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Les deux amis internautes qui sont Adirodu~Roger a droite, et Christian Kambale Saambili a gauche




En rdcongo aussi, on constate une véritable explosion du marché de la téléphonie mobile qui profite des dysfonctionnements des réseaux fixes et de la libéralisation du seul sous-secteur mobile (ce qui fait baisser les prix grâce à la concurrence). Il convient toutefois de souligner que les taux de croissance du marché à trois chiffres témoignent surtout d'un effet de rattrapage par rapport à une situation où le marché était inexistant il y a encore cinq ans. 
Internet est un réseau qui évolue d’une manière assez arrogante que personne ne cherche à se laisser passée pour un autre car il en existe presque pas. Tout le monde veut avoir accès à Internetmais tout le monde n’a pas accès à Internet. En Afrique, plus particulièrement en RDC, nous (Nous les passionnés deTIC) travaillons dans une politique assez ambigüe mais trop facile pour comprendre l’accès, à Internet en RDC. 
Aujourd' hui en Afrique Subsaharienne parexemple les 28 pays au total ont une faible pénétration à Internet avec un seuil de moins de 10 %, selon les estimations des chercheurs.
Les pays en question sont : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Côte d’Ivoire, Cameroun, Comores, Congo, Djibouti, Erythrée, Ethiopie, Gabon, Guinée, Guinée Bissau, Lesotho, Libéria, Mali, Madagascar, Mauritanie, Mozambique, Niger, République Démocratique du Congo, République centrafricaine, Rwanda, Sierra Leone, Somali, Tchad, Tanzanie et Togo.
Le but est d’essayer d’éliminer, la carence numérique pour les passionnéessans moyen financier, et de donner du travail sur l’amélioration dessystèmes informatiques desréseaux vulnérables.
Depuis 2010, On a pu profiter d’unaccès gratuit à Internet conscient par nos réseaux mais de fois inconscient. Je veux vous lister dans cet article le Bilan d’Internet gratuit en RDC de l’année 2011 à 2016 que moi j’ai pu utiliser. Cela ne veut pas dire ce que je cite sont ceux qui ont été depuis jusqu’à maintenant.
Ça vous intéresse:
*. Accéder à d’autres sites depuis freebascis
*. Méthode universelle pour avoir internet gratuit. En parallèle, la vente des Smartphones et télé- phones intelligents dans les shop risque de connaitre une baisse drastique. Beaucoup de clients risquent de renoncer à l’achat de ces téléphones du fait qu’ils ne peuvent par accéder aux différentes fonctions et applications via internet dont ils sont dotés. À long terme, ces opérateurs économiques touchés, dans leurs trésorerie peuvent être tentés d’actionner plusieurs plans sociaux, dont celui de dégraissage des effectifs, ce qui mettrait au chômage des milliers de pères et mères de familles.
Ainsi, selon les informations concordantes venant des milieux proches de ces opérateurs économiques, les clients à qui ils fournissent différents services via internet brandissent déjà de sérieuses menaces de dédommagement pour non exécution du contrat et de payer une lourde facture. Pour le moment, les différents services d’envoi d’argent par téléphone (M-pesa, TigoCash, Airtel Money) qui sont les seuls atteindre le Congo profond, sont plombés. Il est même devenu quasiment impossible de retirer de l’argent par cette voie pourtant rapide et sûre. Dans certains cas, des Congolais habitués à utiliser ce mode de transfert ou de retrait d’argent se voient fixer un plafond. “Il y a un fossé croissant entre ceux qui sont capables de se connecter facilement sur le marché mondial; et ceux qui restent hors de lui. Pour ceux-ci, un grand nombre d’opportunités sociales, économiques et politiques sont inaccessibles” Internet gratuit Tigo RDC 2011
Le réseauTigo du groupemillicom a ouvert ses portes enRDCen 2007. Depuis lors j’ai pu découvert ses faillescertes conscient qu’en 2011 et c’était pour ma première fois de bénéficier d’Internet gratuit en RDC. La connexion avait durée pour 3 mois depuis sa découverte.
Configuration Internet gratuit Tigo RDC
La configuration était simple. Il suffisait juste de mettre lepoint d’accès le proxyet le port. En République démocratique du Congo, la hausse du tarif des données internet mobile suscite depuis quelques jours beaucoup de spéculations. Cette hausse va de 35 % à 500 %, selon les opérateurs et les offres. Dans un moment de tension politique, certains activistes s'interrogent sur une répression indirecte de la part des autorités, avec la complicité des opérateurs. Et d'envisager des actions de protestation. L'autorité de régulation de la poste et des télécommunications a promis une réponse aux médias. L’absence de régulation a conduit des pays comme la République Démocratique du Congo dans un cafouillis tel que les utilisateurs, excédés par ces hausses spectaculaires du prix de l’internet (jusqu’à 500% dans certains cas), ont dû sortir et exprimer leur mécontentement en organisant un rassemblement nommée «Nuit debout ».
Mais bon! tout ceci est bientôt fini ,car un de ces jours les longueurs feront signer une pétition à des millions d’internautes afin de presser les opérateurs pour une réduction du prix de la connexion internet sur mon continent !

