La Jeunesse de Beni dans son mémo demande la réaction du Chef de l'État Felix Tshisekedi vu la situation sécuritaire en Beni-Ville et térritoire, dans l'Est dela Rdc

🔴 Une  urgence pour la paix de la population de Beni longtemps meurtrie, message transmis à travers un mémo déposé à la mairie ce Samedi 03 Juin.

Selon le même document, depuis le 02 octobre 2014 la région de Beni est devenue un mouroir ou des milliers des civils sont sauvagement et innocemment massacrés sans assistance du Gouvernement Congolais ni les nations unies, les tueries de Beni étouffe aussi le développement socioéconomiques et entraînent un déplacement massifs de la population et à présent les axes routiers Beni-Kasindi, Beni-Eringeti et Beni-Butembo inaccessible et devenus ombre de la Mort, la jeunesse suggère d'évaluer les moyens mis à la disposition des militaires sur les lignes de front et mètre les militaires et leurs dépendants dans des bonnes conditions sociales, impacterait positivement sur leur efficacité sur terrain.

Plus d'une personne s'interroge Ajoute le mémo, Pourquoi l'armée a réussi à mettre la rébellion Eniele,  kamwina-nsapu, bakata Katanga . et pourquoi pas les Présumés Adf à Beni, pourquoi le Gouvernement Congolais n'a jamais décrété un deuil national en mémoire des victimes des massacres de Beni comme ça se fait dans d'autres provinces de la république, Pourquoi le silence de Kinshasa et les nations unies vis à vis des tueries systématique qui n'épargnent pas les enfants et les femmes enceintes ! À qui profitent les tueries de Beni interroge le mémorandum.

La Jeunesse de Beni demande une urgente réaction du Chef de l'État Felix Tshisekedi pour que cette génération sacrifiée née et grandi dans la guerre puisse connaître   la Paix, le dépôt du mémo a été précédée par une manifestation Pacifique qui a réunie des milliers des jeunes qui ont marchés plus de 7 Km soit de Kalongo en commune Beu, lieu des derniers massacres de 11 civils  jusqu'à la Mairie ,un blessé léger (journaliste)a été enregistré.

🔴Les 3 trois journées sans taxis-motos sont arrivées à terme samedi 8 juin 2019 à Beni, dans la province du Nord-Kivu.

Les activités de transport sont restées paralysées durant la troisième journée de deuil décrétée par les taximen-motos, afin de compatir avec les familles de leurs collègues victimes du dernier massacre des présumés rebelles ougandais de Forces Démocratiques Alliées (ADF) à Kimbya et Kalongo, deux cellules de la commune Beu.

Ils insistent pour que les autorités se penchent sur la situation sécuritaire de Beni, soutenant que « trop c’est trop ».

Selon Kyatenga Wambereki, secrétaire général de la plateforme des associations des taximen-motos à Beni, ses pairs peuvent  » commencer à travailler dès dimanche 9 juin 2019″.

🔴AU CHAPITRE DELA LA PAGE SANITAIRE CONTRE MALADIES À VIRUS EBOLA  ; En grève sèche à Mangina, les agents de riposte réclament 5 mois d’arriérés de salaires.

Les agents de santé locaux, provinciaux et nationaux impliqués dans la riposte contre Ebola, sont en grève sèche dès samedi 8 juin 2019 à Mangina, située à près de 30 kms à l’ouest de Beni, au Nord-Kivu (Est de RD Congo).

Le vice-président de la société civile de Mangina indique les protestataires réclament, pour les nationaux, le renouvellement des ordres de mission expirés depuis 3 mois pour certains. Les locaux et les provinciaux réclament le paiement des arriérés de 3 mois pour le projet de développement du système de santé financé par la Banque mondiale (PDSS) et de 2 mois pour l’OMS.

« C’est avec amertume que nous venons d’apprendre, encore une fois, l’arrêt des activités de la riposte contre Ebola à Mangina dès ce samedi », a déploré Freddy Mbayahi.

 » Nous constatons que c’est la deuxième fois que ces derniers déclenchent un mouvement de grève, sous le silence des autorités compétentes. Ce qui peut anéantir les différents efforts faits jusqu’à présent pour l’éradication complète de cette maladie dangereuse et mortelle », a-t-il regretté.

Ainsi, Freddy Mbayahi appelle à une intervention urgente des autorités concernées, afin de trouver une solution durable à cette situation.


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