AU NORD-KIVU : les deux employés du Comité international de la croix-rouge (CICR) enlevés il y a une semaine dans l'est de la République démocratique du Congo ont été libérés jeudi, 15 juin 2017, del' année courant, a annoncé le CICR dans un communiqué. Les deux employés faisaient partie d'une équipe du CICR qui assurait le suivi d'une distribution d'aide humanitaire en faveur de 5.000 familles en détresse dans une zone touchée par des conflits armés. "On a suspendu nos mouvements dans la province du Nord-Kivu jusqu'à nouvel ordre (...) en attendant les garanties de sécurité", a cependant déclaré à l'AFP un porte-parole du CICR. Les enlèvements, notamment de personnels étrangers et congolais d'organisations humanitaires, sont fréquents dans les territoires de Masisi, Lubero, Rutshuru et Walikale dans la province du Nord-Kivu :

"Les deux membres (du CICR) qui avaient été enlevés mercredi 7 juin dans la matinée entre Kirumba et Beni, dans le territoire de Lubero (province du Nord-Kivu), ont été libérés ce jeudi 15 juin dans la matinée", écrit le CICR.
La nationalité des deux employés n'a pas été dévoilée.
"Nous sommes soulagés du retour de nos collègues et nous nous réjouissons qu’ils aient retrouvé leurs familles. C’est la fin de leur calvaire", a déclaré Christine Cipolla, responsable du CICR en RDC, citée dans le communiqué.
"Nous déplorons toutefois vivement cet enlèvement, car ce type d’acte peut mettre en péril le travail des humanitaires", a-t-elle ajouté.
L'est de la RDC est déchiré par des conflits depuis plus de vingt ans. Différends groupes armés étrangers et locaux s'y affrontent sur base des différends ethniques et fonciers, la concurrence pour le contrôle des ressources minières de la région et des rivalités entre puissances régionales.

Le Secrétaire général adjoint en charge des Opérations de maintien de la Paix des Nations Unies a promis que l’ONU allait améliorer l’efficacité de son appui et de sa réponse à la RD Congo, face aux défis, surtout sécuritaires… Interrogé sur le souhait des autorités provinciales et de la population de voir plus d’actions et surtout des actions pérennes de la Monusco pour la Province du Nord-Kivu, Jean-Pierre Lacroix a déclaré que « non seulement nous allons apporter notre appui, mais aussi, nous allons améliorer l’efficacité de cet appui et surtout l’efficacité de notre réponse aux nombreux défis, surtout sécuritaires ».Cependant, il a insisté pour dire que cet appui se fera dans la mesure des moyens des Nations-unies« qui ne sont pas illimités ». Lors d’une déclaration faite à la presse peu avant son départ de la capitale provinciale du Nord-Kivu, Jean-Pierre Lacroix a indiqué que les échanges très denses qu’il a eus avec les autorités ont permis de faire le point de leur coopération. Surtout, a-t-il déclaré, ils ont permis« de voir comment améliorer le soutien des Nations Unies au peuple congolais et aux populations de la province du Nord-Kivu ». M. Lacroix a poursuivi, en soulignant, qu’il s’agit« d’échanges très approfondis qui sont extrêmement utiles ».Toutefois il a ajouté que son souhait est que« la Monusco continue de travailler dur pour que cette coopération soit la plus efficace possible ». Jean-Pierre Lacroix a regagné Kinshasa ce jeudi soir, au terme d’un séjour de quarante-huit dans la Province du Nord-Kivu. Arrivé en RDC lundi 12 juin 2017, le patron des Opérations de maintien de la Paix des nations Unies s’est rendu dans cette Province en proie à l’insécurité pour y rencontrer les autorités, la Société civile, la communauté humanitaire pour comprendre le contexte de travail dans cette Province, mais aussi rendre hommage à la Monusco pour le travail remarquable que font toutes ses composantes sous la direction de M. Maman Sidikou, Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies en RDC et Chef de la Monusco.

EN BUTEMBO : 8 commandos bien formés dans le domaine criminel, largués sur terrain pour l’élimination Physique du notable « MBUSA NYAMWISI Antipas » !
Des sources biens informées ont alerté la cellule antiterroriste de la véranda Mutsanga du danger que cours , le grand Notable de Beni-Lubero MBUSA NYAMWISI que d’aucun ne tarde d’appeler WALYUVA !
Ils sont au nombre de 8, en à croire notre source ! ils ont installé déjà leur base criminel à NAIROBI capitale du KENYA, en provenance de la RDC, ils auraient pour information que l’home ferait des navettes dans les pays de l’Est de l’Afrique et de l’Afrique australe, et qu’en tout prix, il fallait abattre Antipas. C’est une mission commando, dans lequel ils sont envoyés. Cette équipe criminelle serait bien financée pour mettre fin à la vie de MBUSA, cela par tous les moyens possibles.
Dans les prochains jours, nous allons vous faire part des cerveaux moteurs et des noms de certains membres de cette équipe commandos, des noms bien connus.
La véranda Mutsanga, appelle à tous les VATHUNGA, de veiller sur ce notable, et l’appeler à la prudence, car sa vie est vraiment en danger, a rapporté notre source.

À BUNIA : Plusieurs sources au chef-lieu de la province de l’Ituri ont dit à ACTUALITE. CD que la pluie qui a commencé la nuit de jeudi a détruit une dizaine de maisons laissant ainsi des familles à la belle étoile.
Pour certains cas, le maire de la ville de Bunia attribue cette situation à une construction anarchique entre autres près des étangs piscicols sur la route menant à l’aéroport national de Bunia. Quatre (4) personnes ont trouvé la mort ce jeudi 15 juin 2017 à Bunia (Ituri) après des pluies diluviennes qui se sont abattues la ville. Ces personnes dont un bébé sont mortes inondées notamment dans les quartiers Bankonko, Kindia. Les dégâts pourraient être revus à la hausse, car les autorités attendent encore les rapports en provenance d’autres entités notamment le long du lac Albert, situé au N-EST du pay.

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