Kamango-Beni-Kibele ; trois personnes sont tués par les ADF dans la chefferie de Watalinga à l'est de la Rdc
🔴En térritoire de Beni-Kibele: 3 corps mutilés retrouvés après une attaque ADF dans le village Kamagho.
Parmis les victimes des tueries de watalinga aujourd'hui, un papa a été décapité dévant son épouse dans son champ au village Pete. Et certains rescapés sont déjà à nobili.
Parmis les victimes des tueries de watalinga aujourd'hui, un papa a été décapité dévant son épouse dans son champ au village Pete. Et certains rescapés sont déjà à nobili.
Incursion des ADF dans le village Kamogho, localité Kibele, Chefferie Watalinga l’après midi de ce jeudi 19 juillet. Bilan provisoire 3 corps mutilés sans vie jusque là retrouvés.
Les victimes sont des civils qui sont partis de Nobili (lieu de leur refuge) ce matin pour chercher à manger pour leurs familles dans leurs champs à Kamogho, environ 10 km de Nobili à l’ouest de la chefferie, d’où ils ont fui depuis début avril 2019.
Ce Nième massacre intervient après que les ADF venaient de lancer un avertissement dans un tract où ils annonçaient attaquer Nobili dans les jours qui viennent.
De son côté, la société civile indique que toute la zone se vide de ses habitants qui craignent pour leur sécurité. Elle invite l’armée et la MONUSCO à intensifier leurs opérations afin de mettre fin à l’activisme de ces groupes armés dans cette partie de la RDC. Elle invite aussi la population de la chefferie de Watalinga à se désolidariser de ces rebelles.
Certains habitants dela chefferie de Watalinga interrogés pour la cause pensent que ;
Nous sommes profondement touché par l'insécurité qui semble reprendre le poil de la bête en chefferie de watalinga en territoire de Beni à plus ou moin 90kilomètres au Nord-Est de Beni avec le recent passage des hommes assimilés aux ADF dans les villages à l'entrée nord de la chefferie de watalinga dans la nuit de jeudi à vendredi avec le massacre cruel remarqué de 3 civils innoncents.
Avec cette nouvelle attaque
Il est impérieux de s'interroger ici sur les mécanismes usés par l'ennemi supposé plutôt actif le long de la route MBAU-KAMANGO, fermée de trafic pour afin franchir la compagnie Fardc et la base de la MONUSCO basées au pont SEMULIKI et arriver à nuire aux civils innoncents dans les agglomerations à watalinga?
Une probable information judiciaire autour de bruits de bottes qui se sont faits entendre la veille et le dimanche de scrutins à watalinga ayant perturberle bon deroulement des éléctions et provoquer le mouvement de population dans la zone serait beaucoup necessaire. Donc cette information judiciaire permettrait d'éclairer les zones d'ombres qui entoureraient ces bruits de bottes remarqués par la population une semaine avant ce desastre d'où la necessité de reécouter les officiels congolais, la MONUSCO et la population dans la zone afin d'obtenir d'eux non seulement des éxplications sur les traces de provenance et de retranchement des assaillants,mais aussi les mesures sécuritaires arrêtées à dater de bruits de bottes ressentis la veille de scrutins le 30 et le 31MARS.
Afin de parrer à toute éventualité.Il est aujoudhui triste de voir notre chefferie de WATALINGA enclavée depuis des années revivre les affres similaires qu'elle a vécus dans le passé récent avec l'éxécution sommaire de ses coutumie, et administrés, le refuge avec calveraire de KYANGWALI en ouganda, le nauffrage du lac EDOUARD et le dernier carnage de civils du certain 07 Octobre sur le troçon MBAU-KAMANGO avec la persécution de plus ou moin 26 compatriotes, car ce sont là des évenements de triste memoire,que nous ne souhaiterions que se reproduisent.
Il est imperieux,vous qui nous lisez ici d'étendre la présente sonnette d'alarme aux plus hautes instances de prise de décision,pour amener l'institution président de la République à faire de problèmes de BENI l'une des priorités et de pouvoir tenir à ses promesses tenues pendant la campagne,celles de délocaliser pour un temps le camp kokolo à Beni pour deboulonner le cercle vicieux des ADF/NALU, et autres groupes armés qui pillulent et ne cesse d'endeuiller la population de Beni et à l'Etat et aux hummanitaires de vite intervenir pour rearmer les menages déplacés de villages nord cantonnés à Nobili afin de ne pas traveeser vers Ouganda pour ne plus y revivre le pire,comme nous renseigne l'histoire.
