Les bandits porteurs des armes à feu, ont tué un homme à Oïcha en Rdcongo

Face à cette situation, la  commune rurale d’Oïcha s’est réveillée ce mercredi 7 mars sous le feu.

Le matin, les manifestants, des jeunes en majorité ont pris le corps du défunt et voulaient le conduire au bureau de l’administrateur du territoire. Leur marche s’est heurtée à un déploiement de la police qui a procédé aux tirs de sommation pour disperser les manifestants. Dans la journée, les manifestants ont tenté plusieurs fois de défier la police mais sans succès.

Les habitants en colère ont manifesté, tôt le matin, pour protester contre la mort d’un civil tué la veille à 19 heures locales. Le nommé Oto Angwandia Mapalata a été criblé de balle par des hommes armés dont l’identité n’est pas encore connue.

Au centre commerciale, les activités ont tourné au ralentie ce mercredi, jour du marché, et les écoles n’ont pas fonctionné.
Oïcha est une entité située à 30 km de la ville de Beni (Nord-Kivu). C’est le chef-lieu du territoire de Beni.

Le calme revient à Oïcha c'est après un climat des tensions observé entre les agens de l'ordre et les jeunes, qui on protestés et envahir la rue principale, après l'assassinat d'un garçon par des inconnus porteurs des armes à feu, vers tenambo une localité situé au périphérie d'oïcha, dans la nuit du mardi au mercredi 07 mars 2018, à Oïcha, chef-lieu du térritoire de Beni en République Démocratique du Congo. Quelques coups des balles tirés par les policiers ont été entendu pour dispercer les jeunes hivrent des colères au centre vers 06 heures 30 " locale. Quelques portes des boutiques, magasins, alimentations, Kiosques, petit commerce sont restés fermés au centre ville. Le marché centrale, les écoles n'ont pas fonctionnés comme d'habitude. Au dernière nouvelle, on parle d'un victime fils du géant papa Angwandiya, donc dossier à suivre, alors la question que tout le monde se pose qui est ADF Comme tous semble être violant contre le peuple congolais. Pendant ce temp là, on parle de trois civiles égorgés par les inciviques des rébélles Ougandais du groupe ADF sur axe routier mbau-kamango le mardi 06/03 2018 courant, à l'est du sécteur de Beni-Mbau, province du Nord-Kivu. Le lundi et le mardi qui ouvrent cette semaine du 05 au 12 mars 2018 révèlent la détermination des égorgeurs à embraser aussi bien la ville de Beni que toute l’étendue du territoire portant le même nom. Des faits d’une cruauté inouïe, tels que l’expriment quelques images tirées de la circonstance, ont été enregistrés dans la périphérie de la ville de Beni et sur l’axe Mbau-Kamago dans la commune rurale d’Oicha. En effet, des sources policières, il a été signalé des nouveaux massacres dans la matinée de ce mardi 06 mars au niveau de PK20, sur la route reliant Mbau à Kamango. Aucun bilan n’a encore filtré de cet événement dont les témoins confirment pourtant l’ampleur du carnage. Par ailleurs, deux localités de Mayangose, dans la banlieue Est de la ville de Beni, ont connu des carnages pour lesquels il manque de qualificatif approprié. L’intensité de la pluie qui s’abat au même moment où ces événements se déroulent ne permet pas d’en fournir immédiatement un bilan exhaustif; mais d’emblée, il est déjà rapporté au moins 7 morts et une multitude de personnes enlevées par les assaillants rien que dans le rayon de Mangolikene. Un bébé de trois mois a échappé providentiellement à cette boucherie humaine où il a assisté impuissant à l’égorgement de ses deux parents et l’enlèvement de ses deux frères et deux sœurs. D’autres massacres se sont déclarés dans un rayon voisin de Mangolikene, précisément à Kekelibo, dont personne ne parvient immédiatement à donner le bilan à cause de l’inaccessibilité du lieu. Carnage à Mangolikene ce 06/03/2018. Les assaillants ont tout emporté sur leur passage (produits de champ, biens meubles, des produits d’élevage domestique) et ont incendié toutes les maisons avant de se retirer avec leurs otages, après en avoir égorgé d’autres à leur gré.

Beni : Témoignage accablant d’une rescapée au massacre de 8 civiles à Mangolikene.

Ce massacre s’est déroulé lundi 05 mars, mais l’information n’a été révélée que le lendemain.

Mangolikene est une localité située dans la partie rurale de la commune de Beu à l'Est de la Ville de Beni, dans le grand Nord-Kivu. Selon les rescapés, les assaillants présumés ADF femmes, hommes et enfants munis d'armes blanches et à feu ont surpris les cultivateurs dans leurs cabanes temporaires.

Huit personnes ont été somairement exécutées. Samedi 03 mars 2018, sept autres civiles venaient d’être tués à Eringeti, dans le même territoire de Beni.

