Massacres et l'insécurité en Beni-Ville et térritoire dans l'est de la Rdc

INQUIÉTUDE DE LA PART DES PATRIOTES FACE À LA RECRUDESCENCE DE L'INSÉCURITÉ SUR LES AXES ROUTIERS BENI-ERINGETI ET BENI-KASINDI: QUI TUE, KIDNAPPE ET INCENDIE DANS CES AXES ROUTIERS !

LES JEUNES S'INTERROGENT !

Pas plus de trois semaines, qu'un véhicule marque ACTROS qui transportait des planches a été incendié dans l'axe routier Oicha-Eringeti, lieu déjà surnommé "TRIANGLE DE LA MORT", et tous les individus qui étaient en bord, tous étaient pris en otage!

Des informations reçues auprès du porte-parole des opérations sokola I dans le Grand Nord, ont révélées aux yeux du monde que, ce sont des ADF, qui ont signé cet unième cas d'insécurité dans ce milieu dit triangle de la mort!

Dans leurs dernières opérations, il n'y a pas encore une semaine, nous avons appris la libération de ces compatriotes et que c'est grâce à la force du feu qu'ont subi les ennemis de la paix, les ADF, que ces derniers, ont réussi de se faire échapper de mains de leurs ravisseurs!

Les jeunes patriotes ont continué leurs enquêtes pour savoir en réalité celui ou ceux qui opère  (opèrent) ou qui laissent à ce que ce lieu soit appelé "Triangle de la mort".

Les résultats de nos enquêtes ont révélé que ce sont les militaires congolais, dits FARDC, qui avaient été auteurs de cet acte ignoble et que, pour libérer leurs proies, une rançon d'au moins 45000$ a été remise à ces derniers pour accepter de laisser libres ces trois compatriotes!

La scène a commencé par un appel téléphonique demandant, pour que la libération soit effectuée, qu'on leur donne au moins 100 000  $! C'est après négociations avec les ravisseurs et  que ces derniers aient acceptés, que famille a cherché les 45000$.


Selon notre source, c'est vers minuit, que cette somme d'argent avait été versée entre les mains d'un groupe de militaires  (FARDC ) dans les Bashu!

A ces derniers, on a donné les 45000$ réservés aux commanditaires qui, selon notre source, n'étaient pas sur le lieu, et à ceux-là à qui, la somme est remise, 1500$ ont été ajoutés, car sont eux qui ont facilité l'opération!

Après cet exercice, quelques jours après, les trois otages ont été laissés libres et se sont eux-mêmes rendus auprès de militaires  (FARDC ) commis dans le triangle de la mort, et c'est de là, qui ont été remis aux autorités politico-administratives, au motif qu'ils seraient libérés grâce à la force du feu!

Voilà la réalité de choses!

La vérité est têtue!

Ils sont finalement connus les tueurs, kidnappeurs et incendiaires sur les axes routiers Beni-Eringeti et Beni-Kasindi.

Que personne se soit plus menti par des propos d'un certain porte-parole car c'est lui, dit-il, la bouche autorisée!

Depuis le début de cette année cette partie de la RDC est confrontée à plusieurs attaques et embuscades des groupes armés contre les populations civiles, les vols et viols, vols en mains armées et assassinats, les pillages dont les auteurs seraient des bandits non autrement identifiés, les groupes armés dont l'Adf , maï-maï et les éléments de l'armée régulière FARDC qui sont déployé dans la zone.

Pour le seul cas des exactions commises par les ADF, la *CRDH* constate qu'à partir *du 12 janvier jusqu'au 07/06/2018*, 29 attaques ont été lancées par ce groupe armé étranger dans plusieurs agglomérations et sur le axes routiers notamment: Beni-Oïcha, Beni-Kasindi, Oïcha-Eringeti et Eringeti-Kainama dont le bilan humain d'après les éléments dont dispose la CRDH est le suivant:

A, *102* personnes civiles tuées par ces Adf;
B, *30* Civils portés disparus ;
C, *46* blessés.
Ce bilan humain est tellement lourd pour une zone inondée par les éléments de l'armée régulière et ceux de la force Onusienne avec des moyens important pour garantir la sécurité de la population et ses biens.

La CRDH qui prépare un rapport complet sur les conséquences de l'insécurité dans cette région, promet mettre à votre disposition ce document à la fin de ce mois, le fruit de ses activités de monitoring.

Ledit rapport aura des éléments ci-dessous :

1, Les exactions commises par les ADF;
2, Les exactions commises par les éléments maï-maï ;
3, Les exactions commises par les éléments FARDC ;
4, Les exactions commises par les éléments de la PNC.

Conclusion :

La CRDH appelle l'armée régulière FARDC et la force Onusienne de doubler les efforts pour sécuriser la population et imposer la paix et la sécurité dans la région de Beni. Elle demande également la population de continuer à dénoncer en temps les mouvements suspects et tous les semeurs des troubles pour permettre aux instruments de la défense et ceux de l'ordre de mener des actions anticipées de protection.

Autres détails prochainement quand le rapport sera rendu public.

Fait à Oïcha, le 09/06/2018, pour la CRDH, Coordination nationale.

*Maître Jean-Paul PALUKU NGAHANGONDI coordonnateur national de la CRDH*
Coordonnateur.

En térritoire de Beni la fois passé : l’armée présente des otages libérés dans les combats à Beni (Nord-Kivu)

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont présenté, ce samedi, à la mairie de Beni, trois otages libérés lors des combats avec l’ennemi dans le triangle de la mort (les localités d’Eringeti, de Kamango et Mbau, en territoire de beni).