David Nyamayabo a indiqué que la population continue à vider les villages périphériques, cible des attaques des Adf depuis quelques jours.Certains habitants dela chefferie de Watalinga interrogés pour la cause pensent que ;
Nous sommes profondement touché par l'insécurité qui semble reprendre le poil de la bête en chefferie de watalinga en territoire de Beni à plus ou moin 90kilomètres au Nord-Est de Beni avec le recent passage des hommes assimilés aux ADF dans les villages à l'entrée nord de la chefferie de watalinga dans la nuit de jeudi à vendredi avec le massacre cruel remarqué de 3 civils innoncents.
Avec cette nouvelle attaque
Il est impérieux de s'interroger ici sur les mécanismes usés par l'ennemi supposé plutôt actif le long de la route MBAU-KAMANGO, fermée de trafic pour afin franchir la compagnie Fardc et la base de la MONUSCO basées au pont SEMULIKI et arriver à nuire aux civils innoncents dans les agglomerations à watalinga?
Une probable information judiciaire autour de bruits de bottes qui se sont faits entendre la veille et le dimanche de scrutins à watalinga ayant perturberle bon deroulement des éléctions et provoquer le mouvement de population dans la zone serait beaucoup necessaire. Donc cette information judiciaire permettrait d'éclairer les zones d'ombres qui entoureraient ces bruits de bottes remarqués par la population une semaine avant ce desastre d'où la necessité de reécouter les officiels congolais, la MONUSCO et la population dans la zone afin d'obtenir d'eux non seulement des éxplications sur les traces de provenance et de retranchement des assaillants,mais aussi les mesures sécuritaires arrêtées à dater de bruits de bottes ressentis la veille de scrutins le 30 et le 31MARS.
Afin de parrer à toute éventualité.Il est aujoudhui triste de voir notre chefferie de WATALINGA enclavée depuis des années revivre les affres similaires qu'elle a vécus dans le passé récent avec l'éxécution sommaire de ses coutumie, et administrés, le refuge avec calveraire de KYANGWALI en ouganda, le nauffrage du lac EDOUARD et le dernier carnage de civils du certain 07 Octobre sur le troçon MBAU-KAMANGO avec la persécution de plus ou moin 26 compatriotes, car ce sont là des évenements de triste memoire,que nous ne souhaiterions que se reproduisent.
Il est imperieux,vous qui nous lisez ici d'étendre la présente sonnette d'alarme aux plus hautes instances de prise de décision,pour amener l'institution président de la République à faire de problèmes de BENI l'une des priorités et de pouvoir tenir à ses promesses tenues pendant la campagne,celles de délocaliser pour un temps le camp kokolo à Beni pour deboulonner le cercle vicieux des ADF/NALU, et autres groupes armés qui pillulent et ne cesse d'endeuiller la population de Beni et à l'Etat et aux hummanitaires de vite intervenir pour rearmer les menages déplacés de villages nord cantonnés à Nobili afin de ne pas traveeser vers Ouganda pour ne plus y revivre le pire,comme nous renseigne l'histoire.
Il a également affirmé que les grandes agglomérations comme Nobili,Kamango craignent pour leur sécurité après une attaque Adf la semaine dernière au village kyanimbe qui a coûté la vie a une dizaine des civils et occasionné plusieurs disparus.
Il fait remarquer les risques d’apparition des maladies hydriques car les deplacés vivent dans des mauvaises conditions.
« Sans eau ni nourriture, ces deplacés vivent dans des mauvaises conditions à Nobili et Kamango.Etant donné que nous sommes dans une zone endémique, nous craignons les maladies hydriques et même Ebola qui sévit déjà dans la province « , indique David Nyamayabo.
Ainsi, il a lancé un appel au gouvernement et aux partenaires pour une assistance.
Au même moment, il a invité le gouvernement congolais à restaurer la paix dans leur chefferie pour que les habitants vaquent librément à leurs activités.
La société civile craint de voir cette chefferie restée inhabitée comme plusieurs autres agglomérations du territoire de Beni.
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