Déplacements massifs de la population s' observe au lendemain d'une attaque au Nord-Ouest du térritoire Beni dans l'est dela Rdc. ( société civile locale )

🔴Jeudi dernier, les larmes ont de nouveau mouillé les visages des habitants de cette partie du Nord-Kivu dès cette nouvelle leur a été parvenue. Des groupuscules d’hommes, femmes, voire des enfants étaient visibles dans les rues de certains villages.

"Nous sommes allés nous cacher dans les champs", raconte une passante au micro de la DW. "Il y avait des balles qui sifflaient au-dessus de nos têtes. Ils ont tout amené avec eux, ils ont pris les médicaments dans les pharmacies et tous les biens trouvés dans les kiosques."

"Ils ont incendié ma boutique de pièces de rechange", raconte cette autre habitante de Samboko. "Je demande au gouvernement de payer mes biens car les militaires ont pris la fuite et ils ont ainsi abandonné le village entre les mains de l'ennemi. J'ai perdu beaucoup d'argent, ils ont incendié le complexe qui abrite les boutiques, les pièces de rechange et autres. Je ne peux pas tout énumérer ici car je suis abattue."

Mêmes acteurs, revendications différentes
Depuis la revendication de différentes attaques ADF dans la région par l'Etat Islamique, les acteurs de la société civile, mais aussi certains analystes, alertent sur ce lien entre les deux organisations.

Ces habitants dénoncent ce qu’ils qualifient de léthargie des forces de sécurité qui ont eu l’information en temps réel. « Nous avions reçu l’information d’un rescapé l’après-midi. Nous avons alerté les militaires basés à une position proche. Ils n’ont pas pris au sérieux ce qui a été dit. Moi, mon frère a été enlevé dans notre champs qui se trouve prés de leur position… », a expliqué un cultivateur éploré.

Les habitants qui se disent fatigués de l’insécurité préfèrent déménager de leurs maisons car rien n’a changé en dépit des appels des autorités à regagner le milieu. « Nous sommes fatigués des cas d’insécurité chaque jour. Nous ne pouvons plus accéder dans nos champs et pourtant c’est l’activité de base dans notre région ici à Beni.

Dépuis vendredi 24 mai 2019, on assiste à un déplacement massif de la population qui peur d'etre enlever par les rébélles ougandais du groupe ADF qui ont attaqué village chanchan jeudi 23 mai 2019.

Cette situation était consécutive à la récente incursion des présumés rebelles ougandais de Forces Démocratiques et Alliées (ADF) dans la soirée de jeudi 04 octobre 2018 dans l’entité.

D’autres sources contactées pour le fait ,indiquent que l’attaque a également causé des pertes en vie humaine dans le rang de l’armée régulière.Ne sachant pas sur quel saint se vouer,les habitants de la place se déplacent massivement vers Oicha, May-Moya, Eringeti, et Beni-Ville,  et d’autres endroits supposés sécurisés.

Selon une source de la société civile de ce lieu, la plus part des civiles se déplacent, vers la province voisine del'Ituri où une nouvelle incursion des présumés ADF a été signalé à CHANCHAN SAMBOKO le jeudi dernier. Au dernière nouvelle, la plus part des personnes viennent de quittés des villages environnants de chanchan situé en sécteur de Beni-Mbau, groupement de Bambubha-Kisiki.

Donc la colère des habitants est d'autant plus grande qu'il y a eu aut après avoir perdu tout à faveur des hors la loi.  « Ce matin, la population est exaspérée, les visages sont tristes et crispés.

D'autres sources concordante confirment que, les assaillants s' exprimés en langue kiganga et swahili parlés en Afrique de l'est et étaient avec leurs femmes et enfants.

Duran la meme année 2019,  une trentaine de civils ont été enlevés, ce mercredi 3 avril 2019, par les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), dans la localité de Samboko, située à 8 kilomètres à l'ouest de la localité de Mayimoya, près d'Eringeti, en territoire de Beni (Nord-Kivu).

Selon la société civile, le fait s’est déroulé lors d’une attaque au cours de laquelle les rebelles ont pillé de fond en comble boutiques, pharmacies et maisons dans la localité de Samboko.

« Ce jour là c'est vers 6 heures 30 minutes que les ADF ont fait incursion à Samboko-Tchanitchani. Ils ont pillé toutes les pharmacies locales mais aussi les boutiques, ils ont incendié certaines maisons. Et puis ils ont emmené plus de 36 personnes avec eux parmi lesquelles une enseignante de l'école primaire de Samboko. Ils ont pris la direction de la localité de Mamove. Nous appelons l’armée à assiéger cette zone-là », déclare à votre rédaction, Bravo Vukulu, président de la société civile d’Eringeti.

Pour votre information, vendredi 24 mai 2019, les rébélles ougandais des forces démocratique et alliés adf ont vomis une vieille dame de troisième âge capturée à ntombi En groupement BAMBUBA KISIKI celà après incursion à samboko. Pour cette d'âme les adf qui étaient En grand nombre tous musulmans demandaient la direction d'un village vers ERINGETI toujours en territoire de béni. S'agissant delà raison de captivité des otages par les rebels ougandais adf pour elle les adf ont dit que ses personnes parlent sarcler le padis en fin d'etre libérer.

