Après une journée des tensions qui s ' observait,d ' ici et là à Oicha le mardi dernier, entre les policiers et les jeunes en colère, suite à un assassinat d ' jeune garçon, toute activité ont repris en observant une calmie dépuis le mardi dernier 21 novembre 2017, après l'assassinat d'un élève finaliste del'Institut Masosi dans la nuit du lundi au mardi, à Tenambo un quartier périphérique.

Consécutivement à cette situation, ce mardi, des jeunes en colère qui voulaient amener le corps au bureau de l’administrateur du territoire de Beni ont été interceptés au niveau de l’Etat-Major de la police nationale congolaise (PNC) par des policiers anti-émeute.

 Ils réclamaient le départ des nouvelles unités des forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) nouvellement déployées à Oicha.
L'adolescent est "la quatrième personne tuée en un mois", a déclaré à l'AFP un membre de la société civile, Paulin Bayonza. 

"La population en colère soupçonne les militaires récemment déployés dans le territoire de Beni d'être responsables de cette vague d'assassinats",selon lui.

On parle aussi d'un nouveau accrochage entre les inciviques des ADF et les millitaires Fardc vers 11 heures locale dans l'avant midi du mercredi 22 novembre2017.

C'est l' information donnés par les cultivateurs, qui se sont rendu le matin, dans leurs champs, au périphérie 
du tronçon routier Mbau Kamango, au PK6 situé àl'Est du térritoirede Beni, au Nord Kivu, en République Démocratiquedu Congo.

Difficilede savoir ce qui s'est passé au juste, mais au dernière nouvelle, nous avons apris que, la situation est sous contrôle del'armé régulière.
Dans la région de Beni, des nombreuses milices sont actives ainsi que des rebelles musulmans ougandais de Forces démocratiques alliées (ADF), accusés d'exactions sur des civils.

Ces groupes armés locaux et étrangers affrontent régulièrement l'armée congolaise.
"Deux policiers, deux militaires et trois civils, dont une femme grièvement blessée, ont été touchés par balles réelles dans des manifestations contre l'assassinat d'un garçon par des hommes non encore identifiés", a déclaré à l'AFP Amisi Kalonda, administrateur du territoire de Beni, dans le Nord-Kivu.

Des hommes armés assimilés aux militaires des forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont tué par balle un civil, habitant de la localité de Tenambo frontalière avec la cité d’Oicha au Nord.

7 blessés dans des heurts lors de l'enterrement d'un adolescent.
Trois civils et quatre membres des forces de sécurité ont été blessés par balles mardi dans des heurts lors d'une manifestation après l'"assassinat" d'un adolescent dans l'est de la République démocratique du Congo, a-t-on annoncé de source officielle.

La victime est un jeune garçon finaliste du secondaire du nom de Tolérance. Il a été criblé de balle lorsqu’il se trouvé dans une boutique où il s’entretenait avec son condisciple de classe, racontent des témoins rencontrés sur le lieu du drame. Le fait s’est passé aux environs de 20 heures locales non loin de la chapelle de l’église catholique à Tenambo.

Toujours d’après des témoins, les auteurs de cet acte seraient des militaires FARDC.
Le capitaine Mak Hazukay annonce que le commandement des opérations Sokola1 va bientôt se réunir et trouver des réponses satisfaisantes aux préoccupations des populations d’Oicha.

Trois personnes ont été tuées dans les mêmes circonstances à l’espace de deux semaines à Oicha. Ce mardi, des jeunes en colère qui voulaient amener le corps au bureau de l’administrateur du territoire de Beni ont été interceptés au niveau de l’Etat-Major de la police nationale congolaise (PNC) par des policiers anti-émeute. Ils réclamaient le départ des nouvelles unités des forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) nouvellement déployées à Oicha.

L’armée régulière de la République démocratique du Congo demande à la population d’Oicha de se calmer. Appel lancé au lendemain de l’assassinat d’un jeune garçon à Tenambo, quartier périphérique situé au nord d’Oicha, qui, selon les temoins, a aurait été tué par des militaires des FARDC. Dans son message passé à la radio Moto Oicha l’avant midi de ce mardi 21 novembre, le porte-parole du commandement Sokola1 Nord, se dit choquer par assassinat.

La région de Béni est confrontée depuis plusieures années aux assassinats, meurtres et massacres qui ont fait plusieurs centaines de victimes. Ces actes sont généralement attribués par les autorités administratives et militaires aux rebelles ougandais de l’ADF/Nalu.

Le bureau de l’Assemblée nationale devrait convoquer le ministre de la défense nationale dans les prochains jours.

« En effet après une relative accalmie pendant quelques mois, l’on assiste à une recrudescence d’attaques attribuées aux ADF, selon la version officielle, semant le deuil et la désolation parmi la population déjà meurtrie depuis plusieurs années. Au regard des informations recueillies auprès de la population de Beni qui ne cesse de s’interroger sur les conditions de sa sécurité, et des plaintes des familles des militaires liées au retard dans la relève de troupes.

Cela arrive après une attaque meurtrière des miliciens Maï-Maï la fois passé, au sud du térritoire de Beni dans la chefferie de Bashu d'où on enrégistrés six morts, dont deux militaires t quatre présumés miliciens, c’est le bilan d’une attaque dirigée par un groupe d’hommes armés assimilés aux miliciens mai-mai contre une base de l’armée à Isale-Bulambo le matin de ce dimanche 19 novembre 2017.

Isale-Bulambo est une localité située à une dizaine de Km à l’est de Butembo, en groupement portant le même nom, en chefferie des bashus , dans le territoire de Beni.

D'après le lieutenant Jules Ngongo, porte-parole des opérations Sokola 1 Sud, c'est vers 5 heures du matin que les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont intercepté une attaque des miliciens qui voulaient s'apprendre à une base de l'armée érigée dans la localité.

S'en est suivi des échanges de tirs qui se sont soldés sur un bilan provisoire de six morts (deux militaires et quatre présumés miliciens) et quatre blessés (deux militaires et deux présumés miliciens). La société civile de la chefferie des Bashus demande aux autorités compétentes de mettre fin à l'activisme des miliciens mai-mai dans cette entité pour permettre à la population de vivre en paix.

L'armée accusés les miliciens mai-mai du groupe Mazembe d'être auteurs de l'attaque.
Le commandement des opérations SOKOLA 1 Sud les appelle à désarmer avant qu'ils ne soient traqués de forces.

Nos sources à Isale-Bulambo signalent qu'au soir de ce dimanche 19 novembre un calme apparent régnait dans la localité.
Mes des habitants, dont certains ont trouvé refuge dans des villages voisins, et d'autres à Butembo, hésitent encore à regagner leurs domiciles par peur d'éventuelles reprises d'affrontements.

 Fiston Matsande, journaliste à la radio communautaire de Bashu, émettant à Isale-Bulambo craint qu'il ne puisse pas y avoir cours ce lundi au sein des écoles locales.

Comme il en a, d'après lui, été le cas au lendemain de l'attaque enregistrée dans la même localité, à la fin du mois d'octobre dernier. Car les parents craignent pour la sécurité de leurs enfants.

Commentaires