Trois civiles ont été tués au cours d'une nouvelle incursion des rébélles ougandais du groupe ADF samedi 14 /07/ 2018, à oïcha dans l'est de la Rdc

Les armes lourdes et légère ont déchirés l'espace d'Oïcha-Est à 3.7 km du Bureau du térritoire de Beni d'après une source de l'armé sur place à Oïcha chef-lieu du térritoire de Beni province du Nord-Kivu  !

C'était vers 17 h30' jusque 18 heures passées que la Commune rurale d'Oïcha a vibré sous le rythme des coups des balles qui provenaient dans l'un des  ses Quartier appelé BAKAHIKU précisément dans la Cellule MAMIKI le samedi 14 juillet 2018.

Donc 3 personnes sont tués à l'aide de hache et l'autre porte disparu,  les animaux de la basse cours emportés, c'est le bilan d'une nouvelle attaque de la part des ADF à oicha situé  au nord de la Ville de Beni.

Pendant ce temp là,  les habitants vivant dans la partie est d'Oïcha ont fait un déplacement massif vers le centre ville notamment, aux quartiers Pakanza, Mbimbi, et Masosi, c'est à l'ouest de cette commune.

Cette situation qui a plongé la population dans une panique générale a pris fin quelques minutes après sans que les cas des morts soient signalés parmi les population.

D'après certaines sources sur place, les bourreaux qui ont commis le forfait seraient venus en profondeur du parc national des virunga situé à proximité d'Oïcha-Est, vers une heures du matin pour terroriser la population en exigeant aux victimes de donner de l'argent et autres biens sous peine d'être tué, c'est le cas d'une victime que nous taisons son nom pour des raisons déontologiques qui a laissé entendre à l'équipe de la protection Civiles de la CRDH qu'elle a reussi à s'échapper après avoir promu remettre une somme d'argent équivalent à 400$ que les bourreaux ont exigé à titre de garantie pour sa vie.

Ces assaillants vêtus tous presque en tenues semblables à celles des FARDC, s'exprimaient les à Kiswahili et Kiganda ont reussi à opérer sans être repéré avant de disparaître calmement dans la nature après avoir tué trois personnes civiles innocentes dont un homme et deux femmes d'une manière atroce.

Une information qui attire notre attention est que cette tuerie a intervenu après que le Général Mbangu Mashita Marcel puisse déménager de Oïcha pour Beni Ville avec toute sa disposition sécuritaire et que c'est hier même que sa dernière ceinture de protection a quitté Oïcha pour rejoindre le commandant des Opérations militaires Sokola 1 selon Jean Paul Paul Ngahangondi activiste des droits del' homme en térritoire de Beni.

Ce qui est vrai est que la présence de l'état-major du Commandement des opérations militaires Sokola 1 a Oïcha a contribué à la protection de cette population après les attaques du 8 Octobre 2014 à Tenambo, du 12 Octobre 2015 à Tenambo, du 5 juillet 2016 à lactuel massacre de Mamiki de triste mémoire.

Nous rendons hommage aux victimes MBAMBU MWAVITA de 43 ans, MASIKA SIBAMUPENDE FRANÇOISE et KAMBALE KITSAMA Jean tous tuées hier samedi 14 juillet à Oïcha Mamiki dans une condition floue d'après les éléments recueillis auprès de certains rescapés que nous avons l'obligation de protéger jusqu'à l'intervention d'une justice sérieuse et neutre et juste sur les massacres de Beni.

Tôt où tard il y aura justice pour vous, voilà le mobile de notre combat !
 Ainsi donc, la CRDH dénonce encore c'est unième cas de tuerie lâche et floue de Mamiki tout en recommandant à l'armée loyaliste FARDC et les Casques bleus de la MONUSCO de sécuriser suffisamment la population en multipliant une pression militaires contre tous les groupes armés qui pullulent dans la région de Beni.
La paix est une nécessité à Beni!

Ils ont eu à égorger sur place quelques bêtes extorquées auprès de la population puis brûler deux maisons d'habitations avant de disparaître calmement dans la nature.

C'est cas même curieux de constater que les assaillants peuvent commettre dans un rayon sous contrôle de l'armée loyaliste les dégâts de telle ambleur en crépitant des balles réelles sans être surpris par les instruments de la protection et ceux de la défense.

Face à cette situation, le quartier Mabapula, Mamiki, Nzanza, Tenambo et Mababeka situé à Oïcha  s'est vidé de sa population,  qui ont fait un déplacements del'est vers l'ouest, suite à une attaque des inciviques ADF vers 17 heures locale du samedi 14 juillet 2018 c'est à l'est de la République Démocratique du Congo,  province du Nord-Kivu.

Cela est arrivé après avoir présenté des otages libérés dans les combats à Beni (Nord-Kivu).

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont présenté, ce samedi, à la mairie de Beni, trois otages libérés lors des combats avec l’ennemi dans le triangle de la mort (les localités d’Eringeti, de Kamango et Mbau, en territoire de beni).

Les otages présentés étaient kidnappés par les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) à Kokola, près d’Eringeti, lors de l’embuscade tendue contre leur véhicule début juin.

«Nous avions remarqué une sorte de crevaison sur l’un de nos pneus. Nous nous sommes arrêtés un peu, et devant nous il y avait des hommes en tenue militaire. On les a approché pour nous secourir.

Malheureusement, c’étaient les ADF. Ils nous ont amené en brousse, les yeux bandés. Nous avons fait deux jours de marche à pied pour arriver dans leur campement.

Là-bas, ils nous ont soumis à toutes sortes de torture en nous gardant dans une prison souterraine. Après deux semaines, ils ont été attaqués et c’est de cette façon que nous avons profité pour fuir jusqu’à croiser les militaires vers Maisafi, après trois jours de marche», témoigne Katsuva Kalume, l’un des otages libérés.

L’armée affirme avoir libéré ces otages lors des combats avec l’ennemi.

«Après cet événement, le commandement avait une idée de la direction qu’avait prise les kidnappeurs. Et, depuis ce temps, il y avait un travail de localisation qui se faisait et l’armée a accentué la pression sur l’ennemi pour arriver au résultat que nous voyons aujourd’hui : la libération de nos compatriotes», déclare le capitaine Mak Hazukay, porte-parole des opérations militaires sokola 1.

Les FARDC ont lancé, le 13 janvier 2018, les opérations dites de grande envergure contre les groupes armés locaux et les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) sur l’ensemble du grand Nord-Kivu.

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