À LA UNE AUSSI CE MÊME GROUPE DES ADF QUI ONT ATTAQUÉ SAMBOKO LE MATIN DU JEUDI À L'OUEST DE MAYIMOYA EN GROUPEMENT BATANGI MBAU ONT PASSÉ NUIT À LA HAUTEUR DE LA COLLINE NTOMBI DANS LE GROUPEMENT BAMBUBA KISIKI TOUJOURS À L'OUEST DELA ROUTE NATIONALE NUMÉRO 4, CE MATIN ILS VIENNENT DE PRENDRE EN OTAGES PLUSIEURS CIVILS QUI ÉTAIENT DANS LEURS CHAMPS DANS CETTE PARTIE DU TERRITOIRE DE BÉNI. PATRIOTE TAIPA JOURNALISTE REPORTER.

L ONG CEIDHP/D veux monter à tous la population de la RDC en particulier et en général le monde que le TERRITOIRE DE BENI et une commune de la ville de BENI n'a plus le contrôle de l'État de la RDC, voici les entités décentralisées qui composent le Territoire de BENI :

nous avons 2 CHEFFERIES : BASHU et WATALINGA, nous avons aussi 2 Secteurs notamment : BENI MBAU et le SECTEUR DE RUENZORI avons constaté ceux qui suivent : à WATALINGA il y avait une accalmie qui s observait pendant au moins quelles que années mais depuis le 31 du mois de mars jusqu'au jour d hui les civils meurt du jour au lendemain et la route MBAU était fermée même le pont SEMULIKI il y a un Cadenas route MBAU KAMANGO, alors sur la route BENI LWANOLI KIKINGI c'est un cas tête les inciviques bas record donc dans cette CHEFFERIE on constate l'absence de l'État., Alors la CHEFFERIE de BASHU :

La partie Est Nord est entourée par Milices et des tueries des enlèvements qui qui sévissent tout le temps et la population de cette partie fuit ver la ville de BUTEMBO et vous verrez tout les chefs ont quitté la chefferie ,depuis que les 2 prêtres ont été kidnappés ici à BUNYUKA les civils vit la peur au ventre donc l'État est en absence dans BASHU, quant au 2 secteurs commençons par BENI MBAU ici 3 groupements notamment BANANDE KAINAMA, BAMBUBA KISIKI ET BATANGI MBAU ces trois groupements beaucoup de localités ou soit les villages sont vidés de leurs populations civiles voir même celles qui habitaient le long de la route nationale numéro 4 à commençant par BOIKENE en ville de BENI vous trouverez une concentration de la population à MBAU et OICHA mais les restent des entités sont devenues de pour la culture de haricots manioc et autres... le groupement de BASWAGHA MADIWE ici c'est les milices mai mai qui faut loi,donc pas contrôle effectif de l'État.

Le Secteur RUENZORI ici après les pourparlers avec plusieurs personnes le RUENZORI toute sa population n'est vie avec beaucoup de peur car celles ci savent qu'à tout moment les milices peuvent leurs surprendre, prenons le groupement BULIKI de KABASHA kalunguta se sont NDC MAI MAI qui s y installe donc vous comprendrez que tout le Territoire de BENI est proie des pilleurs étrangers notamment le RWANDA, OUGANDA et autres qui sont soutenus par la communauté internationale.


🔴Dnas la Chefferie de Bashi : un élément Fardc a tiré à bout portant sur un civil à Bashu, les forces vives exigent justice.

Des sources concordantes dans la zone rapportent qu’un élément des forces armées de la République Démocratique du Congo a de tiré à bout portant sur un habitant à Kisungu village situe en groupement Isale  Bulambo dans la chefferie des Bashu en territoire de Beni (Nord-Kivu)

C’était l’avant midi de ce mercredi 22 mai que monsieur Faustin Musenya d’environs 30 ans révolus a été fusillé par ce militaire incontrôlé alors qu’il faisait ses activités champêtres dans la région.  Il a reçu une balle dans son ventre.

Wangeve Roger président des Forces vives de la chefferie des Bashu qui confirme la nouvelle, renseigne que l’auteur court jusqu’à présent dans la nature. La victime, elle, a été transféré dans une structure médicale pour des soins appropriés.

Cependant, il dénonce ce qu’il qualifie de sabotage de la part des FArdc basées à Isale Bulambo.

Cet acteur de la société civile demande que justice soit faite surtout par l’arrestation du bourreau pour qu’il réponde de son crime.

Une fois appréhendé,  les forces vives souhaitent qu’il soit déféré devant les instances judiciaires pour qu’il réponde de ses actes.

Roger Kakulirahi


🔴Afrique-Santé-asbl appelle la Communauté internationale à agir vite contre la présencedes terroristes de l-Etat Islamique à l-EST DE LA RDC.

