Les activités socio-économiques n’ont pas ouvert toute la journée suite aux manifestations de colère des jeunes qui exigeaient le relèvement du commandant de l’armée dans cette cité située à environ 80 kilomètres au nord de la ville de Goma, chef lieu dela province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo, toujours instable, dépuis des années passé. À ce sujet, une vive tensions ont gagnés plusieurs localités ce samedi après un double meurtre à Kiwanja, qui est instable dépuis quelques passé. Le climat était très tendu ce samedi 6 mai dans la cité de Kiwanja, au lendemain du meurtre de deux civils par des hommes armés inconnus au quartier : Les deux victimes ont été assassinées dans la soirée près de l’établissement scolaire Kiwanja-cité, a renseigné le Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et le droit de l’homme (CEPADHO) :

À en croire les sources de cette ONG, les deux victimes « auraient été alertées par leurs proches sur la nécessité d’aller secourir les paysans en provenance des champs qui se laissaient extorquer de l’argent, des téléphones et autres biens par deux militaires postés à l’entrée de la cité. C’est en approchant lesdits militaires qu’ils ont été fusillés par ces éléments incontrôlés. Ils sont morts sur place ».
Deux militaires suspectés dans ce double meurtre ont été appréhendés, et une audience en procédure de flagrance « vient d’être amorcée contre les deux prévenus afin que la Justice Militaire tranche de leur sort », a livré l’ONG.
Parmi les manifestants qui détenaient la dépouille des victimes, l’on déplore quelques blessés après des confrontations avec la police qui les a dispersés à coups de gaz lacrymogène. Le climat était très tendu ce samedi 6 mai dans la cité de Kiwanja, au lendemain du meurtre de deux civils par des hommes armés inconnus au quartier Mabungo (nord-est), ont rapporté des sources locales. Mais la fois passé, l’auditorat militaire de Rutshuru a arrêté un certains mardi 5 avril trois présumés bandits, dans un hôtel de la cité de Kiwanja. Des sources de l’auditorat militaire indiquaient, sans plus de détails, que, les personnes arrêtées planifiaient des attaques dans la région.
L’une de trois personnes arrêtées est un bandit réputé dans la région. Recherché depuis deux ans par les forces de l’ordre, il est surnommé « Mandefu, accusé de plusieurs meurtres à Kiwanja » Il serait également l’auteur du braquage d’un point de vente de l’entreprise Airtel à Rutshuru en 2014. Une somme de 35 000 dollars américains a été emportée, au cours de ce braquage.
Dimanche matin un moment donnée, Oicha s'est réveillé, dans un climat des Brouhaha, après arrestation de quatre bandits, présumés, auteurs des plusieurs cas des vols nocturne ce dernier temp, dans des maisons abandonnées par les civils au conté Est d'Oicha, qui été, la cible des attaques meurtrière, dela par des rébélles étrangers du groupe des islamistes radicaux, la fois passé. Pour le moment, ces millitaires sont actuellement gardés, dans un cachot, d'auditorat du chef lieu du térritoire de Beni, et pourraient, être présenter, à la presse dans un délai proche, a indiqué un des hauts cadres del'armée dela place.
Danc, les quatres millitaires Fardc indisplinnés sont tombés au main des agens del'ordre, dans, la nuit du samedi au dimanche 07 mai 2017, à Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, situé dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, province du Nord-Kivu. Selon les informations à notre possession, ces millitaires été entrain de cambriolés des maisons, dans un quartier d'Oicha. Mais par mal chance, ils sont été mis aux arrêts par un autre groupe des millitaires qui étaient en patroui, dans l'objectif de bien sécuriser les habitants, victimes des vols, dans les heures nocturne, dans le passé. Alors vers six heures du même dimanche, ces hors la loi, ont été accompagnés d'une foule des jeunes gens, sur arthère principal d'Oicha, avec des chansons hostile aux malfrats arrêtés, qui ont été ligotés, de plus, par leurs collègues de service del'armée. Pour le moment, ils sont entrain de compter, les chévrots, du cachot d'auditorat dela place. Face à cette situation, um membre dela société civile noyau d'Oicha, a rappelé que le rôle des millitaires est de sécuriser tous les citoyens et pas seulement ceux qui ont des gros moyens et ceux qui se croient plus importants que les autres. Cette «bande de malfrats» a déjà commis plusieurs vols et exactions.
Ce responsable a tenu à préciser que, ce coup de filets est le fruit de la coopération entre la police et la population de ces quartiers.
En ce jour, la région de Beni Lubero continue à faire face à une insécurité grandissante causant la mort, le déplacement massif des populations civiles innocentes, les enlèvements et kidnappings suivis des demandes des rançons, les viols, les arrestations arbitraires, la paupérisation de la population, la déscolarisation, etc... Plusieurs chefs coutumiers et d’autres leaders communautaires sont sélectivement menacés et la plupart se trouvent en situation de déplacement craignant les atrocités commises en l’endroit de la paisible population. Les acteurs humanitaires ne sont pas aussi épargnés par les pratiques odieuses qui frisent le terrorisme dans le Territoire de Lubero. Plusieurs villages sont abandonnés et les écoles fermées notamment en Groupement Mwenye, Manzia, Muhola,Bulengya, Luongo (en Chefferie des Baswagha), Luenge, Tama (en Chefferie des Bamate), Kasugho, Katoyo, Kamandi (en Chefferie des Batangi) et Bapukara (en Secteur des Bapere) où les opérations de la Révision du Fichier Electoral ont été également perturbées par cette insécurité. Sur le tronçon routier Kanyabayonga – Kiwanja, plusieurs personnes sont tombées dans une embuscade tendue par des bandits armés, alors que le convoi organisé pour sécuriser les transporteurs et trafiquants.

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