Les rébélles du groupe ADF ont fait une nouvelle incursion à Kithevya à l'ouest d'Oïcha en térritoire de Beni en Rdc.

Vendredi 02 février de l'année courant, les islamistes radicaux, des rébélles ougandais des ADF ont attaqués de nouveau, la localité de Kithevya situé a l'ouest du térritoire de Beni province du Nord-Kivu, dans l'est dela République Démocratique du Congo.

On parle #encore des #morts avec un bilan de
 4 #personnes tués au #conté des #civiles #après l'attaque des #égorgeurs #ADF en #térritoire de #Beni au Nord-Kivu, en #République #Démocratique du #Congo, précisément, à Kithevya localité situé au #périphérie ouest de #Oicha chef lieu du térritoire en #proie des #massacres, vols, Kidnapings, et autres. . .

Donc la région de Beni est endeuillée de nouveau par les resultats final d'une incursion qui a commencé vers 16heures locales, jusqu'en tard dans la nuit. Et tout cela porte les signatures de soi-disant ADF-NALU.

Toutes les #victimes sont #sauvagement #abattus à l'aide des #manchettes, et plus de 9 #personnes #grièvement #blessés dont un #bébé de 8 mois.
Donc #mes ami-es #internautes priez pour #nous la #population #victimes.

Concernant le bilan provisoire qui été revu à la hausse dans l'avant midi du dimanche, c'est près une seri des fouilles au périphérie de Kithevya d'où la source de la société civile précise que, 8 personnes tués, et huit d'autres civiles restent introuvable après cette attaque meurtrière des rébélles ougandais du groupe ADF-NALU, qui trouble la région dépuis plus de 25 ans.

Selon des nombreux témoins, les rebelles dont le nombre était très élevé ont fait leur entrée au village bien avant 11 heures. 

L’information est même parvenue aux responsables de l’armée, mais aucune troupe militaire n’est arrivée sur le lieu pour empêcher les dégats. 

Il n’y a plus de base militaire depuis quelques mois, ce qui a permis aux assaillants d’opérer à toute quiétude. 

Ils ont même eu le temps d’égorger sur place des chèvres qu’ils ont pillé et préparer le repas dans la parcelle d’une femme bien connue dans le milieu.

La société civile a fait sa part !

Pour la société civile, « tous ces dégâts pouvaient être évités ».

 Selon son Rapporteur, Kasereka Kasayiryo, les services de sécurité ont été alertés avant le temps. « J’ai informé l’armée à 10 heures.

 J’ai même indiqué avec précision les différents endroits où nous avons localisé l’ennemi en disant aux autorités militaires que ces ADF risquent de progresser vers Kitevya et Kilingili, mais rien n’a été fait », regrette cet acteur de la société civile qui appelle la population au calme.

Pour l’instant, le calme est revenu dans ce village, mais certains habitants dont des femmes et des enfants continuent à vider la contrée en direction d’Oicha. 

Jusqu’au retour de nos reporters, aucun militaire n’était encore visible dans la zone.  

Au cours de cette incursion, les civiles de la place craignant d'être victimes des massacres des térroristes, ont jugés bon de fuir vers OICHA une agglomération périphérique du village ciblé par les inciviques qui sement la désolation d'ici et là, en ville et en territoire en proie des kidnapings, tueries, vols, et autres.

Au sujet de cette nouvelle attaque du vendredi dernier, cela
 intervient après avoir aperçu un groupe des gens armés dans les heures nocturne à Kisiki chef-lieu du groupement de Bambubha-Kisiki, d'où ils ont tirés plusieurs coups des balles en blessant deux personnes à bord d'une moto via la route No-4 par la qu'elle, les rébélles sans vison, multiplient, une seri d'embuscades jour au jour contre les passagers, qui fréquentent ce tronçon routier en allant de Beni, vers d'autres coins de la Rdc.

Au dernière nouvelle du vendredi, nous avons apris que, la plus part des habitants de May-Moya dan la nuit du jeudi, ont été paniqués dont la plus part d'entre eux,  ont passé la nuit à belle étoile selon une source d'un civile sur place.

