Bientôt le nouveau pont construi par le gouvernement dela Rdcongo sera lnaugurer en térritoire de Beni

Afficher plus de réactioAprès la construction d'un grand pont, la traque des ADF doit se poursuivre !
#Dans le but de #mieux #dévelloper l'#activitééconomique dans la région de #Beni et au #niveau national, voici le #nouveau #pont jeté sur la #Rivière Semliki sera bientôt inaugurer en #têrritoire de #Beni #province du #Nord-Kivu, #République #Démocratique du #Congo.
Des voyageurs rencontrés au pont Semuliki et qui venaient de traverser en barque après une heure d’attente ont indiqué que le passage coutait 2000 francs congolais (2 USD) FC pour la moto et 500FC par individu (0,5US).
En attendant que le pont soit jeté, une pirogue et trois barques construites pour faire passer les voyageurs et les marchandises ont été mises en service depuis samedi 7 janvier.
Le pont s'est effondré au passage d'un camion en début de semaine.
Depuis, pas moyen de faire la traversée sur cet axe stratégique qui permet d'approvisionner cette partie du pays.

La fois passé l'un deux affirmait que "les prix de certains produits commencent à augmenter.
En plus, il n'y a pas d'autres routes secondaires pour pallier à l'absence de cette route dont le pont s'est écroulé".
Butembo et Beni, mais aussi les régions environnantes, notamment la grande partie de l’ex-province Orientale, de l’ex-Equateur et toute la partie nord du Nord-Kivu sont dépendants de transafricaine numéro 8 reliant le port de Mombassa au Kenya à celui de Lagos au Nigeria.
Ce couloir important jonchant la RDC via la route national numéro 4, constitue un des axes importants du Corridor Central COMESA (Marché commun de l’Afrique orientale et australe), long de 1 300 kilomètres, dont font partie le Burundi, la République démocratique du Congo, le Rwanda en Afrique Centrale ; mais aussi la Tanzanie et l’Ouganda en Afrique Orientale.
Le pont qui permettait de franchir la rivière Semliki au sud-est de Béni s’est effondré au passage d’un camion de marchandises la semaine dernière.
Conséquence, les villes de Butembo et Beni été coupées de l’autre rive du territoire de Beni, frontalière à la l’Ouganda. Face à cette situation les prix explosaient dans la région.
Entretemps il y a lieu de craindre que les groupes des tueurs armés, qui ont fait du territoire de Beni un abattoir humain, profitent de l’enclavement provoqué par cet accident pour intensifier leurs activités terroristes (massacre et enlèvement) dans cette extrémité est du territoire de Beni, tout en transformant la frontière de Lubiriha ; car une telle ambition a toujours fait partie des préoccupations majeures de tous les différents groupes armés qui choisissent le Graben et le secteur de Rwenzori pour maquis.
Le 16 janvier, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont lancé une opération dans la région de Beni, dans l’est du Kivu, dans le but de neutraliser la milice islamiste de l’Alliance des forces démocratiques-Armée nationale de libération de l’Ouganda (ADF-NALU), qui occupe de plus en plus le devant.
Ce dernier temp l’effondrement du Pont Semliki été la raison principale de l’explosion des prix sur les marchés, dans cette partie orientale de la RDC, dépendante de l’énergie pétrolière, faute d’autres sources.
Cette hausse des prix été constatée à Butembo et environs. « La chute vertigineuse du franc congolais en est aussi l’une des raisons majeures », explique Kule Vuhimbwira de la Fédération des Entreprises du Congo. 

Ce jour là, le dollar américain frôle les 1500 Francs Congolais, contre 930 F, en septembre 2016.
Le pont Semliki, jeté sur la rivière du même nom, sur l’axe Beni-Kasindi à une vingtaine de kilomètres à l’Est de la ville de Beni s’est effondré au passage d’un gros camion «Actros» dans la matinée de lundi 02 janvier, a confirmé à l’ACP, le Maire de cette 3èmeville du Nord-Kivu, Jean-Edmond Nyonyi Bwanakawa, joint par l’ACP au téléphone.
Selon cette autorité, de retour sur le lieu de l’accident, l’ouvrage long de 63 mètres, construit vers les années 1950 et rongé par le poids de l’âge, aurait cédé suite au tonnage du camion-remorque qui provenait du port kenyan de Mombasa via l’Ouganda et la cité congolaise de Kasindi-Lubirihya.

