Mardi 3 mars 2018, le général Marcel Mbangu, commandant de l’opération Sokola a reconnu la persistance de la rébellion ougandaise des Forces démocratiques alliées à Beni dans l'est dela Rdc.

Lutte contre l’ADF à Beni: L’armée invite la population à ne pas véhiculer de “fausses informations”

Une semaine après les tueries d’onze personnes par des présumés rebelles de l’ADF à Beni (Nord-Kivu), l’armée sensibilise la population sur la gestion de l’information relative à la traque de ces islamistes ougandais accusés d’être à la base des massacres de plus de mille civils.

“Nous devons reconnaître que le problème de l’ADF persiste encore dans la région et pour se rendre compte il suffit de quitter le centre-ville de Beni et visiter les villages qui entourent cette entité”, a dit le général Marcel Mbangu.

L’officier supérieur de l’armée s’est exprimé au cours d’une conférence organisée par la société civile à l’intention de la population de Beni.

Rencontre à laquelle le maire de cette ville a également pris part.

Le général Mbangu justifie la persistance de la “nébuleuse” ADF notamment par des rumeurs alimentées par “l’ennemi” au sein de la population.

“Ceux qui continuent à nous freiner dans ce travail d’éradication des ADF sont ceux-là qui cherchent mal les informations.

Les rumeurs et les fausses informations sont les choses qui peuvent facilement détruire même l’armée, il y a d’autres nouvelles qui peuvent provenir de l’ADF et vous les répandez au sein de la population, voilà comment l’ennemi mène sa guerre pour diviser l’armée et la population à la fois”, a-t-il expliqué aux participants à la conférence.

Mais pour le député provincial du Nord-Kivu, Jaribu Muliwavyo l’un des participants à ces assises, il revient aux services de sécurité de distinguer les informations dans l’opinion.

“ll ne faut pas croire que toutes les rumeurs proviennent de la population.

Il y a des rumeurs qui peuvent provenir des ADF, de ceux qui n’aiment pas le régime en place, de la population mais c’est au service des renseignements de les jauger et d’en juger la pertinence”, a-t-il dit.

La conférence avait comme thème: “le terrorisme de l’ADF et les carnages à Beni ville et territoire, sommes-nous réellement menacés ? quels sont les objectifs du terrorisme, stratégie et leur mode d’action ? Lutter contre le terrorisme, une priorité absolue ?

Société civile noyau de la chefferie des bashu térritoire de BENI


Tôt le matin de ce vendredi 06/04/2018 le crépitement de balles sporadiques se font attendre à Kasitu vers Mavono  où il y'a eu présence des présumés miliciens mai mai et les militaires FARDC ont vite repousser ce mouvement suspect, même maintenant les militaires FARDC venus de BUTEMBO et bulambo sont en train de patrouillé mont Muleke dans le groupement Malio avec ses limites et groupement isale bulambo en chefferie des bashu territoire de BENI a quelques kilomètres de la ville de BUTEMBO.

Ces miliciens sont appelée a déposé les armes et revenir a la raison de cultivé la paix pour le développement endogène .

Se/ Le politologue PALUKU KIPUTULU Moïse de la société civile noyau de la chefferie des bashu, premier vice président.

Analyse et perspective pour construire une paix durable”.

[6/4 06:20] ‪+243 998 845 758‬: *Motion de défiance contre le ministre de défense Congolais:

Les élus de BENI qui n'ont pas signé cette motion ont craché sur le sang des victimes.

Je crois que les gens sont dans l'erreur: le pouvoir ne respecte pas les lâches, ceux qui flattent KABILA pendant que leurs frères sont massacrés sont dans une grosse erreur.

Nous avons commencé ce combat contre l'insécurité à l'Est depuis 2004.

Passer dans le service des annales parlemetaires et vous vous rendrez compte que les amis n'ont même,pas fait le suivi des résolutions de la plénière sur cette matière.

Un représentant qui ne fait rien quand sa base est massacrée n'est pas à sa place et devra, comme le demande Jean Paul Ngahangondi, etre éloigné de la possibilité d'affaiblir la représentation nationale dans le futur.

Et puis ces frères ne savent-ils pas que le mandat impératif est interdit par la constitution? Aucun parti n'a le droit de dicter des votes au député.

Pourquoi se faire des petits moutons même quand on massacre nos frères? Finalement ceux qui n'ont pas signé ont craché sur le sang des victimes.

Enfin, en politique, on ne respecte pas ceux qui acceptent n'importe quoi, mais ceux qui savent dire NON et défendre des causes. Je suis étonné que nos amis ne sachent pas que notre premier devoir, quelles que soient nos tendances politiques et nos calculs, est de faire pression sur le pouvoir et le monde entier pour que la paix revienne chez nous. Ne pas le faire, c'est agir comme un mari qui trouve un homme dans le lit de son épouse et lui offre de l'eau pour se laver après son forfait.

*Jean Louis Ernest Kyaviro, député national honoraire*
[6/4 06:38] ‪+243 998 845 758‬: CANTINE : Plus des six domiciles ont été systématiquement pillés par des hommes porteurs des deux armes à feu du type AK47 et un révolver la nuit du Mardi au Mercredi 5 mars 2018 aux environs de 21h30.

Le fait s’est passé au village MINE KIBOTO  situé à plus aux moins7 km de CANTINE CENTRE en localité de KIPABASHI groupement BASWAGHA MADIWE en territoire de BENI.

Selon nos sources sur le lieu de ces malfrats au nombre de cinq ont fait un tour à tour dans les domiciles en emportant ainsi avec eux argent, téléphones, or et autres biens de valeur  après avoir torturé les habitants.

Ces inciviques n’ont pas épargné monsieur MANGARI FAUSTIN en le torturant avant d’emporter ses 180 millions de francs congolais, 4grammes et 6tiges d’or, et 10Cc de mercure avant de visiter monsieur KAMBALE MUTHAVALI ou ils ont pris par force 1million de francs congolais et 5grammes d’or.

Les mêmes sources, les assaillants ont tiré plusieurs coups des balles à l’air avant de se volatiliser dans la nature.

 La population  ne sachant pas sur quel saint se vouer ; La société locale quant à elle condamne ces actes répétitifs de cambriolage dans le groupement et demande qu’une position sécuritaire soit érigée dans cet endroit avant d’appeler les services de sécurité d’ouvrir les enquêtes pour dénicher les auteurs.

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