Face aux multiples montions, de défiances qui ont été déposés contre une liste des gouverneurs qui dirigent les provinces en République Démocratique du Congo, Emanuel Ramazani Chadari, propose un dialogue au sein de tout les gouverneurs, et les députés provinciaux, qui se contredisent, des un et des autres : toute fois, les autres exécutifs ont été visés, par des montions, dela part des députés siegeant, dans des provinces. Au dernière nouvelles, nous avons apris que, les membres d'actuel, vice ministre del'intérieur, envisage une rencontre à Kinshasa, avec les concernées, dans l'objectif de baisser, des tensions qui s'observent de part et d'autres, en travers plusieurs assemblées provinciales, dela République Démocratique du Congo ? Oui mais dépuis l’installation des assemblées provinciales de 2007 et celles issues du découpage territorial, en République Démocratique du Congo, il n’y a jamais eu, évaluation du fonctionnement des assemblées délibérantes en provinces. Il était temps de réfléchir sur les causes de l’instabilité de ces institutions et envisager des pistes de solution”,a dit Ramazani Shadary vice premier ministre en charge de l’intérieur. Le ministère de l’intérieur annonce ce vendredi 12 mai 2017 l’organisation d’un atelier d’évaluation sur le fonctionnement des assemblées provinciales dans les prochains jours à Kinshasa. Cet atelier devrait se pencher sur les causes de l’instabilité constatée depuis plusieurs semaines dans les assemblées provinciales avec différentes motions de défiance qui ont vu tomber des gouverneurs des provinces, notamment celui du Haut-Katanga et du Haut-Lomami :

« Ce sera dans les prochains jours, mais c’est imminent » annonce le ministère qui signale la présence à Kinshasa d’une grande partie des bureaux des assemblées provinciales.
“Il n’est nullement question de bloquer les motions comme d’aucuns l’ont prétendu. C’est seulement l’une des innovations du vice premier ministre”,souligne le ministère. Shadary annonce l’organisation d’un atelier sur l’instabilité des assemblées provinciales
Le ministère de l’intérieur annonce ce vendredi 12 mai 2017 l’organisation d'une assise des assemblées provinciales dans les prochains jours à Kinshasa.
En outre, RDC: pourquoi un tel bras de fer autour des funérailles d’Etienne Tshisekedi ? Hommage rendu à Etienne Tshisekedi à Bruxelles, le 5 février 2017.
C'est un enterrement qui continue de diviser le premier parti d'opposition de RDC, l’UDPS, ainsi que les autorités congolaises : celui d'Etienne Thsisekedi, décédé le 1er février dernier. Annoncé pour le vendredi 12 mai, le rapatriement depuis Bruxelles de la dépouille de l'opposant historique a de nouveau été reporté sans qu'une nouvelle date ne soit fixée. Cet enterrement prend des allures de bras de fer politique. Les dirigeants de l’UDPS dont le secrétaire général du parti Jean-Marc Kabund et Félix Tshisekedi ont passé la nuit du jeudi 11 au vendredi 12 mai 2017 à la permanence du parti dans la commune de Limete. Le reporter d’ACTUALITE.CD a pu accéder au siège du parti à 22H et y est sorti à minuit. Ce matin, la police a renforcé sa présence autour du siège.
Interrogé la veille par ACTUALITE.CD, le bourgmestre de Limete a affirmé qu’il ne s’agit pas d’une affaire administrative.
«Selon l’information en ma possession, il y aurait des gens qui voulaient entrer au siège et qui en ont été interdits en termes d’attroupement. Quand je dis interdits, ce n’est pas une décision politique ou administrative. La police a dispersé des foules des gens. Encore une cinquantaine de policiers autour du siège de l’UDPS ce matin.
Les dirigeants de l’UDPS dont le secrétaire général du parti Jean-Marc Kabund et Félix Tshisekedi ont passé la nuit du jeudi 11 au vendredi 12 mai 2017 à.
EN BENI : Le porte-parole des opérations sokola1 Sud, le lieutenant Jules Ngongo, a appelé mercredi 10 mai les jeunes des territoires de Beni, Butembo et Lubero à s’enrôler dans l’armée régulière.
Dans une déclaration faite sur les ondes de Radio Okapi, le lieutenant Jules Ngongo a fait savoir que l’armée recrutait de nouvelles unités dans ces régions de la province du Nord-Kivu. Il a demandé aux parents habitant ces régions à s’impliquer dans l’action de l’armée en encourageant leurs enfants à s’enrôler.
Le porte-parole des opérations Sokola1 a fait état d’une campagne menée par des groupes armés pour enrôler dans leurs rangs les jeunes de la région. « Au lieu de se faire recruter dans un mouvement qui n’a rien avoir avec l’Etat congolais, je les appelle à venir se faire enrôler au sein des forces armées de la RDC. Ils seront bien traités et ça sera une fierté pour leurs territoires», a-t-il assuré.
Le lieutenant Jules Ngongo a promis aux habitants de la contrée l’engagement total de son commandement à mettre fin à l’existence des groupes armés qui pullulent dans ces territoires du Nord-Kivu.
EN ITURI : Dans une déclaration à Radio Okapi, le chef intérimaire de Walendu Bindi a imputé, un double meurtre aux Hemas. «Deux personnes ont été assassinées. L’un à coup d’armes à feu et l’autre brulé vif, un enfant de 12 ans. Parmi ces assaillants, tous étaient les sujets Hema, qui sont reconnus même par la population qui a voulu aussi répliquer par des atrocités», a rapporté le représentant des Lendus.
Joint par Radio Okapi, le chef des Hema, Deogracias Rusoke, a rejeté ces accusations, attribuant plutôt la tension qui règne entre les deux communautés aux Lendus, qu’il accuse d’avoir occupé illégalement certaines localités de sa juridiction.
«Nos frères de Walendu Bindi continuent à occuper Koga, Kanyanza, Matete. Ils se sont même permis de nommer le chef de camp de pêche. Et surtout ce qui est à la base de cette tension, c’est le pillage des bêtes», a-t-il soutenu.
Il a dénoncé également des cas d’exactions commises par des miliciens proches des Hemas, dont les membres de sa communauté seraient victimes chaque jour.
Les chefs de deux communautés ont cependant appelé leurs administrés au calme et à privilégier la paix et la cohabitation pacifique.
Radio Okapi n’a pas réussi à joindre les autorités provinciales. Les localités de Tagba, Nyamavi, Kalyabugongo et Koga, situés dans le territoire d’Irumu (Ituri), sont désertes depuis une semaine, ont rapporté jeudi 11 mai des sources locales.
Leurs occupants ont fui une éventuelle escalade de la violence entre les membres de la collectivité de Bahema et ceux de la communauté Lendu, ont-elles précisé.
Les mêmes sources parlent d’une vive tension qui règne entre les deux communautés depuis le meurtre, jeudi 4 mai, de deux membres de la communauté Lendu par des hommes armés.

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