Des astronomes américains ont capté dernièrement, d'étranges signaux radio venus d'une des étoiles les plus proches de la Terre. Les astronomes détectent de mystérieux signaux radio venus d'une étoile proche.

Des astronomes américains ont capté dernièrement, d'étranges signaux radio venus d'une des étoiles les plus proches de la Terre. Les astronomes détectent de mystérieux signaux radio venus d'une étoile proche.
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Les scientifiques se sont également alliés à deux autres équipes qui ont observé l'étoile depuis l'Observatoire de Green Bank et l'Allen Telescope Array de l'Institut SETI, tout deux aux États-Unis. "Nous devons collecter toutes les données des observatoires partenaires pour tout assembler et parvenir à une conclusion", a expliqué Abel Mendez. Et de conclure : "ma Piña Colada est déjà prête pour célébrer si les signaux s'avèrent être de nature astronomique". 

L'hypothèse extraterrestre en bas de la liste
Face à l'annonce de mystérieux signaux venus de l'espace, certains ne manqueront sans doute pas d'évoquer une éventuelle origine extraterrestre. Mais au risque de les décevoir, Abel Mendez a déjà pris les devants pour doucher les espoirs : "au cas où vous vous le demanderiez,l'hypothèse d'une émission provenant d'extraterrestres vient très loin après de nombreuses autres meilleures explications possibles", a-t-il souligné non sans ironie.

Reste maintenant à confirmer l'une des explications possibles. D'après l'équipe, le signal serait probablement trop faible pour être détecté par d'autres radiotélescopes.

 Le 16 juillet dernier, Abel Mendez et ses collègues se sont ainsi une nouvelle fois servi de l'Observatoire d'Arecibo pour observer Ross 128. Avec succès si l'on en croit la mise à jour du communiquépublié sur le site du Laboratoire d'habitabilité planétaire.

 Tout a commencé en avril et mai dernier alors que les scientifiques menaient des observations à l'aide du radiotélescope d’Arecibo situé à Porto Rico. L'objectif était d'étudier des étoiles de type naine rouge afin de collecter des informations sur leur radiation, leur environnement magnétique et l'éventuelle présence d'objets stellaires tels que des planètes dans leur voisinage.

Au total, sept étoiles ont été observées mais les chercheurs se sont aperçus que l'une d'elles, Ross 128, avait émis des signaux très particuliers."Les signaux prennent la forme de pulsations non-polarisées quasi-périodiques avec des motifs très forts semblables à de la dispersion", a détaillé Abel Mendez, directeur du Laboratoire d'habitabilité planétaire de l'Université de Porto Rico.

Une origine mystérieuse
D'après Abel Mendez et ses collègues, ces signaux ne sont pas des interférences radio puisque le phénomène n'a été observé que pour Ross 128 et que les observations des autres étoiles immédiatement avant et après avoir capté ces émissions n'ont pas montré de manifestation similaire. Mais alors de quoi s'agit-il ? Pour l'heure, les scientifiques l'ignorent.

Néanmoins, ils ont émis plusieurs théories pour expliquer l'origine de ces signaux. La première suggère que ces émissions seraient similaires à une éruption solaire de type II. La seconde explique elle, que les signaux pourraient provenir d'un autre objet situé dans le champ d'observation de Ross 128. Enfin, la troisième suggère qu'il pourrait s'agir de l'explosion d'un satellite situé en orbite haute.

Le problème est qu'aucune de ces théories ne colle parfaitement. Par exemple, les éruptions solaires de type II surviennent à des fréquences bien plus basses et la dispersion observée suggère une source bien plus éloignée. 

Par ailleurs, les astronomes n'ont pas repéré beaucoup d'objets dans le champ d'observation de Ross 128 et n'ont jamais vu des satellites émettre de telles explosions. 

Cantonnés jusqu'ici à la science-fiction, les univers parallèles pourraient pourtant bel et bien exister. Une récente étude dévoile en effet leur présence et remet en cause tous nos principes de réalité.
Existe-t-il des univers parallèles dans lesquelles la réalité de ce que nous vivons serait différente ?

 Si jusqu'à aujourd'hui cette question restait cantonnée au domaine de la science-fiction, une étude menée par deux astronomes de l’université de Durham (Royaume-Uni) et publiée au mois d'avril dans la revue scientifiqueMonthly Notices of the Royal Astronomical Society, tend à démontrer le contraire.

Un vide intersidéral qui pose question
Ce qui fait dire à nos deux scientifiques qu'unensemble multivers pourrait exister estla découverte en 2004 d'un "Point Froid" situé entre 6 et 10 milliards d’années de la Terre et mesurant près d'un milliard d’années-lumière. 

Ce gigantesque "Cold Spot" devrait, selon certaines théories, son existence à l’absence inexpliquée de 10 000 galaxies qui aurait fait naître un vide intersidéral où la température est plus froide que dans les régions environnantes.

Un nouveau mystère spatial vient de voir le jour et il tient déjà en haleine tous les passionnés d' astronomie. Des astronomes américains ont en effet annoncé avoir détecté d'étranges signaux venus de l' espace. Plus précisément, d'une des étoiles les plus proches de la Terre située à "seulement" onze années-lumière. Son nom : Ross 128.

