La persistance de maladie à Virus Ebola en Beni ; Avec des chiffres qui grossissent jour après jour ( D'APRÈS LES NOTABLES )

🔴Beni République Démocratique du Congo : la persistance d'Ebola, les notables prennent position.

 "Nous avons compris attend que notables, qu'il faut que nous puissions nous appropriés les actions de la riposte contre la maladie à Virus Ebola afin que nous puissions l'endiguer ensemble avec le gouvernement et ses partenaires.

La notabilité ne doit pas rester indifférente face à l'appui aux actions que mènent les équipes de riposte contre l'épidémie," déclare Maître Omar Kavota le coordonnateur du comité d'accompagnement de la riposte «CAR" un programme lancé officiellement ce lundi 17 juin qui réunit les leaders religieux, politiques et Leaders d'opinions.

Il poursuit que le Cap de 2000 cas d'Ebola y a été franchi voir même dépasser, la notabilité ne doit pas rester neutre vis à vis des actes des violences contre les équipes de la riposte, nous risquons de rester longtemps avec cette dangereuse maladie,’’ a-t-il indiqué.

Selon lui entant que notables ils vont veuillez à ce qu'ils puissent combattre l'intox ,gérer certaines frustrations qui ont pour conséquence compliqués la tâche des équipes de la riposte, c'est pourquoi ils mettent en place une structure dénommée Comité d'accompagnement de la riposte CAR en sigle, pour qu'elle sert de pont ou canon pour orienter les recommandations, plaintes et revendications de la population aux concernés, ce comité est disponible pour recevoir et orienté aux répondants et faire en sorte les inquiétudes de la population parviennent aux autorités à titré, et cela fera de cette lutte une réussite avec le concours de tout le monde.

 Pour les notables que nous sommes cette façon de faire va prévenir les résistances multiformes de la communauté vis à vis des équipes qui combattent l'épidémie d'Ebola, car Ebola est une réalité c'est ne plus le moment de s'interroger sur son origine ou quoique ce soit a conclu maître Omar Kavota.

Face à Ebola, la population gronde, les ONG s’inquiètent
Enquête Au Nord-Kivu, l’épidémie, « hors de contrôle » selon Médecins sans frontières, a déjà 2000 lorts.

La multiplication des foyers épidémiques, l’absence de suivi des personnes à risque et la persistance de violences contre les soignants préoccupent particulièrement.

Donc l’épidémie reste « hors de contrôle », indique le coordonnateur d’urgence de Médecins sans frontières (MSF) pour le Nord-Kivu, John Johnson. Surtout, rien ne laisse penser que les choses pourraient s’améliorer à court terme. Son expansion géographique est préoccupante, l’activité des dizaines de groupes armés actifs dans la province génère des déplacements de population qui compliquent le suivi des cas suspects et les signes que les Congolais n’ont plus confiance dans les équipes de soignants sont de plus en plus tangibles.

Les lieux ont été construits avec l’espoir qu’ils ne serviraient jamais. Autour de la salle d’hospitalisation, une petite cour est délimitée par un grillage orange. On y trouve des douches de solution chlorée et une maisonnette en retrait : la morgue. Pour le moment, aucun « cas confirmé » n’a été admis au centre de traitement d’Ebola de Goma (Nord-Kivu).

Beni, 17 juin 2019 (ACP).- Le Maire adjoint de la ville de Beni, Modeste Bwanakawa, a annoncé lundi aux agents et fonctionnaires de l’Etat, une menace de la maladie à virus Ebola qui se serait déjà déclarée dans les maquis tenus par les miliciens Mai Mai dans les périphéries de la ville de Beni.

L’autorité urbaine a avancé un bilan de douze cas (12) cas confirmée et déjà admis au Centre de traitement de la maladie à virus Ebola, CTE/Beni depuis deux jours en plus de deux autres cas probables qui se seraient volatilisés dans la nature en pleine ville rappelant qu’une  fouille systématique a été déclenchée pour retrouver les fugitifs.

Le Maire Bakwanamaha a cependant exprimé son inquiétude de constater  que la majorité des miliciens admis au CTE/Beni sont, la plus part venus dans de la ville voisine de Butembo, une  petite partie étant constituée des originaires de la zone de santé de Mabalako.

Selon le Numero 2 de la ville de Beni, les chefs miliciens ayant eux-mêmes pris l’initiative d’alerter les équipes de riposte par le biais des Autorités urbaines de Beni, se disent prêts à contribuer pour l’éradication de cette maladie meurtrière laquelle, en date de ce  17 juin, a tué 1430 victimes avec plus de 722 cas confirmés ayant été admis et soignés au CTE/Beni.