Les otages présentés étaient kidnappés par les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) à Kokola, près d’Eringeti, lors de l’embuscade tendue contre leur véhicule début juin.

«Nous avions remarqué une sorte de crevaison sur l’un de nos pneus. Nous nous sommes arrêtés un peu, et devant nous il y avait des hommes en tenue militaire.

On les a approché pour nous secourir. Malheureusement, c’étaient les ADF. Ils nous ont amené en brousse, les yeux bandés. Nous avons fait deux jours de marche à pied pour arriver dans leur campement.

Là-bas, ils nous ont soumis à toutes sortes de torture en nous gardant dans une prison souterraine.

Après deux semaines, ils ont été attaqués et c’est de cette façon que nous avons profité pour fuir jusqu’à croiser les militaires vers Maisafi, après trois jours de marche», témoigne Katsuva Kalume, l’un des otages libérés.

L’armée affirme avoir libéré ces otages lors des combats avec l’ennemi.

«Après cet événement, le commandement avait une idée de la direction qu’avait prise les kidnappeurs.

Et, depuis ce temps, il y avait un travail de localisation qui se faisait et l’armée a accentué la pression sur l’ennemi pour arriver au résultat que nous voyons aujourd’hui : la libération de nos compatriotes», déclare le capitaine Mak Hazukay, porte-parole des opérations militaires sokola 1.

Les FARDC ont lancé, le 13 janvier 2018, les opérations dites de grande envergure contre les groupes armés locaux et les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) sur l’ensemble du grand Nord-Kivu.

Dans le même chapitre au moins un civil a trouvé la mort et trois autres ont disparus lors des affrontements survenus le jeudi dernier entre les FARDC et les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) à Tenambo, village situé au nord d’Oicha, à 7 Km de la cité.

Selon la société civile territoire de Beni, le corps de la victime vient d’être repêché de la brousse ce vendredi 15 juin 2018.

“C’est une femme qui a été touchée lors des affrontements entre FARDC et ADF qui ont lieu à Tenambo hier, elle était grièvement blessée.

Trois civils ne répondent pas à l’appel, nous estimons qu’ils ont disparu”, renseigne Noëlla kantongerwaki, président de la société civile territoire de beni.

L’armée annonce avoir libéré quatre civils qui étaient déjà pris en otage par l’ennemi.

“Nous avons repoussé une attaque contre l’une de nos positions à Tenambo.

Lors de la poursuite de l’ennemi, nous avons réussi à libérer quatre civils qui étaient déjà pris en otage.

Pour le moment, nous sommes en train de travailler avec la société civile locale pour savoir s’il n’y a pas de civils tués”, a dit à ACTUALITE.CD Mak Hazukay, prote-parole de l’armée.

Samedi 9 juin 2018, les rebelles ADF ont fait incursion dans la localité de Mavivi située au nord de Beni, 20 kilomètres du centre ville, plus de cinq maisons étaient incendiées et neuf boutiques pillées.

Pour le moment cette localité est vidée de sa population qui craint une éventuelle attaque des rebelles ougandais.

À OICHA CHEF LIEU DU TÉRRITOIREE DE BENI : Triste nouvelle pour la communauté Indru en général.

Au motif, l'un de nos membres a été tué à oïcha chef lieu du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, c'est dans l'est de la République Démocratique du Congo.

Il s'agit de Monsieur *PUTULU* le père responsable d'un foyer et habitat d'Oicha dépuis long temp, l'homme qui prie pour les gens partout ou il arrive
Un de ces phrases *Tu* *ombe* *ndani* *ya* *maisha*.

Il serai assassiner dans la nuit du mardi au mercredi, 06 juin 2018, à 1.1 km du grand Rond Point d'Oicha, lorsqu'il montait la garde dans une banque muso à Manzali par les Inconnues qui reste à découvrir.

Dans l'avant midi du mercredi, le corp de notre frère qui porte des blessures et signes dela machette, victime des actes de térrorrisme été amèné, à la marque d'hôpital générale de référence d'Oicha!

Paix à son ame !
Mais aussi une somme d'argent de cette banque a été emporté par ce hors la loi.

À noter aussi qu' un militaire FARDC incontrôlé, a voulu cambrioler dans un Kiosque au quartier Pakanza situé au conté ouest d'Oicha non loin de l'Institut Mabalako.
Fatigués par le banditisme urbain, les jeunes du quartier ont tabassé gravement cet incivique et lui ravir son arme à feu.

Comme il y a un dispensaire PNC aux environs, les policiers sont venus secourir ce militaire qui est présentement entre la vie et la mort à l'hôpital d'Oicha.

Découverte maccabre le dimanche 17 juin 2018, les deux corps d'un homme et sa femme habitants à Oicha-Ntuani qui se sont rendu dans leurs champ vers Matibha, le vendredi dernier ont été rétrouvé égorgés par les rébélles ougandais du groupe ADF au périphérie est de Mbau chef lieu du sécteur qui porte le même nom, selon une source de la radio locale à Oicha  chef lieu du térritoire de Beni dans l'est de la République Démocratique du Congo,  province du Nord-Kivu.

Ce nouveau carnage a lieu, alors que les opérations de ratissage se poursuivent dans cette contrée où l’ennemi était déclaré souvent être en débandade sous la pression du commandement militaire des opérations Sokola 1 dans la région de Beni.

L'information à été livrés à la presse,  par les pygmées qui ont vu les corps des victimes abandonnés dans la brousse.

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