Dans la partie Est dela RDC, la destruction méchante des certains parties dela province du Nord-Kivu est attribuée au groupes armés nationaux et étrangers dans plusieurs villages et localités n'est pas au profit des paysans. »

Selon mon point de vu à cette quéstion, je me demande si c’était des congolais qui tuaient des congolais ferait une différence. Je refuse de donner un sens de rationalité à des barbaries.
Que répondez à ceux qui disent que c'est le pouvoir de Kinshasa qui a fabriqué cette nébuleuse Adf ?

Une réponse facile correspond, est une forme d’art de pomponner. La volonté de rendre invisibles les causes des malaises sociales et le gouffre économiques a engendré l’omniprésence des conspirations dans la société congolaise de tout genre et à tous les niveaux. 

Le dilemme auquel nombre des pays du tiers monde sont confrontés, il n'y a pas des monstres qui sont cruels ou d’autre vertueux.

Et à ceux qui disent que ce sont des hutus qui tuent à Beni, que répondez vous?
Ce n’est pas étonnant de voir apparaître ce type d’interprétation de l’épidémie à différentes formes de dangers ou de criminalités.

 C’est une indication de la férocité raffinée et la bassesse dans le traitement de problèmes sociaux qui existent sur toute l’étendue de la nation. 

Vous n’avez pas à être un économiste pour comprendre combien cette méfiance généralisée ou mollesse de conscience est un obstacle au développement économique qui non seulement pas à une province, mais toute la nation.

Quel message pouvez-vous lancer aux populations du territoire de Beni face à cette situation ?

Je suis dégouté par l’universalité des folies et des actes diaboliques. Cela accroit ma douleur et ma colère quand c’est en RDC. Dans de « Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas » de Fréderic Bastiat part d'une histoire, d’un enfant casse un carreau de vitre. 

La réaction des badauds : « À quelque chose malheur est bon. De tels accidents font aller l'industrie. Il faut que tout le monde vive. Que deviendraient les vitriers, si l'on ne cassait jamais de vitre ? ». Mais Bastiat en conclut autrement que « la société perd la valeur des objets inutilement détruits », ce qu'il résume par : « destruction n'est pas profit. »

Un système chaotique persistant, aménagé par un morcèlement social, le cas de tribalisme, le désordre devient tôt ou tard incontrôlable.

Pourquoi une rébellion dite étrangère et contre le pouvoir de Kampala peut encore tuer les congolais au lieu de tuer plutôt les ougandais ?
Pas seulement aux populations du territoire de Beni, mais a tout congolais, il n’y a aucun prétexte de bafouer le sens d’identité nationale en étant indifférent à une perte d’innocence ou d’une autre vie.

Les élus nationaux du grand-nord kivu déplorent les affrontements quotidiens en térritoire de Lubero entre FARDC et les mai-mai, le phénomènes Kasuku à Butembo et les massacres des civiles à Beni.

Pour eux, Le cas recent étant celui de tuéries de près de 36 personnes au PK 40 sur la route Mbau-Kamango le 07 Octobre. Mais pour l’Arternance pour la Republique ne passe pas sur le dos du cuillère, seul le gouvernement congolais est coupable dans les massacres de l’Est de la RDC.

La complaisance et l’incapacité du gouvernement congolais face à cette boucherie humaine à Beni, implique aussi la culpabilité du pouvoir congolais. 

Ce qui revolte davantage la plateforme de Jean Bertrand EWANGA, c’est les recents massacres de PK40 sur la route Mbau-Kamango qui avaient couté la vie à plus de 30 personnes. 

Pire encore les corps des victimes étaient restés une semaine durant à la merci des votours et charognards, ce qui a traumatisé de plus les familles éprouvées.

 Ainsi l’AR appelle le gouvernement à prendre se responsabilités en sécuritsant les populations civiles. Pour cette plateforme politique de l’opposition cngolaise, pense que seule une alternance credible et cela à tous les niveaux peut mettre fin au cycle des violences non maitrisé par le gouvernement congolais. 

Pendant ce temps, ce sont les députés nationaux élus de la region du Nord-Kivu qui exige le déplacement du chef d’Etat Major Didier Etumba dans la zone de Beni-Lubero. 

Il sera question d’imprégner de la situation sécuritaire sur place. Pour le président du caucus des députés du Nord-Kivu Jerome Lusenge, l’installation de la base de l’Etat Major des FARDC à Beni-Lubero pourait aider à mettre fin aux groupes armés négatifs qui écument la region. C’était le mercredi 18 Octobre que Jerome Lusenge, président du Caucus des députés du Nord-Kivu l’a dit.

Jean Bertrand Ewanga secrétaire executif de cette plateforme politique de l’opposition a hausé le ton face au enième massacres qui se sont passés sur la route Mbau-Kamango. Il charge le gouvernement à la suite de ce qu’il qualifie de non prise d’aucune initiative allant dans le sens de soulager les familles des victimes. 

L’AR fustige aussi le manque des enquetes serieuses dans la question de l’insécurité à l’Est du pays. S’il faut évoquer des quelconques enquetes, l’Alternance pour la Republique parle des Pseudo-Enquetes qui n’aboutissent à rien car depourvues de la vérité enfin d’établir les responsabalités.

Ils plaident aussi pour l’implication du chef de l’Etat Joseph KABILA afin de mettre fin aux souffrances des populations du Nord-Kivu. Ce qui est curieux disent les élus du Nord-Kivu, ceux qui sont sensés mettre fin à ce cycle d’insécurité persistanté dans ce coin du pays se mettent à pleurer seulement avec les victimes.

mercrdi 18 Octobre 2017, l’AR a d’abord condamné la boucherie humaine qui sevit à Beni. Ici des civiles sont égorgés comme des animaux par des présumés ADF.


Par ailleurs, l’examen et l’adoption de la loi sur le Conseil national de suivi de l’Accord (CNSA) et la révision de la loi électorale sont attendus avant la fin de cette session parlementaire qui s’étend jusqu’au 15 décembre.

Cette proposition tient compte du fait que l’enrôlement des électeurs dans les Kasaï ne peut se terminer qu’en janvier 2018. Les délégués présents à la tripartite CNSA-CENI-Gouvernement espèrent aussi que le fichier électoral pourrait être consolidé en mars 2018.

La loi sur la répartition des sièges pour les prochaines législatives ne pourra être examinée qu’en 2018, soit au cours d’une session extraordinaire soit pendant la session ordinaire du mois de mars. C’est parmi les propositions et recommandations qui ont été faites à la tripartite sur l’évaluation du processus électoral, clôturée au Palais du Peuple, à Kinshasa le mercredi 18 octobre dernier.


Les députés de la Majorité présidentielle ont voté une motion incidentielle du député François Nzekuye relevant plusieurs irrégularités dans la pétition déposée contre Aubin Minaku qui a lui-même présidé la séance plénière.

L’Assemblée nationale a rejeté ce samedi 21 octobre 2017 la pétition déposée par les députés de l’opposition qui visaient la destitution du président de la chambre basse du parlement Aubin Minaku.

Vendredi 6 octobre dernier, les députés de l’opposition avaient quitté la plénière en guise de protestation contre le rejet de l’examen des motions de défiance contre les ministres de l’Intérieur Ramazani Shadary et de la Justice Thambwe Mwamba, par une motion incidentielle du député Zacharie Babaswe de la MP.

« Le président de l’Assemblée nationale bloque les initiatives proposées par les députés de l’opposition au profit des projets de loi du gouvernement.

 Même si les propositions ont été déposées bien avant, il accepte la constitution des commissions d’enquête mais s’abstient de programmer des rapports de susdites commissions à l’Assemblée plénière lorsqu’il se rend compte que le rapport est défavorable à sa famille politique.

 Les articles 146 et 147 de la constitution prévoient de mettre en cause la responsabilité du gouvernement ou d’un membre du gouvernement. En sa qualité du secrétaire général de la MP, il admet le recours au mécanisme des motions incidentielles pour faire échec à la mise en application de ces dispositions constitutionnelles », lit-on dans leur document déposé.

52 députés de l’opposition avaient déposé le vendredi 20 octobre dernier une pétition pour obtenir le départ d’Aubin Minaku du perchoir de l’Assemblée nationale.

Avec le projet, << impact rapide >> la MONUSCO-Beni entend ainsi contribuer au renforcement des mécanismes de sécurité, à la promotion du bon déroulement des activités économiques et au rétablissement d’un climat de quiétude et de sérénité au sein de la population de ce quartier.

Ce projet reçu et réussi est le plus grand pour les media de Beni depuis leur existence s’est exclamé, dans son adresse à l’assistance, Jacques Kikuni, le porte-parole des responsables des radios communautaires bénéficiaires de ce projet à impact rapide de la MONUSCO-Beni initié par sa Section de l’information publique, lors de son adresse à l’assistance lors de la cérémonie de remise officielle de ce projet ce vendredi 24 mars 2017 à Beni.

C’est à dire combien cet appui en énergie solaire à ces media de proximité a été accueilli favorablement, non seulement par ces acteurs de communication mais aussi par la population de Beni, comme, a en outre, tenu à le souligner M. Kikuni.

Le représentant du maire de la ville de Beni est également intervenu pour remercier la MONUSCO pour cet appui et suggérer, entre autres, la poursuite des séances de renforcement de capacité des journalistes…
Pour sa part, le chef de bureau de la MONUSCO-Beni, Warner Ten Kate, a insisté sur l’importance et le rôle de ces radios communautaires pour la consolidation de paix, de la démocratie et des droits de l’homme ; toutes choses justifiant cet appui de la MONUSCO…

Pour finir, on retiendra cette triple promesse formulée par les responsables de ces radios communautaires :
-S’approprier le projet et utiliser les kits de manière rationnelle.

-Accompagner la MONUSCO dans sa mission, celle de la consolidation de la paix et la stabilisation en RDC.
-Une franche collaboration entre les media et la MONUSCO.

Danse de réjouissances des populations pygmées ; c’était lors de la cérémonie de remise du projet à impact rapide (QIP) d’éclairage public au quartier Ngadi.

En effet, les radios communautaires de la ville de Beni, à l’instar de toutes les entreprises qui existent dans le territoire et la ville de Beni souffrent du manque d’électricité.

 C’est ainsi que pour leur fonctionnement ces radios sont obligées de s’abonner à des organisations locales de production d’électricité, par des générateurs ; toutes choses occasionnant des dépenses quotidiennes ne permettant à ces radios communautaires d’emmètre de manière régulière. C’est ainsi, par exemple, que certains communiqués importants de sécurité ne peuvent pas être transmis à temps à la population…



Avec le projet, << impact rapide >> la MONUSCO-Beni entend ainsi contribuer au renforcement des mécanismes de sécurité, à la promotion du bon déroulement des activités économiques et au rétablissement d’un climat de quiétude et de sérénité au sein de la population de ce quartier.

Ce projet reçu et réussi est le plus grand pour les media de Beni depuis leur existence s’est exclamé, dans son adresse à l’assistance, Jacques Kikuni, le porte-parole des responsables des radios communautaires bénéficiaires de ce projet à impact rapide de la MONUSCO-Beni initié par sa Section de l’information publique, lors de son adresse à l’assistance lors de la cérémonie de remise officielle de ce projet ce vendredi 24 mars 2017 à Beni.

C’est à dire combien cet appui en énergie solaire à ces media de proximité a été accueilli favorablement, non seulement par ces acteurs de communication mais aussi par la population de Beni, comme, a en outre, tenu à le souligner M. Kikuni.

Le représentant du maire de la ville de Beni est également intervenu pour remercier la MONUSCO pour cet appui et suggérer, entre autres, la poursuite des séances de renforcement de capacité des journalistes…
Pour sa part, le chef de bureau de la MONUSCO-Beni, Warner Ten Kate, a insisté sur l’importance et le rôle de ces radios communautaires pour la consolidation de paix, de la démocratie et des droits de l’homme ; toutes choses justifiant cet appui de la MONUSCO…

Pour finir, on retiendra cette triple promesse formulée par les responsables de ces radios communautaires :
-S’approprier le projet et utiliser les kits de manière rationnelle.

-Accompagner la MONUSCO dans sa mission, celle de la consolidation de la paix et la stabilisation en RDC.
-Une franche collaboration entre les media et la MONUSCO.

Danse de réjouissances des populations pygmées ; c’était lors de la cérémonie de remise du projet à impact rapide (QIP) d’éclairage public au quartier Ngadi.

En effet, les radios communautaires de la ville de Beni, à l’instar de toutes les entreprises qui existent dans le territoire et la ville de Beni souffrent du manque d’électricité.

 C’est ainsi que pour leur fonctionnement ces radios sont obligées de s’abonner à des organisations locales de production d’électricité, par des générateurs ; toutes choses occasionnant des dépenses quotidiennes ne permettant à ces radios communautaires d’emmètre de manière régulière. C’est ainsi, par exemple, que certains communiqués importants de sécurité ne peuvent pas être transmis à temps à la population…