Affrontements entre les miliciens NDUMA Défense of Congo et les mai mai MEZEMBE, le lundi 19 juin dans la localité de MABAMBI en territoire de Lubero, province du Nord-Kivu, à l’Ouest de la ville de Butembo, en République Démocratique du Congo le jeudi 19 juin 2017, selon une source de Veranda Mutsanga. L’œil vigilant de la Véranda Mutsanga, a été alertée d’un affrontement qui continue jusqu’en ce moment (14h47’) de ce 19juin 2017 entre les miliciens mai mai MAZEMBE et le NDUMA de Mr CHEKA. L’opinion continue a retenir que le NDUMA de CHEKA serait à la solde du Rwanda et les MAZEMBE serait une émanation naturelle des enfants du terroir qui veulent se défendre contre la barbarie Rwandaise sur le sol de nos ancêtres, c’est pourquoi l’ennemi qui a et qui es entrain de créer ses branches des mai mai fait tout pour écraser cette résistance non encore affectée et non corrompue par les ennemis de notre pays ! La population doit rester tres vigilants par rapports à ce qui passe actuellement dans cette partie de la RDC ( Beni-Lubero ) L’œil vigilant de la Véranda Mutsanga :

La majorité des habitants de Kabasha ont quitté les lieux depuis samedi pour éviter d'être pris pour cibles par les belligérants.
Plus de 900 détenus s'étaient évadés après une attaque de la prison centrale de Beni par des inconnus armés. Plusieurs dizaines des membres présumés d'une rébellion musulmane ougandaise (ADF) étaient incarcérés à la prison de Kangwayi ainsi que plusieurs personnes présentées comme des miliciens Maï-Maï.
La ville et le territoire de Beni font l'objet depuis octobre 2014 d'une série de massacres attribués aux Ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), qui ont causé la mort de plusieurs des personnes.
Les Maï-Maï sont des groupes "d'autodéfense" constitués sur une base essentiellement ethnique. Pendant la deuxième guerre du Congo (1998-2003), nombre de ces groupes ont été armés par le pouvoir pour combattre les envahisseurs ougandais et rwandais. Certains n’ont jamais désarmé.
Des combats intenses ont repris dimanche entre les militaires congolais et des miliciens pour le contrôle d'une localité située près de Beni, dans le nord de la province du Nord-Kivu (est de la République démocratique du Congo), a-t-on appris auprès de l'armée.
Les Forces armées de RDC (FARDC) avaient annoncé samedi en fin de journée avoir repris le contrôle de la localité de Kabasha, à 24 kilomètres au sud de la ville de Beni, après avoir utilisé des armes lourdes contre des miliciens d'un groupe Maï-Maï non identifié. De l'insécurité généralisée à Beni ville et territoire,
Voici mon point de vue sociologique.
Cette insécurité aurait des motivations politiques. Car de part le contexte de crise de légitimité au niveau de toutes les institutions politiques du pays , certains assoiffés du pouvoir et anciens rebelles voudraient profiter de la situation pour se faire entendre en vue de se retailler un positionnement.De l'autre côté, le régime en place se montre de plus en plus moins motivé à financer les élections prévues à la fin de l'année d'après les termes convenus dans l'accord de la Saint Sylvestre. Par ce fait, il serait en train de créer des conditions d'insécurité un peu partout pour façonner un motif de la non tenue des engagements comme retenus dans l'accord. Étant donné que quand on entend citer certains noms comme kakolele, Mukirania,...être derrières lesdites milices alors que il y a peu ils se laissaient voir avec les couleurs du parti au pouvoir, ça nous pousse à soutenir cette hypothèse.
De l'autre côté, la thèse d'occupation Ougando-rwandaise ne n'est pas à oublier tout autant dans la mesure où ces deux voisins de la Rdc n'ont jamais dit leur dernier mot dans la crise qui secoue cette région comme toujours rapporter dans certains médias sociau. Ces pays sont toujours prêts à apporter leur soutien financier, militaire,...aux groupes armés sévissant dans la contrée à des fins inavouées.
Mais comment s'en passer ?
La résistance populaire est toujours présentée comme une arme citoyenne. Les jeunes devront le savoir que les groupes armés n'apporteront rien de salutaires dans la crise économique que subit les enfants du terroir. Mais il faut rester mobiliser car la neutralité n'apporte aussi rien. "Les combats ont repris à Kabasha (dimanche) depuis 15H30 (13H30 GMT) contre des Maï-Maï, dont l'appartenance ethnique n'est toujours pas connue. Nous avons dépêché des troupes en renfort sur place", a déclaré à l'AFP le lieutenant Jules Tshikudi, l'un des porte-parole de l'armée dans cette région, sans préciser le bilan.
"Comme hier (samedi), ce sont les Maï-Maï qui ont attaqué nos positions", alors qu'"un calme apparent" avait régné toute la nuit à Kabasha qui était sous contrôle de l'armée, a-t-il ajouté, indiquant que "certains évadés de la prison de Kangwayi (de Beni) ont été appréhendés, combattant aux côtés des Maï-Maï".
Samedi, une patrouille de la mission de l'ONU en RDC (Monusco) qui se rendait à Kabasha a été "la cible d'une embuscade tendue par des présumés Maï-Maï", a déclaré dimanche à l'AFP le capitaine Adil Asserhir, l'un des porte-parole des Casques bleus en RDC.
"Dans les échanges des tirs, trois Casques bleus ont été blessés et au moins cinq présumés Maï-Maï ont été tués", a indiqué l'officier, la patrouille a pu également "récupérer" des armes et des effets militaires, a-t-il dit.

À BUTEMBO : Des coups de feu ont été entendus tôt ce lundi 19 juin autour de la prison centrale de Kakwangura de Butembo et de la base des casques bleus de la MONUSCO, située non loin de cet établissent pénitentiaire. D’après des sources locales, cette situation a créé la panique dans la ville, particulièrement parmi la population habitant les périphéries de cette maison carcérale.
Le maire de la ville de Butembo joint par Radio Okapi a démenti, des rumeurs faisant état « d’une présumée attaque en cours dans la prison centrale de Kakwangura ». A l’en croire, il s’agissait plutôt « des tirs de sommation » des forces de l’ordre pour « disperser, des attroupements suspects, ce jeudi 19 juin 2017 courant.

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