Dans l’attaque de Mangolikene, une seule personne s’en est sortie saine et sauve, « par miracle », dit-elle pour parvenir le message aux soldats au front dans cette zone rouge.

C'était aux environs de 16 heures de lundi 05 mars. Huit civiles dont des enfants ont été froidement égorgés. A ce bilan encore provisoire, il faut ajouter plus ou moins 7 cultivateurs  portés disparus, des vivres emportés et des huttes incendiées.

Ceux qui ont réussi à fuir avant d’être attrapés sont sont arrivés tôt le matin de mardi 06 mars au centre ville de Beni.

 « Mon beau-père était dans la maison, c’est de là qu’ils l’ont extrait. Ma belle-sœur a pris fuite avec son bébé de huit mois à la main. Je ne connais pas la destination qu’elle a prise. Alors, cinq femmes se sont prises à moi. Elle m’ont exigé de me coucher par terre.

Elles attendaient que des hommes, porteurs d’armes, viennent m’achever.

Deux autres femmes ont été égorgées devant moi. Une autre encore a été exécutée sous mes yeux. Elle avait un bébé. En me libérant, ils m’ont demandé, sans froid, d’aller veiller sur le bébé orphelin », relate la survivante devant qui toutes les victimes ont été lâchement exécutées à la machette.

Un message pas du tout clair

Si les assaillants ont laissé vivante une femme victime du dernier enlèvement de Mangolikene, c'est pour transmettre un message des ADF en disant que, une bonne partie de la forêt du térritoire de Beni, leurs appartient disent souvent les rébélles ougandais du groupe ADF.

« Il a ajouté que je dois aller dire aux FARDC qu’ils sont attendues dans la brousse, parce qu’ils ont précisé que toute cette partie de la forêt leur appartient.

Ils ont tout emporté : chèvres, poules, farine de manioc,… », témoigne la même rescapée.

La coordination urbaine de la Société civile de Beni condamne ce regain des massacres et appelle les forces de sécurité à orienter une offensive dans cette partie rurale de la Ville. JIMMY KIGHOMA, son rapporter se dit profondément inquiet. Jusqu'à 16 heures de mardi, aucune nouvelle des disparus n'a été rapportée par l'UAPCO, structure regroupant les cultivateurs de MAYANGOSE à Beni.

Regain des massacres

Une autre incursion rebelle a été signalée à l’Est de Eringeti, dans le même territoire de Beni, samedi 03 mars 2018. Les forces armées de la RDC ont cité les présumés rebelles de l’ADF comme auteurs de ce énième cas des massacres des civils dans cette localité du groupement Bambuba Kisiki en territoire de Beni. Le bilan provisoire y relatif a fait état de 7 personnes tuées, les unes par armes blanches et les autres par armes à feu. En plus, deux civils sont portés disparus et plusieurs habitants en fuite dans la brousse.

Après cette incursion, les FARDC disaient avoir pris des dispositions pour sécuriser Eringeti et environs. Mais la société civile d’Eringeti a plaidé pour l’augmentation des effectifs militaires à Eringeti. Faute de quoi, prévient-elle, le périmètre de cette localité sera toujours à la merci des rebelles.

Les témoignages des rescapés providentiels sont très accablants.


