Super téléphone Sony : toujours plus vite sur Internet Comme les PC, les smartphones vont passer cette année aux connexions Internet à très haut débit.

Le marché du smartphone est en pleine croissance et évolue très vite.

Sony dépose un brevet pour un smartphone pliable et transparent.

Sony Ericsson lance sa troisième génération de smartphones, s'appuyant sur sa gamme Xperia, composée de quatre appareils.

Alors que les premiers mobiles pliables apparaissent, Sony vient de publier un brevet décrivant un concept de smartphone pliable ou enroulable et de surcroît transparent.

«Cette génération de smartphones est une nouvelle fenêtre sur le monde et sur le divertissement», souligne Pierre Perron, le directeur général de Sony Ericsson France, pour qui les premiers smartphones étaient des utilitaires.

La deuxième génération, de type tablette, offre quant à elle une ouverture sur Internet. Sony Ericsson détient 10% de part de marché sur ce segment. L'objectif du groupe est de parvenir à 15% «dans les mois à venir».

La marque en a fait son objectif de croissance pour 2011 et pour cela, s'appuie sur une logique de marque et de différ Sony Ericsson : «Une logique d'innovation, pas d'imitation» Facebook s'incruste dans les smartphones.

Facebook propose déjà des applications pour la plupart des smartphones, dont l'iPhone et Android.

HTC et INQ sont allés plus loin, en présentant, avec son accord, les premiers téléphones aux couleurs du réseau social.

Sony Mobile Communications (anciennement Sony Ericsson) est une filiale de l’entreprise japonaise d’électronique Sony Corporation, axée sur la création de téléphones mobiles.

La gestion mondiale de l'entreprise est basée à Lund. Des équipes de recherche et de développement sont basées en Suède, au Japon, en Chine, au Canada, aux Pays-Bas, aux États-Unis, en Inde et au Royaume-Uni.

Sony Ericsson téléphonie compte environ 8 000 employés dans le monde.

Avec 43 % de taux de croissance annuelle, la marque est devenue la plus forte croissance en tant que vendeur de mobiles au troisième trimestre de 2006 par rapport à Motorola, qui affichait alors un taux de 39 %.

En 2010, Sony Ericsson est le cinquième constructeur de téléphone après Nokia, Motorola, Samsung et Research In Motion (RIM), qui l'a dépassé au cours du premier trimestre de 2010.

La société actuelle a eu pour président Bert Nordberg qui a remplacé en 2009 Dick Komiyama (qui lui-même a remplacé Miles Flint le 1er novembre 2007).

Kunimasa Suzuki a remplacé Bert Nordberg en mai 2012 à la suite de l'arrivée de Kazuo Hirai en avril 2012 à la tête de Sony.

Le 16 novembre 2014 Hiroki Totoki devient PDG de la branche Sony Mobile Communication inc à la suite de la nouvelle stratégie de Sony. Il remplace ainsi Kunimasa Suzuki qui était à ce poste depuis mai 2012.

La société a pour agence de publicité Saatchi & Saatchi.

Par ailleurs, Sony Ericsson a signé l'opération de sponsoring la plus importante de l'histoire du tennis en joignant son nom et son logo au circuit féminin WTA, devenu le Sony Ericsson WTA Tour entre 2006 et 2010.

Depuis 2006 et la sortie de Casino Royale, des produits Sony Ericsson apparaissent dans les films de James Bond.

Ainsi, dans Quantum of Solace James utilise un C902, alors qu'un employé du MI6 se sert d'un mini ordinateur VAIO.

Également, Sony joue sur cette visibilité en désignant, par exemple le Sony Xperia T comme "le téléphone de James Bond" dans plusieurs publicités.

Sony Mobile Communications catégorise ses téléphones comme :

Téléphone ;
Téléphone message ;
Téléphone appareil photo ;
Téléphone musique ;
Téléphone Design Web ;
Téléphone pour internet et messagerie électronique.
Classification :

Série C : série haut de gamme intégrant la série Cyber-shot et un GPS intégré. C'est avec cette gamme (plus précisément le C905) que Sony Ericsson fut le premier constructeur à intégrer des APN de 8,1 Méga Pixels dans ses téléphones. (C702, C905…)
Série D : mini gamme de Téléphone Sony Ericsson, concentrée sur des opérateurs exclusifs : T-mobile, Vodafone…

Série F : mobiles
essentiellement destinés au jeu et héritant de certaines touches des PlayStations (F305).

Série G : terminaux dont certains sont équipés d'un écran tactile mais accompagnés d'un clavier « standard » (G502, G700, G900).

