La campagne électorale continue sur les réseaux sociaux en Rdc où des candidats et leurs proches continuent de payer de la publicité sponsorisée. Et certaines ont des propos graves.
Facebook et Youtube, qui continuent notamment de diffuser les campagne, n’ont pas pu être joints par nos équipes.
En RDC, il existe un large vide juridique autour de la campagne publicitaire, notamment politique en ligne.
Alors que la Commission électorale et l’autorité de régulation des médias continuent de revendiquer la fin de cette campagne, beaucoup risquent de continuer à utiliser les réseaux sociaux poC’est le modèle économique très lucratif des réseaux sociaux.
Quand un visiteur utilise Facebook ou Twitter, des publicités lui sont proposées, voir imposées, entre des publications.
Les réseaux sociaux vendent donc leurs audiences aux annonceurs de tout type.
En République démocratique du Congo, la pratique de la publicité en ligne s’est largement répondue au niveau commerciale, du côté des professionnelles des entreprises.
Cependant, alors que le pays est en plein processus électoral, les pratiques de la publicité en ligne entrent en politique.
Des structures entières utilisent ainsi les audiences de réseaux sociaux pour faire la promotion de leurs leaders politiques.
C’est ainsi que bien avant la campagne électorale, des internautes congolais ont vu plusieurs candidats s’afficher dans leurs applications de réseaux sociaux.ur contourner la loi.
Les réseaux sociaux continuent de diffuser les publicités payées par des candidats aux élections en République démocratique du Congo, bien que la fin de la campagne électorale au pays ait été décrétée depuis le 22 décembre 2018.
Au stade actuel, la CENI entame la dernière étape de cette récupération qui consiste à la réception, à la préparation, au conditionnement et au redéploiement des nouveaux bulletins de vote.
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a lancé l’opération de préparation et conditionnement du premier lot des 1.500.000 bulletins de vote destinés à la ville de Kinshasa en vue de leur acheminement rapide dans tous les centres et bureaux de vote à travers la capitale, indique la CENI dans un communiqué remis vendredi à l’ACP.
Selon le communiqué, cette opération n’est qu’un maillon de la chaîne de production des bulletins de vote et de reconditionnement des machines à voter perdus à la suite de l’incendie de l’un des entrepôts de la CENI à Kinshasa.
Au stade actuel, la CENI entame la dernière étape de cette récupération qui consiste à la réception, à la préparation, au conditionnement et au redéploiement des nouveaux bulletins de vote venant de la Corée du Sud.
Au cours de la conférence de presse qu’il a animée le 13 décembre 2018, le président de la CENI, Corneille Nangaa Yobeluo avait annoncé des dispositions technico-opérationnelles qui ont progressivement permis de surmonter ce cas de force majeure.
Cet incendie, rappelle-t-on, a causé la perte de près de 8.000 machines à voter sur les 10.368, 3774 isoloirs sur les 8.887, 552 kits bureautiques sur les 8.887, 17901 encres indélébiles, 800 nouvelles motos et 15 véhicules et près de 9.500 batteries externes.
A ces pertes, il faut ajouter les 5 millions de bulletins de vote contenus dans les mallettes des machines à voter.
Les missions internationales d’observation électorale prennent acte du report des élections et de l’engagement de la CENI.
Après le report des élections générales en République démocratique du Congo, les réactions ne cessent de pleuvoir dans l’environnement politique.
Dans une déclaration parvenue à la rédaction ce dimanche 23 décembre 2018, les missions internationales d’observation électorale disent prendre acte de la décision de la commission électorale nationale indépendante du 20 décembre 2018 reportant les élections générales au 30 décembre mais aussi son engagement à organiser des élections apaisées et crédibles. Tout en appelant au calme la population congolaise.
D’après la même déclaration, Ils exhortent tous les responsables politiques et les autres parties prenantes à promouvoir un environnement propice à la tenue des élections démocratique.
Aussi, ont-ils encouragé toutes les parties prenantes à soumettre leurs requêtes et à formuler leurs recours conformément aux voies légales établies.
Par ailleurs, Ils réaffirment leur solidarité avec le peuple congolais tout au long de ce processus électoral.
