Les mouvements migratoires d'un groupe des rwandophoness vers l' Ituri dépuis un certains temp, alimente toujours des pyscauses au sein des habitants de cette contrée, et ceux dela partie Nord du térritoire de Beni : dès lors à la base, une partie dela communauté Hutu vivant dans le térritoire de Masisi précisement au Nord-Kivu en République Démocratique du Congo, préfèrent migrer, dans la province del' Ituri. Face cette situation, un membre dela société civile dans la région de Beni précise que, la plus part de ces migrants, et autres déplacés, identifiée aux rwandophones, sont souvent armés : à lui d'ajouter que, Mutuambiye tusiseme bongo, les faits de luofu étant encore d'actualités. J'ai toujours estimé que nous avons mis beaucoup de temps en train de dorloter l'ennemi pendant que lui ne cesse de poursuivre son plan belliqueux, nous sommes allés de conférence en conférence sans trouver la solution appropriée, nous sommes allés de dialogue social en dialogue social, la solution n'est pas trouvée. On s'est promis la pacification dans le mensonge, la solution a été éphémère car les antagonistes n'ont jamais dialogué dans la sincérité. Bâtir un pays plus Beau qu'avant suppose le recours à la force proportionnelle, face à tout ennemi (personnephysique ou morale) qui se lèverait contre l'État. Pas de carotte à réserver à un tel individu, il n'y a que le recours au bâton :

En cas de guerre à MASISI, les populations ont toujours tendance à se réfugier au Rwanda laissant derrière elles le territoire de RUTSHURU et la Ville de Goma, pourquoi ?
Je sais qu'un analyste anti extrémisme peut me couper l'herbe au pieds en m'opposant la non implication de la communauté entière dans l'affaire de migration, cependant, je voudrais savoir à mon tour,pourquoi toute la communauté est agitée ? Je ne suis d'accord avec certains que pensent qu'il n'y a pas de communauté criminelle mais plutôt qu'il y a des criminelles dans des communautés, l'inverse m'intéresse beaucoup et c'est défendable, et je soutiendrais cette thèse.
Certes que nous sommes condamnés à vivre ensemble, et que nous n'avons pas de choix,il est vrai que nous pouvons unir nos forces pour forger un destin commun, nous pouvons signer un nouveau pacte de cohabitation pacifique et de solidarité entre communauté, cependant, le comble est celui-ci, l'un vous tend la main et vous lui tendez l'arme,voilà ce qui vient détruire ce building de rêves. L'oiseau qui fait beaucoup de bruits s'attire le malheur, tel est le cas de la communauté HUTU de l'Afrique .
D'abord nous pouvons dire que cette communauté occupe une place epicentrique dans le malheur que traverse la région. Il faut bien analyser l'histoire depuis 1964 jusqu'à nos jours, et ce la, de MASISI à LUBERO en passant par RUTSHURU où la communauté Hunde serait en train de regretter son indolence.
La communauté hutu serait le cheval de Troie de la balkanisation de la république démocratique du Congo.
En analysant le comportement de certains membres de cette communauté, je me pose certaines questions.
Recommandations :
1.Au gouvernement congolais:
-Utiliser la force la face à tout individu qui choisirait le recours à la brousse et machette comme mode d'acquisition de pouvoir et d'expression de ses desiderata,
-Soutien total à la décision légale de l'exécutif provincial par rapport à la gestion des mouvements des populations de la communauté Hutu,car on ne badine pas avec l'État,
2.À la communauté Hutu
-L'insubordination ne paie pas,pas de communauté supérieure à une autre,
-Plus le singe monte,plus il expose sa nudité, revenez à la raison sinon toute les communautés de la République se lèveront pour dire non à votre procédure et très loin,la thèse de cheval de Troie de la balkanisation se confirmera au fil du temps,
-A vos politiciens, "cessez de fatiguez la conscience de vos filles et fils en les trainant dans la bout comme des vaches et cochons suite aux mouvements forcés (du Rwanda vers MASISI, de MASISI vers LUBERO, de LUBERO vers RUTSHURU, de RUTSHURU vers LUBERO-Luofu),
3.Aux Leaders de l'ancienne Province Orientale,
-Ouvrez l'œil, ces gens ne sont pas exclusivement à la quête de la terre, ils sont le cheval de Troie ,derrière eux,c'est le projet de la balkanisation, ils ont la houe et l'arme(Luofu est un exemple éloquent).
-Aux chefs coutumiers, on ne vend pas la terre,les Hunde de MASISI et RUTSHURU seraient en train de payer le prix de la friandise.
Je ne suis pas extrémiste, je suis dosiste .
CRDH-CONGO
Maître Jean-Paul PALUKU NGAHANGONDI président national de la CRDH.
Le gouverneur de province est allé récupérer des centaines de cartes d’électeurs d’enrôlement de 2011 et même de cette années 2017 que détenaient certains de 236 réfugiés rwandais cantonnés au centre de transit de Goma de la commission nationale pour les réfugiés au quartier Himbi. JULIEN PALUKU a dit que ces réfugiés rwandais en transit ici à Goma ont le droit de vivre et les conditions se sont améliorées dans leur pays mais ils ne doivent pas y retournés munis des cartes d’électeurs de la RDC dont ils sont d’ailleurs en possession abusivement.
Un groupe armé assimilé au Mai-Mai MAZEMBE ou au Mai-Mai CORPS DU CHRIST a attaqué le village MUSUKU dans le territoire de LUBERO occasionnant le déplacement de la population de cette région riveraine du lac EDOUARD. L’administrateur du territoire JOE BOKELE dénonce les groupes armés qui écument son territoire et qui attaquent les villages parfois en se camouflant dans les tenues de la police congolaise. JOE BOKELE signale ainsi l’attaque ce mardi à l’aube du village de MUSUKU à 70 kilomètres à l’Est de LUBERO CENTRE et dont l’identité des assaillants n’est pas encore bien connue. JOE BOKELE parle de plusieurs personnes déplacées et sans assistance.
Au procès des ADF à BENI, le ministère public représenté par le général major MUKUTU KIYANA a continué d’accabler d’accusation certains chefs coutumiers du territoire de BENI poursuivis de complicité avec les égorgeurs de l’ADF. Après le désistement du chef de secteur de BENI MBAU, REMY LUMANDE, qui ne s’est pas présenté ce mardi au procès comme renseignant afin d’éclairer la lanterne de la cour sur la sociologie des massacres, les mobiles et les commanditaires ; le ministère publics a qualifié le Mwami MBUNGUMA KITOBI de malin car il entretenait des MAI-MAI dans la région de KADOU qui se transformaient plus tard en ADF.

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