Au Nord-Kivu Plusieurs centaines des personnes ont participé à cette sensibilisation, y compris quelques enfants sortis des groupes armés c'est dans l'est de la Rdc

NORD KIVU : LA MONUSCO SENSIBILISE LA POPULATION DE KIBUMBA SUR ZÉRO ENFANT DANS LES GROUPES ARMÉS.

La localité de Kibumba relevant du territoire de Nyiragongo située à une vingtaine de kilomètres au Nord de Goma a été le théâtre d’une campagne de sensibilisation de la MONUSCO.

« Zéro enfant au sein des groupes armés », c’est le thème de cette campagne animée le vendredi 20 juillet 2018 à Kibumba, par la section de la Protection de l’enfant de la Monusco, en collaboration avec ses partenaires opérant dans la protection de l’enfant.

Plusieurs centaines des personnes ont participé à cette sensibilisation, y compris quelques enfants sortis des groupes armés.

L’objectif, selon les organisateurs, parler avec les groupes armés afin de sortir tous les enfants au milieu d’eux, mais aussi sensibiliser toute la communauté sur la prévention de recrutement des enfants dans les groupes armés.

David Manyereho, agent sensibilisateur de la protection de l’enfant en territoire de Nyiragongo a tenu à rappeler les enjeux de cette campagne.

Selon lui « avec cette sensibilisation, ça peut prévenir à la population à ne pas laisser leurs enfants être recrutés dans certains groupes armés. En plus, c’est bon parce que c’est en présence des autorités locales, qui peuvent nous aider aussi à sensibiliser cette population de ne pas autoriser les enfants d’être recrutés dans les groupes armés. Un message que je peux envoyer aux recruteurs, c’est pour leur dire que la place de l’enfant n’est pas dans l’armée, la place de l’enfant c’est à l’école ou bien dans sa famille. Leur avenir dans la communauté ce n’est pas dans les groupes armés. J’invite aussi les parents, d’être des bons responsables pour leurs enfants. »

En térritoire de Beni on parle toutou d'un phénomène des rébélles ougandais du groupe ADF !

Pendant ce temp, le Président Adjoint de la société civile groupement Batangi-Mbau est en danger.

Mais toutefois, DJAMALI Moussa, réitère sa détermination de continuer à parler au nom de la population et à dénoncer tout mouvement suspect de cette rébellion quelque soit ses intimidations.


Dénonciation du  26 juillet 2018  !

Cet acteur de la Societe Civile aurait d'ailleurs échappé entre les mains des présumés Adf lors de la récente incursion à Ngite- Mavivi, le Dimanche 22 juillet 2018, à 19 h 30' pendant qu'il était déjà immobilisé par ces derniers alors qu'il pensait être dans les bonnes mains de l'armée Congolaise FARDC vue la ressemblance de l'uniforme militaire.

Un acteur de la société civile en territoire de Beni, à l'Est de la République Démocratique du Congo au Nord-Kivu,vit en clandestinité après qu'il soit cherché véritablement par le présumés éléments de la rébellion ougandaise de l'ADF responsables de crime contre l'humanité et crime de guerre en Territoire de Beni il y a de cela quatre ans.

Sheikh DJAMALI Moussa vice-président de la société civile groupement de BATANGI-MBAU à localité de Mavivi, située à 12 Km au Nord-Est de la ville de Beni, est accusé par cette rébellion d'avoir souvent dénoncé tous les mouvements suspects de cette bande des criminels qui sèment terreur et désolation au sein de la population de la région.

Contacter par Germain Hassan KYAHWERE journaliste reporter à la Radio Semuliki beni au Nord-Kivu dans l'Est de la RDC et correspondant du GLOBAL TV de la TANZANIE en Afrique de l'Est qui nous a livré l'information, la victime plaide pour sa propre sécurité et celle de sa famille vu l'allure des menaces lui proférés par cette rébellion qui ne cherche que sa tête après qu'il soit qualifié d'un <Kafir> qui veut dire en arabe: << Incroyant>>.

Ce dernier appelle le Président de la République à la concrétisation de sa promesse faite lors de sa visite dans cette partie de la RDC en 2014, parlant de l'engagement de sa force et volonté pour mettre fin à la présence de cette rébellion dans la zone de Beni, une rébellion auteur de massacre de plus de 2000 personnes à coté de plus de 1000 autres kidnappées dans la région depuis l'année 2010.

La Coordination nationale de l'organisation de défense des droits de l'homme CONVENTION POUR LE RESPECT DE DROITS HUMAINS ( CRDH ) en sigle, demande aux autorités politicoadministratives, militaires, policières et Onusiennes, de garantir la sécurité à cet acteur de la Société civile qui coure le risque de perdre sa vie pour avoir dénoncer cette bande des criminels qui insécurise la région et également, la CRDH plaide pour des opérations militaires conjointes de traque de ces bandits pour pacifier une fois pour toute la région de Beni longtemps victimes des actes de barbarie des groupes armés.

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