Pour rappel, suite aux problèmes logistiques et techniques, les élections générales prévues ce dimanche 23 décembre 2018 ont été reportées de 7 jours.
En RDC, il existe un large vide juridique autour de la campagne publicitaire, notamment politique en ligne.
Alors que la Commission électorale et l’autorité de régulation des médias continuent de revendiquer la fin de cette campagne, beaucoup risquent de continuer à utiliser les réseaux sociaux poC’est le modèle économique très lucratif des réseaux sociaux.
Quand un visiteur utilise Facebook ou Twitter, des publicités lui sont proposées, voir imposées, entre des publications.
Les réseaux sociaux vendent donc leurs audiences aux annonceurs de tout type.
En République démocratique du Congo, la pratique de la publicité en ligne s’est largement répondue au niveau commerciale, du côté des professionnelles des entreprises.
Cependant, alors que le pays est en plein processus électoral, les pratiques de la publicité en ligne entrent en politique.
Des structures entières utilisent ainsi les audiences de réseaux sociaux pour faire la promotion de leurs leaders politiques.
C’est ainsi que bien avant la campagne électorale, des internautes congolais ont vu plusieurs candidats s’afficher dans leurs applications de réseaux sociaux.ur contourner la loi.
Les réseaux sociaux continuent de diffuser les publicités payées par des candidats aux élections en République démocratique du Congo, bien que la fin de la campagne électorale au pays ait été décrétée depuis le 22 décembre 2018.
Au stade actuel, la CENI entame la dernière étape de cette récupération qui consiste à la réception, à la préparation, au conditionnement et au redéploiement des nouveaux bulletins de vote.
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a lancé l’opération de préparation et conditionnement du premier lot des 1.500.000 bulletins de vote destinés à la ville de Kinshasa en vue de leur acheminement rapide dans tous les centres et bureaux de vote à travers la capitale, indique la CENI dans un communiqué remis vendredi à l’ACP.
Selon le communiqué, cette opération n’est qu’un maillon de la chaîne de production des bulletins de vote et de reconditionnement des machines à voter perdus à la suite de l’incendie de l’un des entrepôts de la CENI à Kinshasa.
Au stade actuel, la CENI entame la dernière étape de cette récupération qui consiste à la réception, à la préparation, au conditionnement et au redéploiement des nouveaux bulletins de vote venant de la Corée du Sud.
Au cours de la conférence de presse qu’il a animée le 13 décembre 2018, le président de la CENI, Corneille Nangaa Yobeluo avait annoncé des dispositions technico-opérationnelles qui ont progressivement permis de surmonter ce cas de force majeure.
Cet incendie, rappelle-t-on, a causé la perte de près de 8.000 machines à voter sur les 10.368, 3774 isoloirs sur les 8.887, 552 kits bureautiques sur les 8.887, 17901 encres indélébiles, 800 nouvelles motos et 15 véhicules et près de 9.500 batteries externes.
A ces pertes, il faut ajouter les 5 millions de bulletins de vote contenus dans les mallettes des machines à voter.
Les missions internationales d’observation électorale prennent acte du report des élections et de l’engagement de la CENI.
Après le report des élections générales en République démocratique du Congo, les réactions ne cessent de pleuvoir dans l’environnement politique.
Dans une déclaration parvenue à la rédaction ce dimanche 23 décembre 2018, les missions internationales d’observation électorale disent prendre acte de la décision de la commission électorale nationale indépendante du 20 décembre 2018 reportant les élections générales au 30 décembre mais aussi son engagement à organiser des élections apaisées et crédibles. Tout en appelant au calme la population congolaise.
D’après la même déclaration, Ils exhortent tous les responsables politiques et les autres parties prenantes à promouvoir un environnement propice à la tenue des élections démocratique.
Aussi, ont-ils encouragé toutes les parties prenantes à soumettre leurs requêtes et à formuler leurs recours conformément aux voies légales établies.
Par ailleurs, Ils réaffirment leur solidarité avec le peuple congolais tout au long de ce processus électoral.
Pour rappel, suite aux problèmes logistiques et techniques, les élections générales prévues ce dimanche 23 décembre 2018 ont été reportées de 7 jours.
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