5 assaillants ont été tués pendant la riposte de l'armée à Lubano térritoire de Beni. Et L’un d’entre eux a été brûlé vif par la population vers l'est dela Rdc.

5 assaillants tués dans une nouvelle attaque à Lubano un village situé en térritoire de Beni, dans le sécteur de Rwenzorie.

Incursion ce dimanche 23 février 2020 des rebelles de l’ADF à LUBANO. C’est un village situé en localité KIKINGI du groupement BOLEMA en secteur RUWENZORI, territoire de Beni.

Joint au téléphone par notre correspondant à Beni, le Président de la société civile, axe Kikingi-Kikura, dit saluer la collaboration entre la population et les forces armées de la RDC. Tout en citant des sources militaires, il déplore toutefois qu’un soldat soit blessé.

Pour rappel, les rebelles de l’ADF avaient signé une incursion meurtrière dans la même localité en novembre 2013. Le bilan était lourd, une vingtaine de civils avaient été égorgés dans leurs champs de cacaoyers.

Les éleveurs de la région dénoncent de vive voix cette recrudescence de l’insécurité, car selon eux, la situation sécuritaire devient de plus en plus volatile dans la zone.

Ce regain d’insécurité inquiète au plus haut degré la société civile locale qui dénonce l’absence des services de sécurité.

D’après les forces vives de la contrée, il n’y a aucun Policier, ni militaire à Kalunguta.

Pour ce faire, la société civile demande aux autorités politiques, administratives et militaires de pendre leur responsabilité en main en déployant les militaires et policiers pour la sécurisation de la passible population.

En térritoire de Beni : « navrée », la société civile du secteur Ruwenzori dénonce la recrudescence des tueries.

Dans une interview accordée à la presse, lundi 9 septembre 2019, la société civile du secteur Ruwenzori, qui se dit « navrée », dénonce la recrudescence des tueries et l’insécurité caractérisée par des assassinats aux armes blanches ou à feu.

« La situation sécuritaire est en train de se détériorer parce que les gens continuent d’être tués. Depuis le 5 août 2019 jusqu’à nos jours, nous avons perdu 4 personnes. Les unes tuées par armes blanches ou à feu et les autres mortes après avoir été passées à tabac », regrette Wilson Batoleni, président de la société civile, noyau du secteur Ruwenzori.

Cette déclaration des Forces vives intervient 24 heures après la découverte d’un corps sans vie d’un homme d’environ 40 ans d’âge, dimanche 8 septembre 2019 à Kyanika-Kyavithumbi, dans le groupement Bolema.

Une autre personne a été passée à tabac lundi 9 septembre 2019 à Mukando, sur le tronçon routier Nzenga-Thaliha. La victime a été acheminée aux soins médicaux dans une structure hospitalière à Mukando.

Face à cette recrudescence de l’insécurité, la société civile appelle la population à la vigilance.



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