Le Commandant de la Force de la MONUSCO, en Rép Dém du Congo, a achevé une mission dela situation sécuritaire, dans la province de l’Ituri

Précisement, à Gety, chef lieu des institutions dela collectivité de Lendu-Bindi, à 60 km au Sud de Bunia, chef-lieu de la collectivité des Walendu Bindi en proie aux miliciens du FRPI, où le Lieutenant Général Derrick Mgwebi s’est également rendu, la population de cette entité, en dépit des contraintes financières que connait aujourd’hui la MONUSCO, plaide pour l’augmentation des effectifs des Casques bleus. 

Bunia, le 24 septembre 2017– Le Commandant de la force de la MONUSCO, le Lieutenant Général, Derrick Mgwebi, vient d’achever une mission d’évaluation de la situation sécuritaire dans la province de l’Ituri.

Pour ces habitants, cette augmentation, en effectif, permettrait aux Casques bleus de réagir rapidement en cas d’incursions des éléments FRPI.
L'Ituri est depuis 2015 une province de la République démocratique du Congo à la suite de l'éclatement de l’ex- Province orientale.

Elle est en proie à un conflit interethnique depuis 1999 qui a fait plus de 50 000 morts et 500 000 déplacés.

En substance, le Lieutenant Général Derrick Mgwebi, a annoncé le retrait de la présence militaire de la MONUSCO à Biakato dans le territoire de Mambasa et le regroupement des forces onusiennes de Bunia et de Dungu pour mieux répondre aux exigences sécuritaires dans la region.

Le patron des Casques bleus a justifié cette décision par la réduction du budget de fonctionnement de la MONUSCO qui a pour conséquence la diminution des effectifs militaires sur le terrain.

Par la même occasion, le Lieutenant Général Derrick Mgwebi a demandé aux éléments du Front de Résistance Patriotique de l’Ituri (FRPI), à la base du regain d’insécurité au Sud d’Irumu, de déposer les armes afin de participer au développent de la RDC.

En substance, le Lieutenant Général Derrick Mgwebi, a annoncé le retrait de la présence militaire de la MONUSCO à Biakato dans le territoire de Mambasa et le regroupement des forces onusiennes de Bunia et de Dungu pour mieux répondre aux exigences sécuritaires dans la region. 

Le patron des Casques bleus a justifié cette décision par la réduction du budget de fonctionnement de la MONUSCO qui a pour conséquence la diminution des effectifs militaires sur le terrain.

Durant trois jours, le Lieutenant Général Derrick Mgwebi, a eu une série de rencontres avec les autorités civile et militaire de la province. Il a aussi visité ses troupes sur le terrain, s’est entretenu avec les leaders communautaires,les membres des organisations de la société civile et la population congolaise.

À noter aussi que, Ituri : plaidoyer pour une force dissuasive des Casques bleus contre la FRPI à Walendu Bindi

«Il nous faut une force qui peut attaquer et poursuivre cette milice jusque dans sa cachette», a ajouté Adirodu Baduru, à l’issue de la visite du commandant des Forces de la MONUSCO, le Lieutenant Général Derrick Ngwebi. 

Ce dernier a quitté Bunia samedi après-midi après un séjour de 72 heures en Ituri. Il s’était rendu à Gety, à 60 km au sud de Bunia dans la chefferie de Walendu Bindi.

Sur place, la population locale a aussi sollicité le renforcement des effectifs des casques bleus. Pour elle, cette augmentation permettra de «vite réagir» en cas de multiples appels de la population lors des incursions simultanées des miliciens de la FRPI.

«Il arrive parfois que la MONUSCO basée à Gety reçoit plus de deux appels au même moment quand la milice fait incursion dans plusieurs coins. Elle est parfois embarrassée, et quand elle ne sort pas, la milice opère en toute quiétude», a renchéri le président de la société civile, Gabriel Androzo.

