Les armes à feu de toute type en RDCONGO, ont déchirés, encore de nouveau, l' éspace du Lac-Éduard, au conté Est dela République Démocratique du Congo, où l'armée dit avoir délogé, les inciviques Maï Maï, dans plusieurs villages, et localités dela province du Nord-Kivu, ce dernier temp, lors d' accrochages très violent, contre un groupe de ces hors la loi, qui été entrain de traccasser, la population riveraines, la fois passé, au bord du lac Eduard précisément, dans les localités de Kasimbi ; Kitholi ; Ngolu et ces environs. Les sources militaires des Opération 2 dans la région proclament la victoire de l'armé loyaliste en nous promettant le bilan dans des heures qui suivent. Selon la même source, l'ennemie est en fuite vers le parc de Virunga confirme un officier des millitaires fardc au micro dela Radio Tél Semuliki-Beni. Dans un autre chapitre d'actualité de Beni-Libèro : Après tout ce que les habitants de Butembo ont enduré ces dernières années, les massacres de leurs frères et soeurs de Rutshuru, Lubero et Beni, les coupures des routes par des bandits armés, des attaques des convois de leurs véhicules de transport par des hommes armés, la diabolisation par ses propres dirigeants,... en plus de cela l'incapacité des services de sécurité à les protéger et leurs biens,... Il y en a encore des salauds qui n'ont même pas honte de crier sur les toits que la population de Butembo montre une ingratitude face à quelques kilomètres de satané bitume ? Mais vous êtes nés comment, vous, bande d'imbéciles ? Est ce votre satané goudron le problème de la population ? Ils ne cherchent qu'un climat favorable pour faire le commerce, bande d'enfoirés! Pas le bitume ! Franchement moi je ne comprend pas certaines personnes. Rtvct ; Rts-beni rédaction de goma :

Des # combats # farouche avec des armes lourde et légère, dépuis mercredi dernier, au jeudi 04 mai 2017: Avec les millitaires Fardc lourdement armés, été entrain, d'affrontés, les # miliciensMaï Maï dans la # chefferiede # Bashu, en # térritoirede # Beni: cette nouvelle a été donné, par un membre dela société civile de cette entité coutumière, àla Radio Muungano Oicha, qui est notre source, qui nous a informé, en présisant que, des détonations des armes été entendu, de plus en plus, dans toute la journée du jeudi. Au dernière nouvelle, nous avons apris que, les habitants à majorité des hommes, femmes, enfants, sont en débandade où la plus part d'entre eux, ont fui, vers d'autres villages dans les quels, la situation sécuritaire, est stable ce dernier temp, pour la population, qui ont abandonnés, leurs maisons d'habitations, craignant d'être victimes de ces accrochages à répétion, long temp, dans le Bashu. A l’heure où l’Etat ne devrait pas cesser d’exercer pleinement sa souveraineté, celle-ci se trouve contredite par la prolifération sur le terrain national et notamment au Nord-Kivu des foyers identitaires entretenus par une multiplicité des factions Maï Maï qui continuent à se disloquer et à s’affronter plutôt qu’à se réconcilier.
Cette situation impose à notre esprit une double préoccupation : quels sont les enjeux des conflits qui déchirent le mouvement Maï Maï en province du Nord-Kivu ? Et de quelles forces géostratégiquesdispose chacune des factions pour soupeser les rapports de force ? À l’heure actuelle, les tracasseries routières n’ont pas encore dit leurs derniers mots (…) Au passage, un vélo paye 500 FC, une moto 1000 FC et un véhicule 6000 FC et cela par barrière. Ces actes de pillage, d’intimidation voire de viol continuent, jusqu’au lieu de refuge des populations. Plus regrettable, est qualifiée de cambrio leurs toute personne tentant de regagner, son domicile et par conséquent, traité comme tel (…)», dit la correspondance dont la copie est réservée à plusieurs autorités politico-administratives. «La paisible population en brousse ne sait plus regagner leurs domiciles faute de l’insécurité et actes barbares. La société civile, noyau du groupement Bashu, qui livre l’information, se dit préoccupée par cette situation qui risque d’embraser la région. Elle demande aux FARDC de prendre des mesures nécessaires pour déloger ces Maï-Maï de cette colline et au finish de les mettres hors d’état de nuire. Plusieurs groupes Mai-Mai se sont développés ces derniers mois autour de la ville de Butembo. Julien Paluku, Gouverneur du Nord-Kivu, avait émis le 30 décembre dernier trois hypothèses quant à ce. “Est-ce la guerre du pétrole? Est-ce une nouvelle guerre? Est-ce la fièvre électorale?”, s’était-il interrogé. Un combat a éclaté entre les FARDC et les Mai-mai depuis le mardi 22 novembre 2016 dans les contrées de Butuhe, une localité située à environ trois kilomètres au nord de la ville de Butembo. La question des enjeux des conflits intra-Maï Maï suscite trois filières : la violence armée serait motivée par l’enjeu économique, les différents groupes cherchant à s’emparer et à contrôler les espaces riches en ressources agro-pastoraleset minières ; l’intention géostratégique d’acquérir les ruptures spatiales pour renforcer la résistance ; et enfin le désir de représentation identitaire. Quant aux relations de puissance entre factions en conflit, elles seraient intimement inégalitaires. Les factions de Beni-Lubero (Grand-Nord-Kivu) auraient plus de ressources stratégiques, géographiques, diplomatiques et militaires que celles du Petit Nord-Kivu. Chacune cherche à équilibrer sa force grâce aux alliances de revers avec les autres mouvements rebelles congolais ou étrangers (Rwandais, Ouganda), afin de paralyser les capacités de l’adversaire.
La vérification de ces hypothèses nécessite évidemment une méthodologie rigoureuse. Nous avons retenu pour cette fin la méthode dialectique marxiste et l’approche cartographique.les différents groupes Maï Maï qui restent dans une large mesure constitués soit sur une base ethnique, soit sur la base d’une alliance interethnique soudée par l’hostilité à un groupe tiers, témoignent d’une grande autonomie et combinent, dans des mesures variables, des actions de résistance, la pratique d’exactions et de pillages à l’encontre des populations, l’exploitation des ressources minières et l’activité commerciale.
Toutes ces analyses se tiennent. Cependant nous pensons qu’il y a lieu de chercher à comprendre le phénomène sous un autre angle en s’engageant sur le terrain de l’analyse de la conflictualité qui se développe entre diverses factions.
Cette curiosité qui intéresse à la fois scientifiques et politiques mais certainement pour des mobiles divergeants, contribuera à mieux appréhender les enjeux et les intentions déclarées ou non avoués des antagonistes Maï-Maï afin de mieux comprendre la conflictualité intra Maï Maï et réduire la milicisation en R.D.C, particulièrement au Nord-Kivu.

Commentaires