Nous sommes des vrais congorais, et non des rwandais, disent, un groupe des humains, à majorité des hommes, femmes et enfants, localisés ce dernier temp, en Ville de Goma chef lieu, dela province du Nord-Kivu ! Dans ce sens, après avoir été chansés, par les autorités dela nouvel province d'ITURI, le groupe des gens identifiés àla communauté HUTU d'expression rwandophones, viennent en allerte, en disant que, toute personnes dela nationalité congolaise, a le droit, d'aller vivre aussi, là où la vie socio-économique des autres se normalise : c'est le cri d'arme et pyscauses, constantée, au sein d'un groupe des sujets rwandophones maigri, et réfoulés, la fois passé, dela partie Sud du térritoire d'IRUMU : la plus part d' entre eux, s'insurgent contre le gouverneur dela province du Nord-Kivu, Julien Paluku Kahongya, qui a interdit, tout mouvements migratoires, des inconnus, dépuis 2016, à partir du Nord-Kivu, en allant, vers la province d' ITURI. Au dernièrement nouvelles, nous venons d'aprendre que, ces gens dorment, à belle étoile, sous le balcon dela mairie de Goma, et d'autres vers, la cour du gouvernorat dela province du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo. La plus part de ces personnes disent être, des vraie congolais, et demandentt au gouvernement provincial, de mieux les protèger, comme d'autres congolais, qui peuvent aller vivre, partout, sur l'éntendu national, là ou ils veullent. En effet, il y a environ dix jours que les services de sécurités ont intercepté un groupe de quatre-vingt-trois Hutu au niveau de la barrière de Luna, une localité située non loin de la limite entre le territoire de Beni et celui d’Irumu. Car, en dépit de la note circulaire du Gouverneur du Nord-Kivu qui avait suspendu tout mouvement de population suspect dans cette région, les Hutu ayant pris l’initiative d’un tel déplacement n’ont cessé de se faufiler vers la zone rouge de Beni et du sud de l’Ituri. Alors les Hutu refoulé, dernièrement de l’Ituri, refusant de regagner, leurs localités d’origine que nul ne connaît : Quelque soixante-trois personnes ayant été empêchées d’atteindre leur destination en Ituri sont retournées à Goma depuis quelques jours. Ils font partie des sujets Hutu qui, en mouvement massif, ont entrepris un exode en direction du sud de l’Ituri, en territoire d’Irumu, et du nord de celui de Beni, précisément dans la zone « rouge » du rayon d’Eringeti, au Nord du térritoire de Beni, qui été, en proie des derniers massacres dans cette partie dela province du Nord-Kivu :

Il sied de ne point perdre de vue que le phénomène de migration de ces Hutu non autrement identifiés est devenu le cheval de Troie de l’infiltration massive des combattants du M23 et leurs alliés pour le déclenchement très prochaine d’une guerre de terreur en Ituri, à Beni et à Butembo. Présentement, ces retournés se sont cantonnés non loin du Gouvernorat de Goma. Ils refusent d’aller jusqu’à Masisi qu’ils prétendent être leur terre d’origine. Et, malgré tout, ils continuent à exercer une pression sur les opinions et sur les autorités provinciales pour les reconduire vers l’Ituri.
Ce refus de retrouver leurs villages d’origine respectifs et cette insistance à foncer vers Beni et l’Ituri sont deux grandes raisons qui rendent très suspects ces immigrants. D’aucuns s’interrogent alors si les intéressés ont vraiment une référence sociale à Masisi? Pourquoi rejettent-ils catégoriquement toute idée de rejoindre leurs villages d’origine, si du moins ils sont réellement issus de Masisi? Pourquoi persistent-ils à continuer cet exode vers Beni et le sud de l’Ituri qui sont tenus pour des zones rouges et dangereuses, du fait des massacres affreux qui y sévissent? Pourquoi préférer décidément s’installer là où tous les civils sont en train de fuir? Pourquoi s’accrocher au prétexte d’être en quête de terres arables en Ituri, pendant que Masisi d’où ils prétendent venir compte parmi les plus fertiles terres du pays? Est-il logique de fuir une « insécurité » à Masisi pour se réfugier dans un champ de massacres où les survivants sans espoir du lendemain ne font que patauger dans le sang de leurs frères et sœurs immolés au fil des heures? On se souviendra que Benilubero Online avait initié au début de l’année 2016 une enquête à Masisi, à Rutshuru et à Nyiragongo pour prouver une éventuelle origine congolaise desdits immigrants; mais leur trace et leur appartenance n’ont été retrouvées nulle part à travers ces trois territoires. Voilà une réalité plus que suspecte… Les Hutu immigrant vers l’Ituri et Beni seraient-ils des apatrides ? D’ailleurs, hormis les massacres chroniques vécus dans la région de Beni, qui ont révélé de nombreuses preuves d’implication de ces genres de groupes (preuves que les égorgeurs sont des rwandophones), la présence massive desdits envahisseurs Hutu est devenue également une source de grandes préoccupations à Boga, à Tchabi et dans d’autres localités environnantes, dans le territoire d’Irumu, au sud de l’Ituri, du fait que ces immigrants se comportent quelque peu en colons, disposant de tous les moyens matériels nécessaires, en l’occurrence des armes sophistiquées, pour intimider les autochtones. Et,jouissant du protectorat des autorités du pays, non seulement ils ont constitué une armée prête à réduire au silence les autochtones, mais encore ils revendiquent des entités administratives qui leur soient propres, avec droit du pouvoir coutumier au dépens de la population locale. Aussi, est-il vraiment impérieux d’initier immédiatement une enquête sérieuse pour déterminer la véritable identité de ces immigrants, en l’occurrence sur cette équipe cantonnée présentement à Goma, près du Gouvernorat. Dans l’entre temps, il y aurait lieu de faire appel aux humanitaires en vue de pourvoir à leurs besoins de subsistance, étant donné que ces créatures humaines sont en train de passer la nuit au clair de la lune, sous la belle étoile et surtout dépourvues de nourriture et de médicaments. La pression qu’ils exercent ne devrait sous aucun prétexte devenir la raison de leur rouvrir l’itinéraire de Beni et de l’Ituri, tant qu’ils ne sont pas identifiés dans tous les détails de leurs origines.
Dans la région de Beni : les habitants abandonnent leurs champs dans le Parc National des Virunga. Suite à toute cette situation, des cultivateurs plaident pour leur retour dans le Parc. Chose impossible parce que le parc national des Virunga est listé parmi les patrimoines mondiales de l’humanité à protéger par tous les moyens. C’est pourquoi, tous les exploitants de cette aire protégée ont été contraints d'abandonnés, leurs champ se trouvant, dans le Parc national Ils optent pour des champs situés dans la chefferie des Bashu. Parmi ces cultivateurs, on compte ceux de BULAMBO, KATANDA et ISONGA en chefferie de Bashu. Le reporter de la RMBB a rencontré certains cultivateurs au début de cette semaine.
Pendant ce temps, l’économie des entités environnant le Parc National des Virunga est à la dégringolade. Les commerçants n’écoulent plus leurs biens.
« C’est puisque nos clients sont parmi les cultivateurs qui se déplacent vers d’autres milieux », avancent certains commerçants.
Dans le secteur de la santé, les centres de santé se vident de leurs patients. Les infirmiers et les médecins constatent que les patients quittent frauduleusement leur lit, faute de moyens pour honorer leur facture.
Concernant le secteur scolaire, c’est l’insolvabilité qui prend de l’ampleur, remarque une enseignante de l’école primaire VUKONDI de BULAMBO.

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