* L’Afrique compte environ349 millionsd’utilisateurs actifs d’Internet ( 14 % par rapport à Janvier 2015), soit un taux de pénétration de29% sur la population globale africaine (1,2 milliards environ).

*11 %c’est le taux de pénétration de l’utilisation active des réseaux sociaux en Afrique, ce qui représente environ129 millionsde personnes ( 25 %p ar rapport à Janvier 2015).

* Parmi ces 129 millions,102 millions de personnes ( 20 % par rapport à Janvier 2015) accèdent aux réseaux sociaux via le mobile soit un taux de pénétration de 8% .

En 2015, 29% des Africains sont des internautes ; mais ce taux est largement dominé par les pays du Maghreb qui profitent d’une pénétration d’environ 50%, contre à peine 2% pour certains pays d’Afrique noire, ce qui est largement en deçà des 20% considérés comme seuil critique si une économie aspire à bénéficier des avantages qu’offre un investissement conséquent dans le haut débit.

“Il y a un fossé croissant entre ceux qui sont capables de se connecter facilement sur le marché mondial ; et ceux qui restent hors de lui. Pour ceux-ci, un grand nombre d’opportunités sociales, économiques et politiques sont inaccessibles”

Mark Graham

Qu’est-ce qui explique des tarifs aussi hauts, les plus élevés au monde ?

D’abord des causes techniques :

*.Primo, parce que plus de 80% de l’accès internet est assuré par des connexions satellitaires coûteuses fournies par les États-Unis et l’Europe. Je ne vous dis même pas combien ça coûte pour faire changer l’ange d’un satellite.

*. Deuxio, parce que les câbles sous-marins servent d’abord les pays côtiers et les lignes ne parviennent pas à l’intérieur des terres africaines. Ces câbles réduisent le temps de latence dans la transmission des données, ils sont aussi très importants pour la vulgarisation de l’ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line) ou l’internet haut débit fixe, moins onéreux que l’internet mobile, qui n’a malheureusement enregistré qu’un taux de pénétration de 0.5% en 2013 sur le continent. Dans la même année 99% du trafic intercontinental des données transite sous les océans et l’année suivante on comptait dans le monde 263 câbles sous-marins reliant les continents entre eux. L’Afrique en possè de une dizaine dont le WACS (West African Cable System) avec ses 14 points d’atterrissement dont 12 sur les côtes ouest-africaines et 2 en Europe (Portugal et Angleterre).

Vous trouverez sur ce siteune cartographie complète et en temps réel de tous les câbles sous-marins de la planète ainsi que leurs différents points d’atterrissement.

*.Tertio quand vous envoyez un mail à votre voisin celui-ci effectue un voyage de plusieurs milliers de kilomètres dans divers serveurs localisés quelque part entre le continent américain, la Corée du Sud, la Chine, etc… avant d’atterrir dans la boite mail du destinataire. Tous ces transits créent des coûts supplémentaires en plus d’une réponse relativement longue en termes de Ping (Packet INternet Groper) une sorte de délais de transit. Ceci est possible parce que l’Afrique ne dispose pas de suffisamment d’IXP(Internet Exchange Point ou point d’échange internet) fonctionnels. Un IXP est une infrastructure physique permettant aux fournisseurs d’accès internet d’échanger du trafic sans sortir des limites géographiques d’une zone donnée, autrement dit quand vous envoyez un mail il n’effectuera plus de périples entre l’Asie ou l’Amérique : l’envoi sera désormais localisé et géré dans la zone définie par le protocole. Ainsi, ces infrastructures contribuent à rendre l’accès internet moins cher et plus rapide.

L’absence d’internet fixe nous oblige à recourir auxlarges bandes mobiles, c’est-à-dire tous les moyens de connexion sans fil à haute vitesse tels que les modems les smartphones, etc… dont les services sont de loin les plus chers et posent souvent un problème d’allocation des ressources radios (fréquences allouées) au niveau gouvernemental. En 2014, le taux de pénétration des larges bandes mobiles était proche des 20% alors qu’il était de moins de 2% en 2010. Ce nombre croissant d’objets connectés nécessite l’adoption du nouvel système d’adressage, en l’occurrence l’IPv6 (Internet Protocol version 6). Mais à ce jour, plus de 90% des adresses IPv6 ont été enregistrées en Égypte et en Afrique du Sud, ce qui pose de potentiels problèmes de sécurité.

Ensuite des causes politiques :


En Afrique les organes de régulation ne se soucient pas tellement du consommateur. Les quelques opérateurs présents font la pluie et le beau temps. Le manque d’engagement des gouvernements africains pourrait à terme restreindre l’accès à internet sur tout le continent. Très peu de gouvernements investissent pour se connecter aux câbles sous-marins, même s’il est clair que certains pays comme le Niger ont des priorités plus « importantes » à gérer (malnutrition, crise des réfugiés, …). Malgré tout, je crois que nos pays ne doivent pas louper cette transition vers le numérique au regard de toutes les possibilités d’avenir.