Connue sous le nom de Ross 128, l'étoile de type naine rouge se trouve à "seulement" onze années-lumière de nous selon une source dela Nasa.
Les résultats obtenus suggèrent que le cataclysme a eu lieu en 10950 avant notre ère (à plus ou moins 250 ans). Ceci correspond approximativement au début du Dryas récent, une mini ère glaciaire qui a duré un peu plus d'un millénaire. 

Une théorie confirmée ?
Le Dryas récent marque l'ultime fin de la dernière période glaciaire et est considéré comme une période cruciale pour l'humanité car elle coïncide avec l'émergence de l'agriculture et des premières civilisations néolithiques. Bien que celle-ci ait fait l'objet de nombreuses études, elle reste néanmoins assez mystérieuse.

Des recherches réalisées dans la glace du Groenland ont suggéré que le Dryas récent a démarré vers 10890 avant notre ère. Ses causes elles, restent plus floues. L'une des principales théories indique qu'un impact cosmique pourrait être responsable du refroidissement mais les scientifiques n'avaient jusqu'ici pas découvert de preuves physiques.

De mystérieux symboles
Ces symboles intriguent les spécialistes depuis plusieurs décennies. En menant une nouvelle étude, Martin Sweatman de l'Université d’Édimbourg et son équipe pensent toutefois être parvenus à les décrypter. Ils estiment que les motifs correspondent en réalité à des symboles astronomiques et plus précisément des constellations.

Plus fascinant, la pierre représenterait aussi un essaim de fragments de comète frapper la Terre ainsi qu'un homme sans tête qui symboliserait, d'après les scientifiques, une catastrophe humaine et une "perte de vie étendue". Pour en savoir plus, l'équipe a utilisé un logiciel informatique afin de déterminer où se trouvaient les constellations au dessus de la Turquie à cette époque.

Des scientifiques ont réussi à déchiffrer de mystérieux symboles gravés sur les colonnes d'un temple en Turquie. Ils suggèrent que plus de 10.000 ans avant notre ère, une comète aurait provoqué un impact dévastateur sur Terre.

Il y a 13.000 ans, notre planète aurait reçu la visite d'une comète dévastatrice dont l'impact aurait provoqué une mini ère glaciaire. C'est ce que révèle une étude publiée récemment dans la revueMediterranean Archaeology and Archaeometry.

Cette conclusion découle d'une remarquable découverte réalisée par des scientifiques dans un temple en Turquie.
Situé dans le sud du pays, le temple de Göbekli Tepe est considéré comme l'un des plus vieux au monde, remontant à 9.000 ans avant notre ère. Il abrite notamment des pierres gravées dont l'une est surnommée "Vulture stone" (en français, la "pierre du vautour") en raison de la présence de plusieurs pictogrammes représentant le rapace.

Si pour le moment, les recherches menées par les deux astronomes britanniques sont loin d'avoir été validées par la communauté scientifique, celles-ci ont au moins le mérite d'avancer d'autres théories intéressantes pour expliquer la présence de ce vide intersidéral.

"Le but ultime de la physique a toujours été d'expliquer comment notre univers a pris la forme qu’il possède", a écrit récemment dans les colonnes duGuardian, le Dr Stuart Clarke, journaliste expert en astronomie.
"Chaque univers alternatif porte peut-être sa propre version différente de la réalité. Il y en aura une où j'écris ces lignes et une autre où je les aurais déjà lues. Et même une autre réalité dans laquelle Donald Trump utilise Twitter pour diffuser seulement… des vidéos de chats", conclu non sans humour Stuart Clarke.

Selon les deux chercheurs de l'université de Durham,ce spot plus froid pourrait avoir été créé par la collision de deux univers parallèles. "Ces vides intersidéraux que nous avons détectés ne s’expliquent à pas la cosmologie standard", explique Ruari Mackenzie, l’un des scientifiques de cette étude.

Un univers parallèle où Donald Trump publie des vidéos de chats
"Nous ne pouvons pas entièrement exclure que le Spot a été causé par une fluctuation expliquée par la physique des particules. 

Mais si ce n'est pas le cas, il y a des explications plus exotiques.Peut-être que la plus excitante est de dire que le Point Froid a été causé par une collision entre notre univers et un autre univers bulle" ce dernier.
Existe-t-il des univers parallèles dans lesquelles la réalité de ce que nous vivons serait différente ? 

Si jusqu'à aujourd'hui cette question restait cantonnée au domaine de la science-fiction, une étude menée par deux astronomes de l’université de Durham (Royaume-Uni) et publiée au mois d'avril dans la revue scientifiqueMonthly Notices of the Royal Astronomical Society, tend à démontrer le contraire.

Un vide intersidéral qui pose question
Ce qui fait dire à nos deux scientifiques qu'unensemble multivers pourrait exister estla découverte en 2004 d'un "Point Froid" situé entre 6 et 10 milliards d’années de la Terre et mesurant près d'un milliard d’années-lumière.

 Ce gigantesque "Cold Spot" devrait, selon certaines théories, son existence à l’absence inexpliquée de 10 000 galaxies qui aurait fait naître un vide intersidéral où la température est plus froide que dans les régions environnantes.

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