Concernant l'attaque de Kithevya, le chef du village Kithevya  a fait précisé que, le fait se passé vers 17heures locale du vendredi , février 2018, d'où le centre de santé completement pillé, les kiosques et des habitations de la population devalisés ,tel est le bilan de l'incursion le soir de ce vendredi des hommes  et femmes armés assimilés aux inciviques du groupe ADF-NALU, au village kitevya situé à l'ouest  d'oicha chef-lieu du territoire de Beni dans le secteur de beni mbau, dans l'est de la Rdcongo.

Selon des témoins qui ont vécu l'événement indiquent que, ces assaillants hommes ,femmes et enfants melés les uns en uniforme militaire et les autres en tenus civils ont commencé a leur entrée dans le village à tiré des coups de balles en direction de la population qui s'est mise a courrir dans tout le sens..et comme l'entité n'avait aucune position militaire  ,ces inciviques ont donc librement operé emportant, habits ,produits agricoles, les animaux de la basse cour, panneau, battery medicaments et autres..s'etaient avant de se volatilisé dans la nature.

l'armée qui est arrivé sur le lieu un peu tard dans la soirée a ramassé un bébé de deux jours jeté par sa mere lors de la debandade ..notre source parle aussi d'un enfant de 3 ans retrouvé entrain de circulé seul dans le village.

Le bébé ramassé est a l'hopital d'oicha.pour l'heure un calme apparent y reigne mais le village s'est vidé de tous ces habitants....rappelons que kitevya a toujours été la cible des attaques adf.jusque là aucun bilan humain n'est rapporté. RTM/OICHA.

Pour rappel le 1er novembre 2016, le village de Kithevya se réveille sous une angoisse sans précédent. 

Des assaillants qui seraient des rebelles de l’Adf tuent  coup sur coup environs sept personnes et kidnappent une dizaine d’autres. Deux personnes se retrouvent à l’hôpital car gravement blessées par ce même rebelles. 

La plupart des victimes ont été tuées par machette et autre arme blanche. Des nombreux dégâts matériels sont enregistrés C’est comme au centre de santé de la place où des médicaments dont la valeur en argent était estimé à 873 dollars américains ont été emportés par les rebelles.


Face à cette situation,  «la menace ADF (rebelles ougandais) est toujours présente dans l’Est de la RDC», a affirmé le député Juvénal Munubo, dans une interview accordée samedi 9 décembre à Radio Okapi. 

L’élu du Nord-Kivu réagissait à l’attaque jeudi dernier de la base de la Mission de l’ONU en RDC (MONUSCO) à Semuliki dans le territoire de Beni. Quinze casques bleus tanzaniens ont péri, lors de cette attaque attribuée aux présumés ADF.

Juvénal Munubo exprime son profond regret face à cette situation, et fait savoir que l’attaque de la base de la MONUSCO montre à suffisance que la situation reste très préoccupante dans certains coins du pays.

«A un moment donné, on a eu comme l’impression que l’Est s’était calmé et que c’est le Kasaï qui était en recrudescence. 
Mais la réalité est que la situation dans l’Est reste préoccupante, celle du Kasaï et du Tanganyika également», analyse-t-il.

Pour Juvenal Munubo, le gouvernement devra prendre ses responsabilités «parce que c’est à lui qu’incombe la sécurité des personnes et des biens.»

«Il faudrait aussi une bonne collaboration entre le gouvernement, les Forces armées de la RDC et la société civile. Si la collaboration entre les trois acteurs est effective, je reste convaincu qu’on peut mettre fin aux groupes armés», estime l’élu du Nord-Kivu.

Par ailleurs, la coordination de l’intercommunautaire du Nord-Kivu, appelle aussi le gouvernement à prendre des mesures adéquates afin de mettre fin à l’activisme des groupes armés.


Cette structure se dit indignée par cette attaque contre les casques bleus. Dans un communiqué publié samedi et signé par son président Jean Sekabuhoro, cette plateforme communautaire présente ses condoléances à la MONUSCO et aux FARDC qui ont également perdu des soldats dans cet assaut meurtrier de jeudi dernier.

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