« Les pays d’Afrique subsaharienne, sont bien qu’ils soient, en bonne voie pour développer des écosystèmes florissants, doivent continuer à investir, dans les infrastructures de base ainsi que, dans des conditions d’utilisation pour maximiser l’impact de l’Internet », avertissent les analystes de Dalhenberg. Toutefois, la situation s’améliore doucement, notamment grâce aux nouveaux câbles sous-marins installés en 2011 : le SEACOM, SouthEast Asian teleCOMmunication Cable, un câble sous-marin de fibre optique de 17.000 km de long reliant l’Afrique du Sud à Bombay (Inde), Marseille (France) et Londres (Royaume-Uni), via le Kenya, la Tanzanie, le Mozambique et Madagascar. Faire de l'Internet un facteur de croissance inclusive L’étude relève que dans un contexte toujours changeant, les décideurs doivent continuer à équilibrer le défi consistant à créer des conditions de marché favorables, à catalyser la fourniture d’une prestation de services équitable, à protéger la confidentialité et à soutenir les impacts sociaux, économiques et associé à la création d’emplois que l’Internet peut contribuer à réaliser. Pour atteindre cet objectif, les décideurs doivent répondre à trois défis d’envergure : La croissance : Développer des politiques et des plans d’investissements appropriés afin de promouvoir la croissance et l’innovation, tout en protégeant les consommateurs de manière appropriée ; La protection : Rester au fait des nouvelles exigences en termes d’information numérique et des nouvelles industries qui émergent afin de pouvoir profiter de nouvelles opportunités ; L’inclusion : Gérer l‘inclusion numérique afin de s’assurer que l’Internet est non seulement mis à disposition dans des limites géographiques et démographique, mais aussi que le contenu de l’Internet crée également des voies permettant le développement de services bénéfiques sur le plan social et économique. Les principales recommandations formulées dans ce rapport sont listées ci-dessous : Accorder la priorité à la convergence entre les secteurs et l’environnement favorable général. Tirer parti du potentiel de l’Internet en termes de croissance économique et d’amélioration sur le plan social nécessite de réfléchir et d’agir en collaboration, souvent entre les secteurs. Sur la bonne voie pour développer une économie de l'Internet L’Afrique subsaharienne est en bonne voie pour rattraper les pays qui disposent d’un solide environnement favorable. Le rapport met en évidence deux piliers essentiels pour le bon fonctionnement d’une économie de l’Internet : les « infrastructures de base » (infrastructures physiques, couverture de téléphonie mobile et Internet, électricité, disponibilité de compétences, niveaux d’éducation et perceptions de corruption) et les « conditions d’utilisation » (accès, coût, sensibilisation, disponibilité et attractivité). « À partir d‘une représentation cartographique de ces indicateurs dans tous les pays d‘Afrique subsaharienne, nous pouvons voir qu’en l’absence d’investissements minimum dans les infrastructures, les décideurs se trouvent clairement confrontés à une limite en termes de progression des conditions d’utilisation », indique l’étude. En attendant que le taux de pénétration d’Internet augmente et que les prix baissent sur le continent Africain, quelques projets ont décidé de prendre les devants. En effet, ceux-ci proposent des versions de leur contenu accessible hors ligne (offline). Voici un cas d’étude pour mieux comprendre ce phénomène. En attendant que le taux de pénétration d’Internet augmente et que les prix baissent sur le continent africain, quelques projets ont décidé de prendre les devants. En effet, ceux-ci proposent des versions de leur contenu accessible hors ligne (offline). Voici un cas d’étude pour mieux comprendre ce phénomène. PRÉSENTATION DU PROJET AFRIPEDIA Dans les pays avec un fort taux d’accès à Internet, le site web Wikipedia rencontre un énorme succès.Cependant, cet accès facile et rapide à la connaissance ne bénéficie pas à tous, car selon le site d’information Ideolog.fr : « Moins de 5 % des pages écrites en français sur Wikipedia sont consultées depuis le continent africain. Pourtant, l’Afrique compte près de 100 millions de francophones ». Afripediaest un projet qui permet de consulter hors ligne toutes les informations contenues dans l’encyclopédie Wikipédia. Cette initiative a vu le jour suite à la collaboration entre Wikimédia France et la société Kiwix qui propose déjà une consultation hors-ligne de Wikipédia. Ce projet met en place : — un dispositif permettant la diffusion hors ligne du contenu francophone de Wikipédia dans les campus d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest grâce à un système composé d’un ordinateur Plug installant un réseau wifi hors-ligne. — un réseau de formation à l’utilisation de Wikipédia dans le cadre pédagogique dans un contexte hors-ligne, ainsi que des formations à la contribution sur Wikipédia.

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