Pour lui, le fait que les miliciens soient atteints dans leurs maquis risque de ramener le compteur à zéro dans une ville de Beni où l’on était pourtant au point d’éradiquer la maladie à virus Ebola.

L’on soupçonne que les Mai Mai touchés  par Ebola étant parmi ceux qui auraient participé activement aux différentes attaques contre les CTE de Katwa et l’UCG/Butembo d’où ils auraient emporté des matelas et plusieurs autres effets utilisés par les malades internés.
Ebola continue à faire des ravages en République démocratique du Congo. Pour faire face aux besoins de financement, la Banque mondiale a eu recours à une assurance contre les pandémies. Ce nouveau dispositif est-il à la hauteur de ses promesses ?

Ce nouvel outil, le Pandemic Emergency Financing Facility, mécanisme de financement d’urgence en cas de pandémie, a été imaginé après la terrible pandémie d’Ebola de 2014 et 2015. Il y a eu alors plus de 11 000 morts en Afrique de l’Ouest en partie parce que les institutions ont mis trop de temps à mobiliser les fonds nécessaires pour intervenir rapidement.

Pour éviter ces lenteurs, la banque a alors décidé de faire appel aux capitaux privés pour mettre au point une sorte d’assurance qu’on peut déclencher quasiment en temps réel. Sur les marchés, le succès a été immédiat : 95 millions de dollars ont été levés pour couvrir le risque des pandémies les plus graves comme Ebola.

Depuis qu’Ebola sévit en République Démocratique du Congo, quel montant l’assurance a-t-elle versé à ce pays ?

Dix millions de dollars ont été versés en février et une deuxième tranche du même montant a été débloquée il y a quelques jours. On est donc très loin des montants levés sur les marchés. 

Pourtant le programme stipule bien qu’en cas de pandémie, les fonds prêtés sont distribués aux pays pauvres dans le besoin et donc définitivement perdus pour les investisseurs. Mais le diable se cache dans les détails, c’est particulièrement vrai dans le domaine de l’assurance qui prévoit toujours des conditions très précises pour être activée. Dans ce cas, il faut au moins 250 morts. Un cap franchi depuis longtemps puisqu’on est déjà à plus de 2000 cas mortels en RDC.

En revanche l’autre condition - que la pandémie franchisse les frontières - est bien un péril, mais pas encore une réalité. Les investisseurs croisent donc les doigts en espérant qu’Ebola n’atteigne pas l’Ouganda. 

Pour le moment, ces obligations pandémies leur rapportent surtout de juteux rendements de 11 %.

Et qui verse ces intérêts ?

L’Allemagne et le Japon, au titre de l’aide au développement. Ces deux pays ont aussi fait un don de plusieurs dizaines de millions de dollars à ce mécanisme d’urgence pandémie, une cagnotte mobilisable quand les conditions fixées par l’assurance ne sont pas remplies. 

C’est donc précisément une partie de leur don qui est actuellement transférée à la RDC. De quoi faire hurler toutes les ONG actives dans le développement. On est loin du dispositif gagnant-gagnant décrit à sa création, pour le moment les pertes de ces obligations pandémies sont portées par les États tandis que les profits bénéficient aux groupes privés.

Quel est l’avenir de ces « obligations pandémies » ?

Elles arrivent à maturité en juillet 2020, cela veut dire qu’elles seront remboursées à cette date et la banque mondiale prévoit déjà d’en émettre de nouvelles sur le marché. Les négociations ont commencé avec les réassureurs. La banque mondiale s’inspire de ce qui existe déjà dans le domaine de l’assurance catastrophe, avec les cat bonds, les obligations catastrophes. 

Et avec son nouveau président, l’américain David Malpass, un soutien de Donald Trump qui trouve l’institution trop dépensière, il y a fort à parier que la financiarisation de l’assistance prenne un peu plus le pas sur la solidarité entre les États.

En bref,

Le marché du bitcoin renoue avec l’envolée des prix

Depuis le début du mois d’avril, la monnaie électronique a regagné 75 % de sa valeur. 

La hausse aurait été déclenchée par les achats des baleines, c’est comme ça qu’on appelle les traders qui ont fait fortune avec des achats massifs de bitcoin, ce qui tend à faire grimper les cours. Le bitcoin vaut actuellement 6200 euros, soit 7 400 dollars. 

C’est encore loin de son sommet historique à 20 000 dollars.

Donald Trump pourrait rencontrer XI Jinping lors du prochain G20 qui aura lieu en juin au Japon.

Cette information donnée hier par le principal conseiller économique de la maison blanche indique qu’il y a encore un espoir et une volonté de parvenir à un accord commercial entre les deux pays. Ce matin les marchés asiatiques sont en petite forme, Shanghai a baissé de 1 %.








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