QUE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE PAR LE BIAIS DE l'ONU, USA, FRANCE ET AUTRES GRANDES PUISSANCES AGISSENT VITE POUR SECOURIR LA RDC CONTRE Le groupe État islamique qui profite de l'insécurité dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC) pour y installer une base ,CAR SI CE GROUPE S'INSTALLE DANS LES ZONES DE MINERAIS STRATEGIQUES COMME URANIUM, CELA VA COMPROMETTRE SUREMENT LA SECURITE ET LA SURETE INTERNATIONALE ET DE LA REGION DES GRANDS LACS.

EN EFFET,Le groupe État islamique profite de l'insécurité dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) pour y installer une base, déclarent des chefs des renseignements des pays de la région des Grands Lacs (Burundi, Ouganda, RDC et Rwanda).

Ces responsables réunis en Ouganda affirment que les nombreuses milices et la faible présence des forces de défense et de sécurité congolaises ont facilité l'installation de l'EI dans cette partie du pays.

Le groupe État islamique a revendiqué une attaque dans le village de Kamango, dans l'est de la RDC, en avril dernier.

Mais un haut responsable présent à la rencontre d'Ouganda déclare qu'il n'y a aucune preuve de la participation du groupe islamiste à une attaque dans ce village.

Des témoins de l'attaque de Kamango ont mis en cause les Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe armé qui aurait des liens avec l'EI.

Les chefs des services de renseignement des pays de la région élaborent actuellement un plan de riposte contre les groupes rebelles de la zone, dont l'État islamique.

Une faible présence gouvernementale est notée dans l'est de la République démocratique du Congo, où sont présentes de nombreuses milices.

L'EI cherche à instaurer un califat - un État musulman - dans les territoires sous son contrôle. En Afrique, ses responsables ont revendiqué des attentats dans plusieurs pays, notamment au Maghreb (Tunisie, Libye, Maroc...).

🔴Butembo : Tout Savoir Sur L’attaque Des Cliniques Universitaires De L’UCG Ce Vendredi À 14h00.

Posted on 19 avril 2019 Author admin Commentaires fermés sur Butembo : Tout savoir sur l’attaque des cliniques universitaires de l’UCG ce vendredi à 14h00.

Selon nos sources, 3 hommes vêtus en tenue civile et munis de 3 armes à feu ont signé ce forfait. Bilan, un médecin épidémiologique de la nationalité Camerounaise tué about portant en pleine réunion.

Cet agent de l’OMS a été ciblé en pleine par ces miliciens en pleine réunion. Ils ont dépouillé tous les participants des téléphones, argent et plusieurs autres biens. A côté de cette perte a vie humaine, deux personnes ont été blessées par balles et un véhicule du convoi de l’équipe de la riposte calciné. Ces assaillants douteraient de l’existence de l’épidémie, ce qui est à l’origine même de sa recrudescence.

Un agent trouvé sur place témoigne ces maï-maïs leurs avaient dit, que « c’est vous qui nous tuez avec votre maladie en nous disant que nous avons Ebola, c’est faut nous savons déjà qu’Ebola n’existe pas. Nous vous tuerons un à un». C’est tout ce que cet agent de la riposte a pigé des assaillants avant d’entendre le docteur Richard Valéry Mouzokacrier au secours et dire qu’il a été touché.

Le maire adjoint de Butembo consterné par cette nouvelle s’est confié à notre micro « Nous avons été alertés par le personnel de la clinique universitaire qu’il y avait des gens qui se faisaient passé pour des malades qui ont ouvert le feu sur un de médecins de la riposte. Nous avions dépêché nos forces qui sont arrivé un peu en retard, 10 minutes après, malheureusement, ces gens avaient déjà brulé les véhicules de la riposte et tu es un d’expert de l’équipe de la riposte qui est mort sur place. »

Selon Kambale Tsiko, les forces de l’ordre sont à la poursuite de ces boutefeux. En attendant le rapport, un sérieux dispositif de sécurité a été placé à l’UCG afin de répondre au cas de nouvelles attaques. Le chauffeur de la Jeep brûlée, qui observé la scène de l’endroit où il s’est caché lorsqu’il entendu des coups de feu, regrette le comportement inhumain de ces instigateurs de la résistance à la riposte.

« Nous avons déjà prise une série des mesures, je dois vous rappeler que hier le soir, la paroisse universitaire a été attaquée par des assaillants qui se sont identifiés comme des maï-maï, et voici qu’ils ont refait leur forfait aujourd’hui à la clinique. Ils ont même laissé des tracts disant qu’ils sont des maï-maï venus réitérer le message qui aurait été donné par certains candidats à la députation, et que pour eux Ebola n’existe pas, et pour qu’ils ne continue à faire ce sale besogne, il faut que tout le monde qui représente la communauté internationale puisse quitter. » A conclu Kambale Tsiko Patrick, maire adjoint de la ville de Butembo.

Les retombées des premières attaques contre les centres de traitement d’Ebola à Butembo avaient eu comme conséquence la suspension des activités aux CTE de Butembo et de Katwa par le MSF qui s’occupait de la prise en charge médicale des patients et les surélévements des cas confirmés, où plusieurs records avaient été battus en début de ce mois. Si cette attaque crée aussi des telles conséquences, l’épidémie risque d’être plus difficile à gérer que jamais.



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