituri, s’opposent à la nouvelle vague de migration «massive et incontrôlée» des Hutus-rwandais en provenance du Nord-Kivu,... Vingt-deux activistes des droits de l’homme, des autorités politico-administratives et des membres de la société civile ont pris part du 16 au 17 mai à une formation de deux jours sur les droits humains dans la salle de conférence de la MONUSCO à Bunia. Pour le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH), qui a organisé cette formation, il s’agit de renforcer la capacité des participants en matière des droits de l’Homme. Notamment d'améliorer les capacités de plaidoyer, de suivi et de déclaration des activistes des violations des droits de l’homme et du droit international humanitaire. Ces derniers viennent des territoires de Djugu, d’Irumu et de Mambasa où l’organisateur estime que plusieurs exactions et violations des droits de l’Homme sont régulièrement perpétrées par des éléments appartenant à différents groupes armés mais aussi des forces de défense et de sécurité nationale. Différentes sections du cluster protection de la MONUSCO ont pris part à cette formation, notamment les sections de la protection de l’enfant, des affaires civiles, du genre et des affaires politiques. Les thèmes comme les droits fondamentaux dans le contexte électoral, la protection des enfants en période de conflit, les droits de l’Homme dans la constitution de la RDC et un aperçu de la situation des droits de l’homme dans la Province de l’Ituri ont été abordés.
Le porte-parole de la MONUSCO renvoyé de Kinshasa pour un problème « administratif »
Le porte-parole de la mission des Nations-Unies pour la stabilisation en RDC (Monusco) a été renvoyé lundi 22 mai 2017 de l’aéroport international de Ndjili (Kinshasa) pour un... Le porte-parole de la mission des Nations-Unies pour la stabilisation en RDC (Monusco) a été renvoyé lundi 22 mai 2017 de l’aéroport international de Ndjili (Kinshasa) pour un problème de permis de séjour , a appris ACTUALITE.CD de sources concordantes.

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