«Nous souhaiterions qu’il y ait une force en place pour éradiquer le phénomène milice à Walendu Bindi», a plaidé, samedi 23 septembre à Bunia (Ituri), le représentant du chef de la chefferie de Walendu Bindi, Adirodu Baduru. 
Pour lui, la population de sa chefferie a souffert pendant longtemps de l’activisme des miliciens et le phénomène de la Force de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI) devrait être éradiqué.

Lors de son séjour de trois jours à Bunia, le commandant des forces de la MONUSCO s’est notamment entretenu avec les Forces armées de la RDC et la Police nationale du Congo (PNC) et avec toutes les couches sociales de la chefferie.

Radio Okapi n’a pas pu avoir la réponse du commandant des casques bleus face à toutes ces demandes des habitants de Gety. 

Cependant, selon la société civile locale, le patron des forces de la MONUSCO a promis de transmettre toutes ces doléances de la population à sa hiérarchie.


En Ville commercial de Butembo dans la province du Nord-Kivu selon les propos d'Edgar Mateso vice président dela société civile sur place, Butembo ATTENTION ! KASUKU n'est pas parti.

Chers concitoyens, Le dossier de Mr Kiza Omer a semblé endormir les gens jusqu'à paraître oublier le grand danger : le phénomène KASUKU. Il est toujours devant la porte de chacun des habitants ici à Butembo.

Par exemple, la nuit de jeudi 21 à vendredi 22/09/2017 des bandits ont tenté opérer en cellule Ngote, Quartier Mukuna, commune Bulengera. Chez KAMBALE MUSAFIRI Jean-Baptiste et chez son voisin..., ils n'ont pas pu pénétrer suite à une alerte de l'intérieur.

Par ailleurs, dans la nuit du mardi 19 au mercredi 20 Septembre vers 1h30, les malfrats ont opéré chez KAMBALE MMUHIWA Yoheli (Joël), résidant au No 7, cellule Londo, Quartier de l'Evêché, Commune De Bulengera. Ils ont extorqué au moins : 37$, 35 000 Fc, 3 téléphones, 1 ordinateur...

Pire encore, ils ont même violé deux jeunes filles avant de les abandonner.
Donc ce n'est pas fini !

Butembo ATTENTION ! KASUKU n'est pas parti.
Chers concitoyens, Le dossier de Mr Kiza Omer a semblé endormir les gens jusqu'à paraître oublier le grand danger : le phénomène KASUKU. Il est toujours devant la porte de chacun des habitants ici à Butembo.

Par exemple, la nuit de jeudi 21 à vendredi 22/09/2017 des bandits ont tenté opérer en cellule Ngote, Quartier Mukuna, commune Bulengera. Chez KAMBALE MUSAFIRI Jean-Baptiste et chez son voisin..., ils n'ont pas pu pénétrer suite à une alerte de l'intérieur.

Par ailleurs, dans la nuit du mardi 19 au mercredi 20 Septembre vers 1h30, les malfrats ont opéré chez KAMBALE MMUHIWA Yoheli (Joël), résidant au No 7, cellule Londo, Quartier de l'Evêché, Commune De Bulengera. Ils ont extorqué au moins : 37$, 35 000 Fc, 3 téléphones, 1 ordinateur...

Pire encore, ils ont même violé deux jeunes filles avant de les abandonner.
Donc ce n'est pas fini !
EDGAR MATESO

Premier vice-président de la société civile de Butembo.


Le groupe d’étude pour le Congo (GEC) dément “politiser” ses rapports sur la République démocratique du Congo, notamment au sujet de la crise sécuritaire dans la région de Beni.

M. Stearns fait remarquer que son organisation n’est pas la seule à accuser le Général Mundos et les FARDC. 

“Le Groupe d’experts de l’ONU a également conclu que le Général Mundos avait été impliqué dans des massacres autour de Beni dans leur rapport de mai 2016. Une enquête parlementaire congolaise a déclaré que des unités FARDC étaient complices dans au moins une massacre dans un rapport de 2014. L’Union européenne a trouvé ses preuves assez crédibles pour imposer des sanctions contre Mundos en 2017“, explique-t-il.