Le chauffeur et son assistant se tirés miraculeusement de la cabine de l’engin pendant qu’il effectuait son immersion dans les eaux profondes de la rivière laissant ainsi la remorque perchée sur le reste de ferraille.
La circulation étant complètement coupée entre Kasindi et Beni et Butembo, par ricochet, les techniciens de l’Office des Routes ont été dépêchés sur le lieu en vu d’évaluer l’ampleur des dégâts.

L’axe Kasindi-Beni constitue le deuxième poste d’entrée et sortie des marchandises en importance et en partance des pays de l’Est (Ouganda-Kenya-Tanzanie) et l’effondrement du pont Semliki aura, à coup sûr, des répercutions sur la vie socioéconomique de cette partie du Nord-Kivu.

Une des sources principales du fleuve Nil, la rivière Semuliki prend les eaux d’un déversoir du lac Édouard et traverse, elle aussi, le lac Albert plus au Nord avant de gagner le Nil.


Au # Nord- # Kivu! 

Les 26 # personnes # victimes# qui ont été massacrés le 07 # octobre2017 # dernier, par d'un # groupedes # ADFsur axe # routier # Mbau- # Kamangoen # République # Dèmocratiquedu # Congo, dans la partie Est du # térritoirede # Beni, ont été # Inhumésle # dimanche15 #octobre 2017 au point kilométrique 40.

Le bilan selon « des informations recueillies par le CEPADHO indiquent que les corps des civils massacrés samedi 7 octobre courant ont été retrouvés.

Dans le même chapitre, dite commission a constaté avec beaucoup d'émotion que 26 dont 3 de sexe féminin en tout ont été d'abord ligotées et tuées en leur cassant les cou et ou nuques.

Ces corps sans vie sont regroupés en tas de dix, tas de six, tas de deux, tas de trois et un un.
Parmi ces personnes il y a à compter trois de sexe féminin et vingt deux de sexe masculin dont un soldat des FARDC.

Les tueurs les ont abandonnés tous à même le sol. Ils seraient sauvagement tués fusillés, découpés à la machette. 

Au total 36 corps se trouvent au PK40 au côté de 20 motos incendiées. Selon les sources concordantes, les corps de 36 civils trouvés au PK40 sont déjà en décomposition.

 Parmi eux figurent des opérateurs économiques, des taximen, des fonctionnaires de l’État, des agents d’ONG… », rapporte le CEPADHO dans un communiqué rendu public ce samedi 14 octobre 2017.

La commission mixte descendue sur terrain au PK40 route Mbau-Kamango au nord-est de la ville de Beni confirme que réellement les personnes humaines ont été atrocement tuées.

Le substitut de l'auditeur militaire superieur du Nord Kivu le lieutenant colonel magistrat Kumbu Ngoma a sur le lieu ordonné que toutes ces vingt vingt corps soient enterrées sur place, car elles ne sont plus identifiables car complètement en décomposition .

Le Centre d’Etudes pour la Promotion de la Paix, la Démocratie et les Droits de l’Homme (CEPADHO) annonce que 36 corps ont été retrouvés au PK40, dans l’axe routier Mbau-Kamango, en territoire de Beni, au Nord-Kivu, 6 jours après l’occupation de cette route par les « terroristes » ADF Nalu.

Le 7 octobre dernier, les ADF ont pris le contrôle de l’axe routier Mbau-Kamango après d’intenses combats avec l’armée et la Monusco. Deux casques bleus ont été blessés.

L’armée a annoncé vendredi 13 octobre dernier avoir repris le contrôle de cette route avec les forces de la Monusco, après 6 jours des combats.

Les quatre éléments de la protection civile ont mis tous ces corps dans sacs mortuaires et les militaires des Fardc sont entrain de creuser les trous individuels pour les enterrer. Sur place vingt et une motos ont été aussi incendiées , dont les images intégrées.

Aux Nations-Unies

La RDC République Dém du Congo a été élue ce lundi 16 octobre 2017 comme membre du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Elle fait partie des 47 pays membres dont 13 africains. 

Les membres du Conseil sont élus pour un mandat de trois ans et ne seront pas immédiatement rééligibles après deux mandats consécutifs.

