Image d'oicha-moba au nord-kivu après une panique générale suite à la présence des ADF

Selon le fonctionnaire délégué adjoint d'oicha, il s'est agi des des rébélles ougandais du groupe ADF qui voulaient traverser la route de l'ouest vers l'Est au niveau de Matombo au nord d'oicha chef-lieu du térritoire de Beni situé au nord-kivu, en République Démocratique du Congo.

Après quelques minutes, un panique total été observé à oïcha où la population a quitté l'est pour l'ouest craignant un mouvement suspect vers Moba, tenambo et Kin-Kanda.

La route nationale  N°4 est pleine d'enfants , parents transportant des habits partant au ropoint d'oïcha, endroit considéré sécuriser.

 Les FARDC très vigilantes ont ouvert le feu sur eux dans la soiré du jeudi 14 février 2019 et sont en débandade dans la brousse. Mais Aucun bilan n'est disponible.

Cela est arrivés après la découverte macabre d'un corps sans vie retrouver à ahili en depenssement de kithevia dans la partie ouest d'oicha le même jeudi. Pendant ce temp là, certains membres de la société civile été en à pourparler avec l'armée pour le retrait de ce corps ; il s'est agit d'une femme qui s' est rendu dans son champ pour une récolte des produits d'agriculture.

Beni : 6 personnes blessées dont 2 par balles tirées par les policiers qui réclamaient leur solde.

Panique généralisée au centre-ville de Beni ce jeudi 14 février 2019 dans la soirée. La situation est consécutive au crépitement des balles par certains policiers à leur l’Etat-major de Beni qui réclament le payement de leurs solde de 2 mois. Ils sont mécontents d’avoir obtenus seulement le salaire d’un mois sur trois alors que l’argent est disponible en banque depuis 72 heures, a expliqué sous anonymat l’un de ces policiers.

Six personnes ont été blessées lors de cette panique dont deux par balle. La situation a perturbé le déroulement des audiences publiques qui se déroulaient à la mairie de Beni. Quelques prévenus se sont enfuis.

« Nous avons écouté le crépitement des balles. Du coup le tribunal, le conseil des détenus et le ministère public, nous avons tous été en débandade surtout que c’était beaucoup des balles. Il y a eu des blessés mais pas par balle. Je me suis blessé aux genoux et aux bras. Il y a eu plusieurs blessés, au moins six…» a expliqué maître Philémon Ndambiwandambi, l’une des victimes qui siégeait à ces audiences.

Deux personnes ont été blessées par balle perdues à Muloku dans la commune de Bungulu. «J’ai senti quelque chose qui me pique.

Directement j’ai vu du sang commencer à couler. J’ai cru que ce sont des enfants qui jettent des prières…» a indiqué l’une des victimes. Des pertes incalculables ont été évoqués au marché central Kilokba lors de la débandade.

Face à l’ampleur de la situation, le général major Mbangu Mashita Marcel commandant des FARDC dans l’opération Sokola 1, a effectué une descente à l’état-major de la police nationale congolaise, foyer de la tension pour calmer les esprits surchauffés. Le maire de la ville de Beni a appelé les policiers à l’apaisement et à l’ordre. Pendant ce temps il demande pardon à la population pour de tel acte ignoble au dernière nouvelle.

L'actualité c'est aussi

Les militants de la lutte pour le changement (Lucha, section de Beni), aux côtés de quelques habitants du quartier Rwangoma, sont de nouveau descendus dans la rue jeudi 14 février.

Ceux-ci disent réclamer le rétablissement de la paix et la sécurité à Beni- ville, longtemps endeuillée par la rébellion d’origine ougandaise Adf et d’autres groupes armés négatifs nationaux.

Par ce geste, ces citoyens disent aussi vouloir signifier aux autorités compétentes du pays qu’ils sont fatigués par les tueries en répétition dans la région.

Ces militants ont, à l’occasion, remis aux autorités locales un document contenant les noms des victimes des derniers massacres de Rwangoma.

“Nous avons résolu de vous remettre à ce jour, ce document contenant les noms de 7 victimes du 7 février 2019 à Rwangoma. Car pour nous, ceux qui sont tombés sous les balles et les machettes à Rwangoma ne sont pas 7 mais bien-sûr, sont des Congolais identifiables par leurs noms et qui avaient les mêmes aspirations que tout être humain”, ont déclaré les manifestants par la bouche de leur porte-parole.

En réponse, le maire de Beni, Nyonyi Bwanakawa, a rappelé à ses administrés que leur soutien compte beaucoup dans la pacification de la zone:

” Les Fardc ne sont pas des magiciens. Si nous ne les aidons pas à y arriver, tout en dénonçant l’ennemi, elles ne peuvent rien” a-t-il dit.

Notons que les derniers massacres de Rwangoma du 7vfévrier ont coûté la vie à au moins 7 civils. Leurs biens ont été pillés par les assaillants.






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