Cette série contient des téléphones à écrans tactiles très tournés vers la navigation internet mais pas forcément chers.

Série J : entrée de gamme Sony Ericsson, Type

« Candybar », pas de fonction caméra. Ces téléphones sont peu chers et très simples d'utilisation : J120i, J132…

Série K : gamme intégrant la série Cyber-shot (K800i, K850i) mais également d'autres mobiles ayant des fonctions photo moins avancées K610i, K660i…).

Série M : smartphones Symbian OS en milieu de gamme (M600i).

Série P : smartphones Symbian OS en haut de gamme (P990i, P1i…)
Série R : terminaux « optimisés » pour la radio FM (R306…).

Sony Ericsson a sorti cette série composée de téléphones d'entrée de gamme en visant des pays comme l'Inde où les antennes radio sont moins présentes en intégrant la radio AM.

Série S : mobiles portés sur le design (S302, S500i…).

Série T : téléphones ayant une qualité de finition irréprochable et utilisant des matériaux hauts de gamme (T303, T650i…)
Série V : téléphones spéciaux pour l'opérateur Vodafone (V630i, V640i…).

Série W : mobiles Walkman spécialisés dans la musique (W890i, W910i, W960i, W980, W995...).

Série X : terminaux haut de gamme Xperia équipés de Android (Xperia X10, X8, X10 mini) ou Windows Mobile (X1, X2)
Série Z : téléphones de type « clapet » (Z555i, Z770i…).

Xperia : modèles haut de gamme de Sony Ericsson, fonctionnant sous Android, la gamme devient ensuite la seule de Sony en 2012 et couvre alors tous les segments du bas au haut de gamme[pas clair] et s'étend aux tablettes tactiles.

Les HTC Chacha et Salsa arborent ainsi un bouton Facebook sur leur façade, qui permet de partager d'un clic des messages et des photos avec ses amis.

Ils combinent aussi le répertoire de la carte SIM avec la liste des contacts sur le site. Des douzaines de téléphones de ce genre devraient apparaître dans les prochains mois, a annoncé Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook.nciation.

Deux écrans superposés !

Mais dans le cas de Sony, la superposition de deux écrans vient compliquer le principe. Selon les explications du brevet qui restent évasives, l’effet de transparence serait dû à la réflexion de la lumière au travers des pixels des deux écrans superposés.

Les pixels du premier émettraient de la lumière. L’autre écran disposerait de contrôleurs capables de capter et réfléchir cette lumière.

Le brevet décrit également les différents modes d’affichages autorisés par ce procédé. L’écran peut être totalement transparent, lorsque l’écran dorsal devient lumineux.

L’affichage s’opacifie lorsque l’écran du dessous prend une teinte. Enfin, il est possible d’obtenir un effet intermédiaire délivrant de la semi-transparence.

Le reste du brevet montre ce même principe appliqué à un écran repliable en deux, ou qu'il serait possible d'enrouler.

Étant donné que les écrans pliables peinent à voir le jour, il apparaît peu probable que cette combinaison débarque dans les rayonnages avant plusieurs années.

Cela fait des années que Futura évoque l’arrivée de smartphones à écrans pliants. Chez Samsung un tel modèle aurait déjà dû arriver il y a deux ans, mais devrait finalement débarquer en 2019.

De leur côté, Huawei et LG sont également dans les starting-blocks. En attendant, c’est finalement un constructeur chinois mineur Royole qui a dévoilé le tout premier smartphone à écran pliable.

Dans l’avenir, Sony imagine aller encore plus loin en créant un smartphone à la fois pliable et transparent. Le constructeur nippon vient en effet d’obtenir la publication d’un brevet déposé en mai dernier auprès de l’organisme mondial de la propriété intellectuelle, l’OMPI.

 Il décrit un concept de mobile effectivement pliable et également doté de transparence. Concrètement, le mobile serait doté d’un écran de chaque côté.

Mais attention, le procédé serait bien différent du Nubia X que Futura a chroniqué dernièrement. Il ne s’agirait pas de diffuser l’image filmée par la caméra de l’autre côté, mais de véritable transparence.

Un peu à l’image des modèles d’écrans de téléviseurs déjà présentés par Panasonic ou Samsung.

Il faut dire que les dalles Oled n’ont pas besoin d’être rétroéclairées, ce qui permet d’obtenir cette transparence.

Alors que les premiers mobiles pliables apparaissent, Sony vient de publier un brevet décrivant un concept de smartphone pliable ou enroulable et de surcroît transparent.



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