Dans la région de MAMBASA : Les civils sont, la cible des enlèvements, dela part des inciviques appéllés localement, les « MBETENGES ou les ÉSCROTS », dans la vérsion dela langue française : d'après un membre dela société civile noyau de Babila-Babombi,qui nous a informé que, ce dernier temp, un agen d'entreprise ESCO, qui était sur une moto, a été enlévés, par des inconnus, dans la Chefferie de Babila-Babombi,en térritoire de Mambasa, au conté Sud-Ouest dela province del'ITURI, en République Démocratique du Congo. Après cet événement malheureux, les gens qui été de passage sur le lieu d'enlèvement, ont vu la moto abandonnée, sur place avec les signes des bottes qui été visible le long dela route de Babila-Babombi,àl'entrée des plusieurs coins dela forêt, ou ils amènent souvent, les gens enlevés, comme d'habitude, dépuis un certains temp. Donc une fois vous tombez, dans leurs pièges, de ces hors la loi, exigent une grande sommes des dollards avant de vous laisser, partir ce qui alimente des pyscauses au sein des habitants. Au dernière nouvelle, face à cette situation, nous avons apris que, la plus part des gens vivant dans ce coin, disent veulent se prendre en charge, en créant des groupes d'auto-défencespopulaire dans l'objectif de contrer, les BROUHAHA, qui pratiquent des busines des kidnapings. En tant que victimes de ces actes d'éscrots, si vous avez un téléphone, ils commencent directement, à envoyer, des messages, aux numéros des votre conréspondants,enrégistré dans votre apareil mobile des communications,en disant que, le propriétaire de ce munéros, a été porté disparu. À ce stade des crimes graves contre l'humanité, une fois de tel message entre dans un téléphone d'un quelqun, s'est solde autrement, par des paniques au sein des ami-es, et collègues des différents services. Alors jusque présent, les membres dela famille du victime du dernier barbarie, ne savent pas là où se trouve l'un de leurs qui est toujours au mains de ravisseurs qui sont présent, dans cette contrée, où la population est en débandade àla base, ils ont peur, d'être victimes des plusieurs cas, des kidnaping qui sont enrégistrées d'ici et là, dans plusieurs villages de cette entité coutumière, en proie des actes des térroristes pointés du doit accusateurs, comme les auteurs des malheurs contre les pauvres civils, qui abandonnent leurs maisons d'habitations, suite àl'insécurité grandissante à répétion, de plus en plus, en ce jours. Paralleurs dans la Chefferie de Walendu-Bindi, comme l'actualité nous oblige, en vérifiant encore cette information de plus, dela part de mes ami-es internautes de Walendu-Bindi, vivant dans cette partie, ou un collègue vient de publié sur son compte Facebook que, un nouvelle vague d'insécurité, est àla porte dela Chefferie de Walendu, en generale, précisement dans le groupement Boloma en particulier, situé en térritoire d'IRUMU, province del'Ituri, en République Démocratique du Congo. En effet, un groupe des jeunes sont poursuivu, par le parquet de Gety chef lieu du Sécteur de Walendu-Bindi. Àla base, le dossier sur le sacage de sous-commissariat dela police d'Aveba, il y a de cela deux semaines passees, ou la plus part des garçons menancent de regagner le maquis. des sources anonymes precises que, les uns se munissent deja des armes blanches comme la lance et les flèches pour se defendre à cas d'une attaque ; les autres parlent de nouvel échauffouré avant le large. L'appel vibrant s'adresse aux autorités pour vite s'interferer, avant ke les mal ne deviennent pire. pour rappel, le sous-commissariat d' Aveba, etait visé et saccagé par ces jeunes, après qu'un policler ait tiré, à bout portant, sur un jeune àla poitrine à cause dela manque de carte d'electeur. À faite le groupe veulent revendiquer le sort de leurs camarade, tué la fois passé, lors de cet événement malheureux :

Pour quelle cause Peke Kalyaki est en prison ? Oui mais après la mort de Akobhi Tsomi qui été le chef, des INDRU àl'époque, un climat des tensions s'observe de part et d'autres, dela part des jeunes diplômés, dépuis long temp, sur toute étendu, de Walendu-Bindi, peut être dans l'objectif de diviser la seul colléctivité de Walendu-Bindi, à cinq : Alors l'ancien chef du sécteur de Walendu-Bindi connu sous le nom de Olivier Peke Kalyaki a été arrêté à Gety, chef lieu dela colléctivité, selon un amie internaute qui se trouve sur place à Gety qui précise que, actualité de la cheférie est dominée, par l'arrestation de chef coutimier olivier kaliaki au prison central de bunia ce mardi 09 mai 2017, dont la cause reste inconnue or qu'il devait regagner son le lundi après sa suspension de 3 mois.