Des attaques en 2017 contre des Casques bleus en République démocratique du Congo, ayant fait notamment, le 7 décembre, 15 morts tanzaniens, ont mis en lumière plusieurs "failles" dans l'entraînement et le dispositif onusien, a reconnu vendredi l'ONU. Citant les conclusions d'une enquête dirigée par un fonctionnaire russe, Dimitri Titov, l'ONU confirme dans un communiqué que l'attaque a été commise par des combattants du groupe des Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe armé ougandais musulman, actif dans le Nord-Kivu frontalier de l'Ouganda. L'attaque contre la Mission des Nations unies au Congo (Monusco) le 7 décembre a été la pire menée contre des Casques bleus dans le monde en 24 ans. "Ca a merdé sur toute la ligne" et il y a eu "différentes responsabilités à différents niveaux", selon des sources diplomatiques ayant eu accès au rapport des enquêteurs, qui ne sera pas publié. "Il y a eu un gros problème de transmission des informations et pas de soutien aérien", précise un diplomate sous couvert d'anonymat. Selon le communiqué de l'ONU, les enquêteurs ont mis à jour "plusieurs failles dans l'entraînement et le dispositif de la Monusco ainsi que dans sa force d'intervention rapide (FIB)". - 'Correctifs urgents' - Ils ont notamment conclu que la Monusco "n'avait pas de plan d'action pour renforcer ou évacuer ses Casques bleus pendant l'attaque". "Des problèmes de commandement et de contrôle, de direction et un manque de moyens, notamment aéronautiques et en matière de renseignement, ont aussi été des obstacles majeurs" pour limiter les pertes. Ils "nécessitent des correctifs urgents", indique encore le communiqué de l'ONU sans autres précisions. Le texte des Nations unies précise que plusieurs mesures ont été prises depuis, de l'éclairage des installations à l'agrandissement des périmètres de sécurité dans plusieurs bases de Casques bleus à travers le pays. Les enquêteurs ont travaillé au total sur trois attaques, celle du 7 décembre, une le 16 septembre et une le 7 octobre, toutes dans la même région de Mamundioma (est). Le bilan de l'attaque du 7 décembre qui a visé pendant une douzaine d'heures la base des Casques bleus tanzaniens située à Semuliki s'est soldé par 15 Tanzaniens tués, 43 blessés, et un toujours porté disparu. "Les trois attaques contre les Casques bleus ont été menées selon le même mode opératoire et toutes les preuves convergent pour désigner les ADF comme responsables", indique le communiqué de l'ONU. - 'Vitesse' - Mercredi, la Monusco avait déclaré continuer à rechercher le Casque bleu tanzanien disparu. Elle a lancé un appel à témoins pour toute information menant au retour du soldat ou "à une preuve de vie". Le 26 janvier, lors d'une conférence de presse, le président congolais Joseph Kabila avait eu des mots très durs envers la Monusco, affirmant que la Mission onusienne au Congo, la plus importante au monde, n'avait jamais "éradiqué" aucun groupe armé depuis son arrivée en RDC en 1999. Depuis fin 2017, l'ONU a entrepris de modifier l'action de ses Casques bleus, afin de les rendre plus performants. La nouvelle stratégie qui va se mettre progressivement en place dans les mois à venir a été baptisée "Stratégie de protection par projection". Autrement dit, avoir des Casques bleus plus mobiles pour répondre à la menace plus rapidement. Pour cela, l'ONU doit développer les moyens de renseignement de ses militaires sur le terrain et encore mieux les équiper, notamment avec des moyens aériens, notent des diplomates sous couvert d'anonymat. "Il y a un vrai enjeu de vitesse d'exécution, qui suppose aussi une bonne chaîne de commandement", estime un de ces diplomates. "On n'a pas besoin de 15 autorisations de New York" pour envoyer des renforts ou un soutien aérien "lorsque des Casques bleus se font massacrer", ajoute cette source.

En térritoire de djugu province de l'Ituri, la situation sécuritaire se dégrade jour au jour avec une seri des tueries signalés d'ici et là, alors que, les casques bleus sont présent dans plusieurs localités.

Selon une source des habitants sur place, les casques bleus sont est incapable de protéger les congolais.

Puisque souvent d'autres sources indiquent que, les casques bleus sont en Rdc pour nous protéger !

Les amies internautes avec la présence des casques bleus, la situation semble être sous contrôle en térritoire de Djugu ce dernier temp. Selon vous est ce que les soldats des nations-unies en Rdc sont des aventuriers, où pas. À ce sujet, qui doit me contre dire à vrai dire parmi vous...

Mais de l'autre conté, c'est dépuis quelques jours que les habitants de certains Groupements de la collectivité secteur de Walendu Tatsi ont vidés leurs villages, selon les sources concordantes ces habitants craignent l'attaque de leurs villages par les ennemis de la paix qui ont promis leurs incursions dans ces villages.

Notons que ce depuis environ un mois qu'il ya les massacres qui sont importés dans le Territoire de Djugu où les hommes,femmes,enfants et les vieillards sont défrisés comme les herbes.....

*Mardi 6 mars 2018, journée chargée pour le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur et Sécurité, Henri MOVA Sakanyi, dans la poursuite de son itinérance en provinces, accompagné notamment de son collègue Ministre de la Défense, Crispin Atama Tabe, du Conseiller spécial du Chef de l'Etat en matière de sécurité, maître Mbuyu*.

*Déjà à neuf heures du matin, la corporation des professeurs de l'Ituri ont rencontré le Vice-Premier Ministre, Mnistre de l’Intérieur et Sécurité, en lui présentant l'état de lieu de leur province et les difficultés qu'ils rencontrent.*

*Après avoir proposé quelques pistes de solutions, les professeurs de l'Ituri ont prôné l'unité pour le retour à la paix dans leur province.*

*Le deuxième groupe à être reçu, c'est la communauté Hema qui, après avoir exposé au VPM ses préoccupations, a demandé que les autorités aident ses membres à retrouver la paix, d'autant plus que les Hema n'ont pas l'idée de se séparer de leurs frères Lendu.*

*Reçus à leur tour, les Lendu ont fait montre de leur attachement à la paix. Aussi ont-ils appelé leurs frères à la retenue.* *Enfin, les députés nationaux et provinciaux, élus de l'Ituri, ont pris langue avec le patron de la territoriale pour la recherche de la paix durable dans cette contrée de la République.*

Alors que, Monsieur l'abbé Jean Gaston BANGA de la paroisse DRODRO a confirmé l'attaque de la paroisse de DRODRO dans l'après-midi, du mercredi 07 mars 2918. Drodro est situé à plus moins 70km au nord de la ville de Bunia.

Commentaires