Ce dernier temp, la partie Est dela République Démocratique du Congo, est toujours en proie, de stabilité des vies social, dela plus part des habitants civils : Avec l'événements malheureux qui se sont produi, dans la journée du vendredi dernier, 26 mai 2017 à WALUNGU l'une d'agglomération dela provincece du Sud-Kivu : Aujourd' hui, la présence des plusieurs groupes armés au Sud-Kivu, et Nord-Kivu, constitue des dangers, pour la population victimes des tuerries, enlèvements, pillages, et autres. Après une alerte de kidnaping dela part des miliciens maï maï qui ont tendu, une embuscade d'enlèvement contre un groupe des personnes au Sud-Kivu, un citoyen blanc dela nationalité française, qui été parmi les victimes des actes des inciviques, a été libéré, lundi trois jours après son enlèvement, par des hommes armés, appartenant à un groupe d'autodéfense dans l'Est de la République démocratique du Congo, a-t-on appris de source officielle. Dans la même régistre, un capitaine des FARDC (Forces armées de la RDC) "qui était enlevé en même temps, que lui et une trentaine de civils, ont également été libérés : Le Français "enlevé vendredi à 11H00 (10H00 GMT) dans le secteur de Mwenga par des Maï-Maï Raïa Mutomboki, a été libéré ce lundi soir après des tractations avec ses ravisseurs et sans versement d'une caution", a déclaré Dominique Bofondo, administrateur du territoire de Walungu dans le Sud-Kivu (Est) interrogé depuis Kinshasa par l'AFP. "Il travaillait dans la région pour une organisation américaine spécialisée dans le secteur de l'environnement", a indiqué à l'AFP une source à l'ambassade de France à Kinshasa :

L'Est congolais, constellé de groupes armés nationaux et étrangers, est déchiré par plus de vingt ans de conflits armés, alimentés par des différends ethniques et fonciers, la concurrence pour le contrôle des ressources minières de la région et des rivalités entre puissances régionales.
Les enlèvements d'humanitaires et d'autres Congolais sont fréquents dans la région. Mais le chef d'antenne adjoint de l'Institut congolais de la conservation de la nature (ICCN) a malheureusement trouvé la mort lors de cette embuscade", a ajouté M. Bofondo.
Après une intervention de l'armée vendredi, "une trentaine de personnes kidnappées ont été libérées à l'exception de l'officier et du Français", a-t-il expliqué.
La faction des Maï-Maï Raïa-Mutomboki, miliciens d'un groupe local d'autodéfense qui ont détenu le Français et l'officier, est basée à Walungu, territoire situé à 60 km au Sud-Ouest de Bukavu, capitale du Sud-Kivu (est).
Les Maï-Maï sont des groupes "d’autodéfense" constitués sur une base essentiellement ethnique. Pendant la deuxième guerre du Congo (1998-2003), nombre de ces groupes ont été armés par le pouvoir pour combattre les envahisseurs ougandais ou rwandais. Certains n’ont jamais désarmé.
Revenons sur Félix. Arrivé à Bruxelles à la tête d’une « très forte délégation », c’est-à-dire le directoire entier de sa coalition, l’opposant congolais s’est retrouvé face à une hostilité un peu plus étrange. En effet, alors que les capitales européennes peuplées des congolais de la Diaspora ont toujours été funestes au pouvoir, « deux à trois » de ceux que l’on appelle affectueusement « combattants » ont voulu s’interposer devant de « collabos ». En d’autres termes, la bande à Moïse Katumbi besognerait pour Joseph Kabila.
J'étais à Paris pr féliciter le nouveau Président français.Pas pr être à une réunion qui aurait été perturbée par des pseudo combattants. pic.twitter.com/FMTQdVCGtQ
— Félix A. Tshisekedi (@fatshi13) May 8, 2017
Ni Félix Tshisekedi, encore moins Moïse Katumbi ne seront vus à la conférence de presse prévue. Dans la foulée, la tournée s’est retournée. Aucune réception officielle, pas même une réunion prévue à Paris où, encore une fois, « deux à trois » combattants ont déclaré les opposants » personæ non gratæ « .
Pour corriger le tir, Félix Tshiskedi a eu l’ingénieuse idée de s’inviter à la célébration d’Emmanuel Macron, jeune comme lui, et mi- socialiste. De cette rencontre, une photo et une déclaration; qui rappellent étrangement un certain Badibanga dans son pèlerinage du même genre, cherchant désespérément à serrer les grandes mains de Donald Trump… Une question: quand est-ce que nos politique arrêteront du cinéma ?
Félix Tshisekedi, fils de son père, a mis cap vers le vieux continent la semaine dernière. Objectif: y rencontrer des « partenaires » pour « expliquer » la position des opposants dans le combat mortel qu’ils livrent contre Kabila. Au pays, le Président qui règne depuis plus de 16 ans, tout-puissant, refuse de suivre l’accord signé le 31 décembre à la lettre. Joseph Kabila y ajoute voyelles et consonnes çà et là, du moment que ça lui plaise, au détriment de la démocratie, et donc du Peuple souverain.
À Kinshasa : La Police a renforcé sa présence aux alentours de la permanence du parti. Des tirs à Limete et un camion de la Police incendié près du siège de l’UDPS
Plusieurs tirs ont été entendus ce mardi 9 mai 2017 à Limete. Un camion de la Police nationale congolaise (PNC) a été incendié près du siège de l’UDPS...
Plusieurs tirs ont été entendus ce mardi 9 mai 2017 à Limete. Un camion de la Police nationale congolaise (PNC) a été incendié près du siège de l’UDPS tôt le matin par des inconnus. L’UDPS parle déjà d’n montage « grossier dans le but de faire porter le chapeau au parti ».
D’après des sources de l’UDPS, tout est mis en œuvre pour retarder le retour de la dépouille d’Etienne Tshisekedi, prévu ce 12 mai.
Un mois après sa nomination, en RDC, le Premier Ministre Bruno Tshibala n’a toujours pas publié son gouvernement de large union, conformément à l’accord du 31 décembre. En plus d’être boudé par une partie de l’opposition, l’ancien opposant se retrouve désormais au centre d’une querelle inattendue au sein de la Majorité Présidentielle (MP). Alors que le Porte-parole de la coalition des partis au pouvoir, André Atundu, indiquait que les membres de la MP ne devraient pas quitter le gouvernement, il semble finalement que l’autorité morale, le président Joseph Kabila, en a décidé autrement.
« Le président Kabila n’est pas de cet avis. Pour le Chef de l’État, Lambert Mende, Modeste Bahati et certains anciens qui ont déjà fait longtemps dans le gouvernement devraient quitter le navire« , renseigne une source proche du Pouvoir à POLITICO.CD, affirmant que le Président congolais aurait même renvoyé le rapport de M. Tshibala à la MP avec quelques annotations.
En effet, Bruno Tshibala a rendu son rapport officiel pour la composition du gouvernement la semaine dernière au président Kabila.

Commentaires