Mais dernier temp, les agents de l’état et, les autorités coutumières de la collectivité de Walendu Bindi au sud d’Irumu, étaient la cible d’attaque de miliciens de la Force de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI) dépuis, l'année dernière a indiqué le chef de cette entité.
Dans le passé, les agents de l’état ne sont pas libres de tout mouvement, dans la chefferie de Walendu Bindi. Même aujourd' hui, la plus part d'entre eux, ont peur de tomber, dans l’embuscade des miliciens de la FRPI, disséminés, la fois passé, en petits groupes de part est d'autres, dans la région, rapporte la même source. L’insécurité créée principalement par des hommes lourdement armés, à la peau dure au Sud du territoire d’Irumu, dans la province de l’Ituri, dans l'extrêmement Nord-Est dela République Démocratique du Congo, d' où la protection des civils demeure une préoccupation majeure selon U.N. Depuis le début de l’année des milliers de personnes, et par ricochet des travailleurs humanitaires, font face à un climat sécuritaire délétère. Face à cette situation observée malheureusement, dans plusieurs localités de la province de l’Ituri, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) appuyées, par celles de la mission onusienne en RDC, maintiennent la pression militaire sur différents groupes armés en vue, dans le but de lutter efficacement contre leurs activités négatives et d’assurer une protection optimale des populations civiles.
Ces derniers jours des incidents liés aux meurtres, pillages, traitements inhumains et viols, perpétrés par des éléments réfractaires du Front de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI) contre les populations civiles, ont été rapportés notamment dans le territoire d’Irumu. Cette situation a pour conséquence la paralysie de l’administration publique dans la zone. «Le peu que nous récoltons nous permet de payer les agents et sert pour le fonctionnent du bureau. Comme les agents ne circulent pas, ça paralyse l’administration», indiquait Olivier Peke kaliaki. Cette situation a pour conséquence la paralysie de l’administration publique dans la zone. «Le peu que nous récoltons nous permet de payer les agents et sert pour le fonctionnent du bureau. Comme les agents ne circulent pas, ça paralyse l’administration»,indique Peke kaliaki.
Le chef de collectivité a demandé aux autorités de mettre fin à présence de cette milice dans la zone. De son côté, le chef de la FRPI, Mbadu Adirodu, réfutait, ces allégations qui, selon lui, ne visent qu’à ternir l’image de son mouvement. Par contre, il demandait aux agents et responsables locaux de l’administration de circuler sans problème. Le chef de collectivité a indiqué que, les effectifs de policiers et des militaires FARDC ne permettent pas de dissuader les assaillants dans cette entité qui compte environ 200 villages.
Dernièrement, ce même chef Olivier a été Kidnappé, par les miliciens de la FRPI mercredi 15 février dernier, à Lakpa en Ituri, le chef de la collectivité de Walendu Bindi, qui été suspendu, et deux autres personnes ont été relâchés ce jeudi.
Selon des sources administratives, les trois personnes ont été remises en liberté grâce à une négociation entre les autorités et les responsables de ce groupe armé, Mbadu Adirodu. Le chef de collectivité et ses deux compagnons revenaient, du village Kagaba quand ils sont tombés dans l’embuscade tendue par des miliciens.
L'actuel chef intérimaire de Walendu Bindi Taabhu Maguru précisait ce jour là que, les otages ont été conduits dans la brousse vers la localité de Soke.
À lui d'ajouté que, le seul le chef de la collectivité qui n'a pas été touché. Ses deux compagnons ont été déshabillés et tabassés par les hommes armés.
Cette situation a pour conséquence la paralysie de l’administration publique dans la zone. «Le peu que nous récoltons nous permet de payer les agents et sert pour le fonctionnent du bureau. Comme les agents ne circulent pas, ça paralyse l’administration»,indique Peke kaliaki.
De son côté, le chef de la FRPI, Mbadu Adirodu, réfute ces allégations qui, selon lui, ne visent qu’à ternir l’image de son mouvement. Il demande aux agents et responsables locaux de l’administration de circuler sans problème.

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