Au nord-kivu les criminels des ADF islamistes radicaux, continuent à cibler jour au jour, tout passage suivi des attaques meurtrière sur axe routier Mbau-Kamango, qui s'observe depuis 07 octobre 2017, dans la partie Est du térritoire de Beni, vers l'Est dela République Démocratique du Congo, ce qui alimente des pyscauses au sein dela population.

Et donc, ces rebelles musulmans ougandais "nous ont tendu une embuscade a précisé Mac Hazukay Mungba le porte parole d' opération Sukula 1 nord, dans la région de Beni.

En disant que, ils sont d'échappé à la mort avec le général de brigade Mbangu Marcel", commandant des opérations militaires locales, "il y a quelques blessés" parmi les...

« Il convient de signaler qu’après l’attaque menée contre la base de la MONUSCO à Mamundioma le 9 octobre 2017, des opérations offensives vigoureuses se poursuivent pour contrôler et sécuriser l’axe Mbau Mamudioma-Semuliki et favoriser l’accès libre aux populations locales », a dit le Lieutenant-Colonel Serge Haag, porte-parole militaire de la MONUSCO, ce mercredi 18 octobre 2017 au cours de la conférence hebdomadaire de la mission onusienne.

Pour le contexte, les casques bleus de la MONUSCO poursuivent less opérations sur l’axe Mbau-Kamango dans le territoire de Beni.
Selon les sources locales, l’attaque a été menée par des présumés ADF. L’échange des tirs a duré plus de 30 minutes. Des sources militaires indiquent que le général Marcel Mbangu est sorti sain et sauf de cette attaque. Un militaire a été tué et plusieurs autres blessés, selon les mêmes sources.

Le convoi du Général de brigade Marcel Mbangu Mashita, commandant des opérations Sokola 1 au Nord-Kivu a été attaqué ce mercredi 18 octobre 2017 sur la route Mbau-Kamango, dans le territoire de Beni.

« De même, des patrouilles de longue durée, des opérations terrestres et aériennes continuent dans ce secteur pour assurer la protection des civils et maintenir la pression sur ces éléments négatifs.

 La Force de la MONUSCO reste déterminée à neutraliser tous ces groupes armés opérant sur les territoires menacés par la violence grâce à des opérations robustes pour ainsi assurer la protection des civils »,a-t-il ajouté.

Les casques bleus de la MONUSCO poursuivent leurs opérations sur l’axe Mbau-Kamango dans le territoire de Beni.

« Il convient de signaler qu’après l’attaque menée contre la base de la MONUSCO à Mamundioma le 9 octobre 2017, des opérations offensives vigoureuses se poursuivent pour contrôler et sécuriser l’axe Mbau Mamudioma-Semuliki et favoriser l’accès libre aux populations locales », a dit le Lieutenant-Colonel Serge Haag, porte-parole militaire de la MONUSCO, ce mercredi 18 octobre 2017 au cours de la conférence hebdomadaire de la mission onusienne.

Les troupes de Forces Armées de la République démocratique du Congo ont affirmé avoir repris le contrôle de la route Mbau-Kamango après une semaine d’intenses combats contre les rebelles ADF. 

Ces combats ont provoqué les déplacements massifs de la population de Mamundioma vers des zones « sécurisées ». La MONUSCO dit maintenir son dispositif aérien et terrestre.

L'actualité c'est aussi, La Mission de l’organisation des Nations unies pour la stabilisation de la RDC (Monusco) ne souhaite pas s’exprimer au sujet de l’élection de la RDC au Conseil des droits de l’homme de l’ONU.

 C’est ce qu’a dit Florence Marshal, porte-parole intérimaire de la Mission onusienne en RDC, lors du point de presse hebdomadaire de la Monusco ce mercredi 18 octobre 2017.

Depuis l’élection de la République démocratique du Congo au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, des organisations des droits humains et chercheurs se montrent indignés. Ils dénoncent un affront contre la mémoire des victimes des violences en marge de l’instabilité politique que connaît actuellement la RDC.

