Avant la fin dela campagne électorale à Beni, Butembo et Yumbi Djimy Kasereka Kamwithe sensibilise sa base qui doit voter pour le candidat N°108 dans térritoire de Beni en Rép Dém du Congo

C'est dans le cadre de la poursuite des activités de sa Campagne électorale, le candidat n°108 à la députation provinciale, Honorable Djimy KASEREKA KAMWITHE Kibambu a été accueilli par la population de AVEY et KUKUTAMA ce dimanche 24 Mars 2019.

Ces villages se situent en SECTEUR de BENI-MBAU, à plus ou moins 20km à l'Ouest de la Commune rurale de OICHA.

Avant son arrivé, il s'est momentanement arrêté au Centre de Santé de MALEKI qui a été recemment dévalisé par les ADF.

Hon. Djimy KASEREKA KAMWITHE Kibambu a regretté de voir les conséquences du phénomène ADF avahir même la partie Ouest du Secteur de Beni-Mbau alors que la partie Est est desormais invivable. Il a promis à une poigné de la population rencontrée sur place qu'il se battra à l'hémicycle pour démontrer la necessité urgente de la pacification du Territoire de BENI.

Après MALEKI, il s'est rendu à AVEY puis à KUKUTAMA où il s'est entretenu avec la population venue l'attendre et celle rencontrée le long de la route.

À KUKUTAMA il a aussi participé activement à une Assemblée Générale d'une Synergie de dix(10) Association des Jeunes vouées au Développement endogène de la place.

Après un exposé tellement enrichi sur "Qui est DJIMY et pourquoi voter pour lui", des jeux de question-reponses, tout le monde a adhéré unanimément à la philosophie de cet acteur de Développement et homme politique du Territoire de BENI et ont promis voter pour lui le dimanche 31 Mars 2019.

Né au mois de la femme, Djimy KASEREKA KAMWITHE Kibambu a  clôturé sa mission par appeller toutes les mamans du Territoire de BENI, à partir de celle rencontrée en train de boire le "mandale" sur place à voter massivement pour lui afin de bien clôturer ce mois dédié à la femme du monde. Il les a offert quelques tasses de "mandale" comme raffraichissement et d'autres cadeaux, choses tellement appreciées.

Lui et sa délégation viennent d'arriver à OICHA en paix, gloire à Dieu.

La lutta continua.

Dépuis quelques jours les candidats sont à l’assaut des électeurs à quelques jours de la fin de la campagne.

La ville et térritoire de Beni connaissent un engouement des candidats aux législatives nationales et provinciales, à quelques jours de la fin de la campagne électorale.

Depuis samedi dernier, des avenues, quartiers, points chauds de la ville sont mouvementés au rythme des messages de candidats qui intensifient des sensibilisations auprès des électeurs afin d’être élus.

De LAMUKA en passant par CACH jusqu’au FCC, chacun veut exhiber son projet de projet de société. Des meetings s’organisent matin, midi et soir.

Toutefois, les agglomérations secouées par l’insécurité suite à la présence des groupes armés, semblent être ignorées par les candidats qui ont du mal à aller sensibiliser dans ces endroits vidés de ses populations.

La ville de Beni aligne une cinquantaine de candidats députés nationaux pour deux sièges et une cinquantaine à la députation provinciale pour deux sièges également.

Entre temps, certains habitants manifesteraient déjà le refus de ne pas aller aux urnes le dimanche prochain car déçu après les élections du 30 décembre dernier où la ville a été écartée des élections suite à l’insécurité et la présence du virus Ebola.

“Comment expliquer qu’on peut aller voter un député pendant que l’on avait pas voté le président?”, s’est demandé un habitant de Kasabinyole en commune Ruwenzori interrogé par 7SUR7.CD.

Même chose pour certains candidats qui se disent démoralisés après l’annulation des élections l’année passée dans leurs entités où les électeurs ne sont plus motivés.

Pour rappel le dimanche 31 mars 2019, les Benitiens seront aux urnes afin d’élire leurs députés nationaux et provinciaux.

La campagne électorale pour les législatives nationales et provinciales lancées depuis vendredi 15 mars à minuit dans les circonscriptions de Beni ville, Beni territoire et la ville de Butembo au Nord-Kivu connait un début timide.

Cette campagne qui va durer deux semaines, selon le chef d’antenne de la CENI dans la ville de Beni, a surtout pour objectif d’aider les différents candidats à rappeler aux électeurs les numéros d’ordre sur les listes électorales.

Cependant, pour ces premiers jours, l’engouement est encore faible. Les candidats des plateformes Cap pour le changement, Front commun pour le Congo et ceux de Lamuka sont encore discrets.

Seules quelques affiches et banderoles sont visibles déjà sur les grandes artères de la ville. Il n’y a pas de carnaval motorisé ni de mégaphones en ville.

Certains candidats contactés par Radio Okapi affirment qu’ils n’ont plus suffisamment de moyens pour battre campagne une seconde fois.

Certains analystes redoutent que le taux de participation soit plutôt faible au vu du déroulement de ces évènements.

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) avait reporté pour le 31 mars les élections dans quatre circonscriptions : Beni territoire, Beni-ville et Butembo ville au Nord-Kivu ainsi que Yumbi dans le Maï Ndombe.

La CENI justifiait ce report par la destruction de son matériel pour le cas de Yumbi et la persistance de l’épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola ainsi que l’insécurité observée dans cette région.

La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) annonce le début, ce vendredi 15 mars, de la campagne électorale pour les élections législatives nationales et provinciales dans les circonscriptions électorales de Beni-ville, Beni-territoire, Butembo (Nord-Kivu) et Yumbi (Maï-Ndombe).

Les candidats avaient obtenu de la part de la CENI la possibilité de mener une nouvelle fois la campagne électorale dans le but de rappeler à leurs électeurs leurs numéros d'ordre sur les listes électorales.

Les élections se tiendront le 31 mars. Plus d'un million d’électeurs sont attendus pour élire 15 députés nationaux et 15 députés provinciaux.

Les élections du 30 décembre n'ont pas eu lieu dans ces entités à cause de la situation sécuritaire et sanitaire jugées préoccupantes par les autorités congolaises. Les deux provinces concernées éliront leurs sénateurs, le samedi 18 mai, et leurs gouverneurs et vice-gouverneurs, le jeudi 30 mai.

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