En effet, l’Union européenne a annoncé en mai dernier, des sanctions contre neuf hauts responsables du régime du président Joseph Kabila en RDC. Parmi les officiels congolais, y a aussi des généraux de l’armée dont Muhindo Akili Mundos, commandant de la 31e brigade des FARDC (Forces armées de la République démocratique du Congo).

Jason Stearns fait savoir que lui et son organisation restent perplexes face à l’accusation selon laquelle ils seraient politiquement motivés. “Notre rapport accuse les membres de l’opposition, les chefs locaux, les ADF, le M23, ainsi que les FARDC. Si nous étions motivés par un biais quelconque, nous serions au service de quel opérateur politique?” interroge-t-il.

“Nous encourageons le CEPADHO et d’autres organisations à continuer de faire pression sur les autorités congolaises pour rendre justice pour les massacres de plus de 800 personnes autour de Beni“, conclut le Directeur du Groupe d’étude sur le Congo.
Accusé de “politiser” ses rapports sur la crise à Beni, le GEC répond!

Dans une déclaration publiée vendredi 22 septembre, l’ONG CEPADHO soutient que le rapport publié par le groupe d’étude sur le Congo conduit par le chercheur Jason Stearns “contient des contre-vérités” qui, selon elle, laissent à croire que les recherches de GEC ont été politiquement orientées et subjectives.

Contacté dimanche par POLITICO.CD, Jason Stearns dément ses affirmations, faisant remarquer que le CEPADHO est d’accord avec GEC pour affirmer que “les ADF n’étaient pas le seul groupe impliqué dans les massacres.”
“Nos recherches sont basées sur environ 250 entretiens, dont beaucoup sont des participants aux massacres. 

Plusieurs dizaines de sources fiables confirment la participation des membres des FARDC dans les tueries; suggérer que nous n’avons aucune preuve est donc d’ignorer ces sources, ou de rejeter leur fiabilité. GEC maintien ses résultats, que nous avons recueillis à travers plusieurs chercheurs sur une période de deux ans“, démontre le chercheur américain de l’Université de New York.

Christophe Munyanderu
Jusqu'à quand OTOMABERE sera liberé entre la main de ces autoritées policières qui sont auteurs des violations des droits humains? alertons toujours sur les violations des droits humains dont la police otomabere est auteur.denoncons des arestations arbitraires et detention illegale.

Les preuves àla puis il fait aujourd'hui 4 jours que un papa le nomé HERMA SILWAMUHUMA qui a été areté motif sa femme s'etait bagarée avec une autre qu'on presime etre sa rivale.et une autre maman nomée KALAYI JUDITE qui celle ci serait areté inoncement.

l'ONGDH/CRDH Convention pour le Respect des Droits Humains lance un SOS à toutes les autorités competentes de venir au secours dela paisible population victime d'une societe sans lois.


Dans l'Est du pay, un soldat et deux miliciens tués dans des combats dans l'est !

"Nous procédons à un ratissage (de la zone) pour éloigner ces miliciens de la population civile", a ajouté l'officier. Dimanche, 20 villageois qui fuyaient des combats dans cette zone sont morts noyés dans le lac Édouard, selon les autorités locales.

Dans la province voisine de l'Ituri, des déplacés venant de Lubero continuent d'arriver par vagues successives.
"Environ 14.500 personnes ont fui les combats entre l'armée et des groupes armés", elles ont été "signalées" dans des villages situés à 160 km de Bunia, capitale de l'Ituri, a déclaré à l'AFP Serge Mabaluka, un employé du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) dans cette province.

Le territoire de Lubero est situé à 300 km au nord de Goma (capitale du Nord-Kivu), dans une zone où plusieurs groupes armés congolais et étrangers s'affrontent depuis plus de vingt ans.

Les Maï-Maï sont des groupes "d'autodéfense"constitués sur une base essentiellementethnique. Pendant la deuxième guerre du Congo (1998-2003), nombre de ces groupes ont été armés par le pouvoir pour lutter contre des combattants ougandais ou rwandais.

Mais certains n'ont jamais désarmé. Depuis le début de l'année, ces miliciens attaquent régulièrement les positions de l'armée congolaise dans le Nord-Kivu et dans la province voisine du Sud-Kivu.

Un soldat congolais et deux miliciens ont été tués samedi dans des combats opposant l'armée à des milices qui forcent des habitants vivant sur le territoire de Lubero dans le Nord-Kivu à fuir leurs foyers, a-t-on appris de source militaires.

"L'attaque de notre position de Kanyatsi ce samedi" a fait deux morts parmi "les miliciens Maï-Maï Mazembe" et l'armée "a perdu un militaire", a déclaré à l'AFP le lieutenant Jules Tshikudi. Ces affrontements deviennent de plus en plus fréquents dans cette région.

Dévant les Nations-Unies, dernièrement, le président Joséph Kabila s'est présenté comme le seul garant de la sécurité de son pays

A l'Union des patriotes républicains, Odette Babandoa constate que c'est la répétition d'un même discours ; la distraction. On parle d'un accord-cadre qui n'est pas respecté.

Et dans les rangs du Rassemblement des forces acquises au changement, Pierre Lumbi, le président du conseil des sages, considère que le discours est vide, c'est un discours de banalité qui n'apporte aucune réponse aux attentes des Congolais. 

Quant au député national Toussaint Alonga de la Nouvelle Dynamique de l'opposition, il trouve dans le discours du président Kabila la révélation de tout ce qui se mijote dans la Majorité présidentielle : pas d'ingérence de la communauté internationale.

Le président Joseph Kabila s’est finalement exprimé, samedi 23 septembre, devant l’Assemblée générale de l’ONU.

 C’est une surprise. Il était prévu dans le programme de l’ONU, mais son arrivée a été annoncée à la toute dernière minute et alors que la réunion sur la RDC avait eu lieu le mardi 19 septembre. Joseph Kabila, pour ce qui devrait être son dernier discours à l’AG, a voulu se présenter comme le garant de la sécurité du pays.

Avec notre correspondante à New York, Marie Bourreau.

Il est arrivé après la bataille puisque les principales délégations ont déjà quitté New York, mais cela n’a pas empêché Joseph Kabila de jouer une contre-offensive à la tribune des Nations unies. ll s’est ainsi présenté comme le seul garant de la sécurité en RDC.

« Nous avons inversé la tendance dangereuse de la situation sécuritaire au centre du pays avec comme résultat une amélioration très significative de la situation », a déclaré le chef d'Etat.

Alors certes, l’Assemblée générale était très vide pour écouter le président congolais, mais son message, entre les lignes, a sûrement été reçu cinq sur cinq : c’est lui qui détient encore les clés du pouvoir et de son éventuelle succession. 

« J’affirme que le cap vers des élections crédibles, transparentes et apaisées est définitivement fixé », a-t-il ajouté.

En outre Dans le bassin du Congo, les Pygmées persécutés au nom de la protection de la nature


Deux grandes ONG environnementales sont visées par les accusations de Survival International. Il ne s’agit pas de bavures isolées. Les témoignages de Pygmées rassemblés par l’ONG Survival International dans trois pays du bassin du Congo – Cameroun, Centrafrique et Congo-Brazzaville – font la lumière sur les violences infligées aux peuples des forêts pour les tenir à distance des aires naturelles protégées.

La lecture du rapport intitulé « Comment allons-nous survivre ? La destruction des tribus du bassin du Congo au nom de la conservation ? », auquel Le Monde a pu avoir accès en exclusivité, laisse un profond sentiment de malaise.

Près de trente ans après les grandes campagnes pour la défense des peuples autochtones contre le « colonialisme vert » des ONG environnementales, leurs droits, pourtant officiellement reconnus par ces organisations, ne seraient dans cette région du monde qu’une réalité de papier, et les agressions, parfois mortelles, n’auraient jamais cessé.