Lambert Mende, Ministre congolais de la Communication et des Médias, s’est montré satisfait de l’élection de la RDC comme membre du Conseil des droits de l’homme de l’ONU ce lundi 16 octobre 2017.

« Nous sommes satisfaits. En dépit des agitations de certains. Nous allons partager notre expérience en matière de droits de l’homme avec le monde. Notre expérience qui est riche »,a dit à ACTUALITE.CD, Lambert Mende.

Pour lui, la voix de la RDC a été entendue au-delà du cercle africain.

« 151 voix alors que l’Afrique ne compte que 54 Etats, c’est-à-dire que notre voix a été entendue. Ce n’est pas parce que les ADF, les Kamwina Nsapu et autres terroristes tuent que le gouvernement est coupable. Nous avons toujours défendu les droits de l’homme »,a-t-il ajouté.

A la question de savoir s’il y aura un changement dans les comportements des autorités congolaises vis-à-vis de différents doits comme le droit à manifester, Lambert Mende a tranché :

« Vous parlez comme si vous avez assimilé cette propagande de certains. Les droits et libertés sont soumis à la loi comme partout au monde »,a-t-il déclaré.

Conseil des droits de l’homme de l’ONU : « Nous allons partager avec le monde notre expérience en matière de droits de l’homme » (Mende)
Toutes les réactions:

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RDC élue membre du Conseil des droits de l’homme: « Nous devons être exemplaire, nous allons faciliter la tâche aux enquêteurs de l’ONU » (Mushobekwa)

Conseil des droits de l’homme de l’ONU : « Nous allons prouver aux pays ayant soutenu l’élection de la RDC qu’ils ont fait un mauvais choix » – (Jean- Claude Katende)

«L’élection de la RDC au Conseil des droits de l’homme ne nous décourage pas. Nous savons très bien que ce sont les pays africains qui ont soutenu la RDC. 

Mais nous n’allons pas baisser les bras. Nous allons continuer à documenter les cas des violations des droits de l’homme dans le territoire national pour prouver à ces pays africains qui ont soutenu la RDC qu’ils ont fait un mauvais choix », a déclaré le président de l’ASADHO.

Le président de l’Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme (ASADHO) Jean-Claude Katende se dit indigné de l’élection de la République démocratique du Congo (RDC) au Conseil des droits de l’Homme de l’Onu.

 Dans une interview accordée ce lundi 16 octobre 2017 à ACTUALITE.CD, Jean-Claude Katende promet que son association continuera à documenter les cas des violations des droits de l’homme dans le territoire congolais pour prouver, dit-il, aux pays africains ayant soutenu l’élection de la RDC au Conseil de droit de l’homme qu’ils ont fait un mauvais choix.
Ils étaient plusieurs dizaines de congolais qui ont participé à cette manifestation.

Manifestation des congolais à Genève contre la candidature de la #RDCau Conseil des droits de l’homme de l’ONU pic.twitter. com/zquoS mMEJl
— ACTUALITE.CD (@actualitecd) 16 octobre 2017

« Il est à craindre que l’ONU souffre d’un discrédit si la RDC arrivait à siéger au Conseil des droits de l’homme »

Les mouvements citoyens ainsi que certaines ONG des droits de l’homme ont manifesté ce lundi 16 octobre 2017 à Genève pour manifester contre la candidature de la RDC au Conseil des droits de l’homme de l’ONU.

« En effet, de très lourdes présomptions pèsent sur le régime de Monsieur Kabila qui, au-delà de son comportement vexatoire et humiliant envers le peuple congolais, semble être impliqué dans des crimes contre l’humanité, notamment à travers la milice pro gouvernementale, connue sous le nom de Bana Mura, qui a semé la destruction et la désolation en 2017 notamment dans la province du Kasaï ou pas moins de 80 charniers ont déjà été découverts »,ajoute le mémo.

Ils considèrent le pouvoir de Kinshasa comme responsable des atrocités commises en 2017 notamment dans les Kasaï.

« Il est à craindre que les Nations unies souffrent d’un discrédit, encore évitable, s’il s’avérait qu’un régime criminel et finissant ait été promu au Conseil des droits de l’homme quelques mois avant d’être convoqué à la CPI pour crimes contre l’humanité »,disent les manifestants dans un mémo qui a été déposé au Secrétariat du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève.