Les rébélles ougandais des ADF ont été mis en déroute le vendredi, après des violents combats qui les ont opposés, au soldats del 'armé régulière, soutenu, par les Casques-Bleu dela Monusco, dépuis le vendredi 07 octobre jusqu'au 13 du même mois 2017.

Même lesamedi au lendemain, d'une victoire sur les inciviques, des combats à l' armes lourde et légère se poursui, entre l'armé congolaise Fardc soutenu, par les Casques Bleu dela Monusco, après la déroute des ADF, qui ont subi la puissance du feu, des millitaires engagés pour les combattre.

À partir de la soiré du vendredi 13 octobre 2017, selon une source du commandement d' opération SUKULA 1 Nord après une attaque meurtrière attribués à ces hors la loi, le week end dernier, sur axe routier Mbau-Kamango, en profondeur du Parc National des Virunga, en térritoire de Beni, en Rép Dém du Congo

L'armée congolaise FARDC et celle de la Brigade des Nations-Unies ont reconquit le PK 40, situé sur le tronçon routier Mbau-Kamango en térritoire de Beni, dans l' Est dela République Démocratique du Congo, mais l’axe pas toujours ouvert selon une source du commandement d' opération Sukula 1 Nord

Les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) annoncent qu’elles viennent de reconquérir le Point Kilométrique (PK) 40, sur l’axe Mbau-Kamango, en territoire de Béni, dépuis 17H locale du vendredi, 13 octobre 2017, après une occupation voici près d’une semaine par des hommes armés assimilés aux rebelles Ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) qui venaient de y ériger des barricades.

Drame qui a obligé les FARDC d’y mener des opérations militaires pour traquer ces rebelles. Ce qui justifie d’intenses combats y signalés depuis samedi 7 octobre. Long de 77 Km, l’axe Mbau-Kamango, ouvrant la voie sur l’Ouganda voisin, est coupé de tout trafic depuis samedi 7 octobre, à la suite de l’assassinat au point kilométrique 40 d’une vingtaine de civils, dont des agents de la Direction générale de douane et accise (DGDA-Béni), par des rebelles présumés ADF.

Entretemps, les villages situés sur jusqu’au PK 25 de Mbau-centre se vident de leurs habitants.
Ces derniers prennent la direction de l’Ouest, pour rejoindre les agglomérations estimées encore sécurisées, notamment Mbau-centre pour les uns, et Oicha pour les autres.
«Nous allons revenir vers vous demain (samedi 14 octobre, Ndlr)», promet l’officier de l’armée congolaise.

Mais le passage n’est pas encore effectif sur le tronçon. «Nous venons de reconquérir le PK 40, les combats se poursuivent pour tenter d’ouvrir la route (Mbau-Kamango, Ndlr)», indique le soir de ce vendredi 13 octobre à RDC26.COM, le capitaine Mak Hazukay, porte-parole des opérations Sokola 1 Nord, sans avancer quelconque bilan de ces opérations qui viennent de durer une semaine maintenant.
Axe Mbau-Kamango (Nord-Kivu) 


Dans le même chapitre la fois passé, deux Casques bleus ont été tués lundi dans l'est de la République démocratique du Congo lors d'une attaque attribuée aux rebelles musulmans ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), qui auraient aussi tué samedi une vingtaine de civils, a annoncé la Mission de l'ONU en RDC (Monusco).

Les Casques bleus ont repoussé une attaque lancée à 05h30 (03h30 GMT) par des "éléments présumés" des ADF contre une base de la Monusco à Mamundioma, dans le territoire de Beni, l'une des divisions administratives de la province du Nord-Kivu.

"D’après les premières informations rapportées, deux Casques bleus auraient trouvé la mort et plusieurs autres seraient blessés. Les Casques bleus blessés ont été évacués vers Goma pour y recevoir des soins médicaux", a indiqué la Monusco lundi soir dans un communiqué.

"La Monusco a immédiatement déployé des renforts, notamment une force de réaction rapide et des hélicoptères d’attaque".

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, condamne les attaques dans lesquelles "deux Casques bleus de Tanzanie" ont été tués et "18 Casques bleus blessés", a déclaré dans un communiqué publié lundi soir à New York son porte-parole, Stéphane Dujarric.

"Le secrétaire général appelle les autorités congolaises à enquêter rapidement sur ces évènements et à traduire leurs auteurs devant la justice", a ajouté le porte-parole.

Les ADF sont aussi accusées d'avoir attaqué samedi une dizaine de taxis-motos sur la route entre Kamango et Mbau.

"Une vingtaine de personnes sont portées disparues. Nous ne savons pas si elles sont mortes ou détenues par ces ADF", avait déclaré dimanche à l'AFP l'administrateur du territoire de Beni, Amisi Kalonda.

"D’après les premières informations disponibles, une vingtaine de civils auraient été tués", avance la Monusco.

"Je condamne fermement ces lâches attaques contre la population civile et les soldats de la paix des Nations unies dans la région de Beni", a déclaré le patron de la Monusco, Maman Sidikou.

Des combats opposent aussi les ADF à l'armée congolaise. "Depuis quelques jours, les forces armées de la RDC intensifient les opérations militaires destinées à neutraliser de manière définitive les terroristes de l'ADF", a indiqué lundi soir l'état-major dans un communiqué lu à la télévision d'Etat RTNC. 

"A l'heure qu'il est, nos forces qui opèrent de manière professionnelle continuent des opérations musclées afin de neutraliser l'ennemi".

Deux personnes avaient été tuées mi-septembre dans des combats entre les soldats congolais et les ADF, près de Beni.

Rebelles musulmans ougandais présents dans l'est de la RDC depuis 1995, les ADF sont accusés par le gouvernement congolais et la Monusco d'être responsables de tueries qui ont fait plus de 700 morts dans la région de Beni depuis octobre 2014.

Cette version a été remise en cause par un rapport datant de 2015 du Groupe d'étude sur le Congo de l'Université de New York, selon lequel les responsabilités sont partagées entre les ADF, mais aussi d'autres éléments armés, parmi lesquels des soldats de l'armée régulière.

Adversaires du président ougandais Yoweri Museveni, les ADF "sont complètement atypiques par rapport aux autres groupes jihadistes qu’on connaît en Afrique, que ce soit les shebab, Boko Haram ou Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique)", selon le chercheur français Thierry Vircoulon.

"C’est un groupe qui ne fait absolument aucune propagande et aucune communication sur le net, ne cherche pas à convertir les gens, qui n’affiche pas la conception salafiste de l’islam", avait-il dit à Radio France International (RFI) en février dernier, ajoutant que les ADF n'étaient pas dans une logique "expansionniste", comme Boko Haram au Nigeria et les pays voisins, mais au contraire de "repli". 

Cet incident intervient à la suite d'une attaque survenue dimanche dans la même région où des éléments présumés des ADF ont tendu une embuscade à un convoi de civils circulant à moto sur axe routier Mbau-Kamango.

Ces combats entre l’armée congolaise et les présumés ADF ont provoqué les déplacements massifs de la population de Mamundioma vers des zones « sécurisées ».

«Il y a des populations qui quittent Mamundioma, nous sommes en train de les enregistrer et le soir je vais avoir une idée sur leur effectif des déplacés. Ils quittent Mamundioma pour se diriger à Mbau et Oicha », avait expliqué l’administrateur du territoire de Beni, Amisi Kalonda, le 10 octobre dernier.

Les troupes de Forces Armées de la République démocratique du Congo viennent de reprendre le contrôle de la route Mbau-Kamango, dans le territoire de Beni (Nord-Kivu), après une semaine d’intenses combats contre les rebelles ADF. 

L’armée Congolaise annonce que la reprise de cette route s’est faite ce vendredi à 17 heures locales avec l’appui de la brigade d’intervention de l’ONU.

C’est depuis le vendredi dernier que les FARDC traquaient les présumés de Forces alliées démocratiques (ADF) dans le « triangle de la mort » (Eringeti, Mbau et Kamango) en le Beni (Nord-Kivu).


Dans la province del' Ituri, buniaactualite.com, le nouveau site d’informations couvrant les évènements de la province de l’Ituri, vient d’être officiellement lancé dans l’avant-midi de ce vendredi 13 octobre 2017, à l’hôtel Gold Stars.

C’est un beau monde qui a pris part à cette cérémonie : des journalistes de la place bien sûr, avec à leur tête le président provincial de l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC) Serge Karba ; mais aussi des opérateurs économiques conduits par les premier et deuxième vice-présidents de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC)/Ituri Jacob Lenguma et Jean Lopa ; la présidente de l’Unadi, Union des associations culturelles pour le développement de l’Ituri, Claudine Nzeni, la coordonnatrice adjointe de la société civile de l’Ituri, Marie-Noella.

Coté officiel, le gouvernement provincial a dépêché le conseiller principal du ministre en charge de l’Information, Gédéon Baloko, à qui il est d’ailleurs revenue la charge de lancer officiellement le site.

La cérémonie a été ponctuée par différentes allocutions. D’abord un mot de bienvenue suivi de la présentation du site par ses animateurs, suivi de l’intervention du président a.i. de l’UNPC, puis celle du patron de l’hôtel Gold Stars qui a parlé au nom des opérateurs économiques.

« L’objectif de ce site est d’ouvrir à l’Ituri une fenêtre sur le monde en contribuant à son désenclavement médiatique. Le constat est qu’on parle de l’Ituri seulement lorsqu’il y a la guerre, la misère, les catastrophes…alors que l’Ituri c’est aussi une terre d’opportunité et d’avenir »,a déclré Luc Malembe, le directeur général debuniaactualité.com.

C’est l’intervention du délégué du gouvernement provincial qui a clôturé la cérémonie.

Reportage complet à suivre.

Lancement officiel ce vendredi 13 octobre du site Internet buniaactualite.com