«En tant que Mission de l’organisation des Nations Unies, nous n’avons pas à commenter les décisions des États membres de notre organisation. C’est l’Assemblée générale de l’ONU qui a élu la RDC avec trois autres représentants du groupe Afrique au Conseil des droits de l’homme. 

Donc cela n’appelle aucun commentaire de notre part. Il faut savoir faire la distinction entre les institutions et le travail de terrain. Le Conseil des droits de l’homme est un organe intergouvernemental du système des Nations unies. 

Il est composé de 47 États et se conseille à la responsabilité de renforcer la promotion et la protection des droits de l’homme dans le monde. Et ici, sur terrain, pour le mandat qui nous a été donné, nous poursuivons le monitoring de la situation des droits de l’homme pour constater et dénoncer les violations», a expliqué Florence Marshal, porte-parole intérimaire de la Monusco.

Les présumés rebelles ougandais de l’Alliance des forces démocratiques ont attaqué la semaine dernière des positions de l’armée et celles de la Monusco dans le « triangle de la mort » comprenant Eringeti, Mbau et Kamango, dans le territoire de Beni.

Plusieurs personnes dont des commerçants civils ont été tués sur l’axe routier Mbau-Kamango.

Après une semaine d’intenses combats, l’armée avait repris le contrôle de l’axe routier jugé important pour l’Opération Sokola 1 qui traque les rebelles ADF dans la contrée.

La résurgence des tueries des civils dans cette partie du pays impacte négativement sur la situation économique dans la région. Selon Gilbert Kambale, la population n’a plus accès aux champs pour évacuer les produits agricoles. 

« Ils ont perdu 29 motos incendiées alors qu’elles étaient leur moyen de subsistance. La situation socio- économique s’est dégradée parce que les gens ne peuvent plus aller aux champs, ne peuvent plus vendre le cacao, le café et d’autres produits vivriers à cause de l’insécurité, les gens sont mis en mal », a-t-il ajouté.

La grève qui s' est terminé ce mercredi été sanctionné par une déclaration des associations des motocyclistes sur la situation sécuritaire dans le territoire de Beni.

« Effectivement les taximen des motos ont commencé les journées villes mortes hier et ont continué aujourd’hui. Beaucoup de familles sont en deuil parce que c’est avant-hier qu’on a enterré les corps en décomposition qui étaient au front. 

Ce sont les membres de la société civile, c’est leur manière de pleurer les leurs qui ont été égorgés. C’est donc leur moyen de s’exprimer, de lancer leur cri de détresse et de réclamer l’indemnisation du gouvernement congolais. 

Neuf motards de Beni sont morts et d’autres étaient de Kamango », a dit à ACTUALITE.CD Gilbert Kambale, président de la société civile de Beni.

En dépit de la reprise de son contrôle, les civils sont interdits par les forces loyalistes de prêter l’axe Mbau-Kamango.

Ce mardi 17 octobre 2017, les associations des conducteurs des taxis-motos sont au deuxième jour de grève dans le territoire de Beni (Nord-Kivu) pour protester contre les massacres des civils parmi lesquels des motocyclistes, la semaine dernière, lors des attaques des présumés rebelles ougandais ADF contre des positions de l’armée congolaise (FARDC) ainsi que celles des casques bleus de la Monusco.

Ce mouvement de grève de trois jours qui a débuté lundi dernier intervient après l’enterrement des victimes des massacres.

D' après Edgar Mateso

19 octobre 2012 - 19 octobre 2017 cinq ans de
captivité de nos trois prêtres assomptionnistes de la Paroisse 

Notre-Dame des Pauvres de MBAU en territoire de Beni / NORD-KIVU /RDC.

Leurs destination reste toujours un mystère. Aucune idée sur leur probable survie ou mort. À
leur nombre se sont ajoutés plusieurs autres y
compris leurs deux confrères de Bunyuka ainsi
que des personnes égorgées en territoire de
Beni. 

Il s'observe un très grand silence de la
part des autorités. Même pas un message de
compassion. Pour les herméneutes, ce silence
est plein d'éloquence.
Edgar