Les éléments des forces négatives d’Allied Democratic Forces (ADF) ont tué coup sur coup, 13 civils au village halungupa dans la nuit du lundi au mardi, en térritoire de Beni, vers l'est dela Rep dém du Congo

L'effait malheureux se sont passé dans térritoire de Beni en proie des massacres  en cours dépuis 2014 : Donc au moins 13 morts dans une attaque des rebelles ADF à Halungupa.

Les rebelles des forces démocratiques alliées ADF, ont signé une incursion au village Halungupa, situé dans la localité Kilya en groupement Malambo secteur de Ruwenzori territoire de Beni la nuit du lundi à ce mardi 18 février 2020.

D’après la société civile du secteur Rwenzori, ces rebelles ont surgi dans cette partie aux environs de 20 heures

Roger Masimengo, rapporteur de cette structure citoyenne avance un bilan lourd et provisoire de plus de 15 civils tués à côté des blessés et des biens pillés un bilan encore provisoire selon la même source.

La fouille continue et le bilan pourrait s’alourdir de temps à autre poursuit-il.

“C’est à Halungupa-Manzalao, ces rebelles ont fait incursion dans cette partie aux environs de 20heures. Nous venons de trouver d’abord 13 corps et la fouille continue. Le bilan risque de s’alourdir de temps à autres.

Les victimes ont été tuées par armes blanches et à feu,” explique Roger Masimengo rapporter de la société civile.

D’autres sources locales parlent déjà d’une dizaine des morts.

Pour le moment c’est une tristesses et désolation, qui se lit sur les visage des habitants de la place qui commence quitter de leur cachette où ils ont passé nuit suit aux crépitements des balles par des inciviques qui ont investi cette entité.

Notons que c’est pour la première fois que les rebelles ADF, opèrent dans cette partie du secteur Rwenzori.

La localité de Halungupa est parmi les entités qui ravitaille la ville de Beni en produits champêtres.

Plusieurs personnes déplacées d’Oïcha et d’autres milieux de l’ouest du territoire de Beni et la chefferie de Watalinga avaient déjà pris refuge pour cette contrée qui était jusque-là juger sécurisée.

L’attaque intervient pendant que la présidente de l’Assemblée nationale séjourne encore dans la région de Beni, pour une visite dite de compassion.

Selon la société civile de Kisima, agglomération voisine du lieu de drame contactée par koonexion.net, hormis ces civils massacrés, le centre de santé de Halungupa a été saccagé, plusieurs produits pharmaceutiques ont été emportés.

« Jusqu’à présent nous venons de denombrer 13 civils tués et un militaire de l’armée tombé sur le champ d’honneur. La fouille continue l’ennemi est venu vers les heures vespérales, il y a aussi plusieurs personnes disparues », revelle les forces vives.

Les habitants de cette contré d'un déplacement massif de la population à Halungupa après le massacre.

Depuis ce matin, l’on observe un déplacement massif de la population à Halungupa, localité de kilya, groupement Malambo, secteur de Ruwenzori. Plusieurs ménages abandonnent leurs habitations.

La société civile qui livre la nouvelle estime à plus de 90% les habitants qui auraient déjà quitté le milieu pour d’autres zones supposées sécurisées.

Ces derniers se dirigent vers Bulongo, Lume, Mutwanga, Kasindi-Lubirih, Beni-ville et d’autres entités.

Un déplacement de la population a été observé la journée de ce mardi où les habitants ont vidé l'agglomération, les uns se sont concentrés dans les villes de Beni, Butembo et les autres à Bulongo, Kasindi et Mutwanga.

Au téléphone de Laprunellerdc.info, Roger Masimengo, appelle au renforcement des effectifs des éléments de l’ordre dans cette partie du territoire de Beni pour sécuriser la population.

Nombreux de ces déplacés en provenance de Halungupa, ont été visible la journée de ce mardi au centre-ville de Beni. Plusieurs parmi eux, n’ont pas d’abri ni de la nourriture.

C'est, à la suite de l’incursion des rebelles ADF la nuit du lundi au mardi 18 février 2020. L’on signale qu’une dizaine de personnes ont été massacrées et plusieurs autres portées-disparues.

Selon Roger Masimengo, président de la société civile de la localité de Kilya, joint par la rédaction de Koonexion.net, ces habitants se dirigent vers kilya, Kisima et Bulongo, toujours dans le secteur de Ruwenzori.

La même source ajoute que la fouille continue afin de retrouver d’autres personnes tuées et portées-disparues.

L’attaque qui a ciblé la localité de Halungupa 30 km de Beni ville a fait des dégâts énorme.

En plus des personnes tuées et kidnappé, le centre de santé de cette localité a été systématiquement pillé.

Le rescapé interrogé sur place à Halungupa témoigne avoir vu des femmes et des enfants dans le rang des assaillants présumés ADF.

La localité n’est géré que par 17 militaires, alors que les assaillants étaient venus en nombre.

Certains sont venus comme acheteurs de cacao la journée pour espionnage. C’est dans la soirée que nous avons découvert leur vrai face ajoute ce rescapé qui s’est sauvé de justesse.

Saddam Patanguli

L'incursion des soient disant nalu au village de Halungupa à environ 24km à l'Est de la ville de Beni sur la route Beni kasindi,17/2/20.

Voici maintenant le vrai bilan provisoire : 9 morts; dont:

- 1élément fardc;
- 1agent anr Pikisipi,
- un motard bobo musimbi,
- 1 couple Rigobert tué puis calciné,
- 1 couple uria pasteur ceca-20,
- kambale mwirakwiraghuwe,
- paluku balola Jérôme,
- 11 maisons incendiées,
- 4 motos incendiées,
- une pharmacie, quelques boutiques ainsi que le centre de santé Halungupa totalement pillés,
- Plusieurs disparus. SMS/AC

Pendant ce temp, la plus part des personnes constante la hausse du prix de transport à Halungupa après le nouveau massacre.

Les habitants de Halungupa qui se dirigent vers d’autres localités à la suite du massacre enregistré hier dans la nuit, s’insurgent contre la hausse du prix de transport de Halungupa-Beni.

À en croire quelques-uns de ces déplacés rencontrés au rond-point du 30 juin, à Beni, ce mardi 18 février 2020, le coût d’une course de taxi-moto est passé de 2000 à 5 000 FC. Ils sollicitent l’implication des autorités compétentes pour le retour en application du tarif officiel.

Le bilan provisoire de ce massacre perpétré par les rebelles ADF fait état de plus de 10 morts et plusieurs portés-disparus.

Est de la RDC: le prix à payer pour la paix.

L'Est de la République démocratique du Congo est toujours foyer de violences de groupes armés. Alors que le président Félix Tshisekedi y déploie toute son énergie, avec une certaines réussite, il est temps de prendre le terreau par les cornes et en y adoptant des mesures concrètes, notamment sur le plan judiciaire, afin de ramener la paix.

Un grand nombre d’enlèvements au cours de ces dernières années sont imputables aux combattants ougandais et congolais des ADF, essentiellement à des fins de recrutement et de transport de marchandises a expliqué Human Rights Watch.

Des civils détenus un temps dans des camps ADF ont relaté à Human Rights Watch qu’ils avaient vu des morts par crucifixion, des exécutions de ceux qui tentaient de s’échapper, et des personnes dont la bouche avait été cousue parce qu’ils auraient menti à leurs ravisseurs.

En janvier 2014, l’armée congolaise a officiellement entamé une nouvelle phase d’opérations militaires contre les forces ADF avec un appui logistique limité de la Mission de l'Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RD Congo, la MONUSCO, et sa « Brigade d’intervention », force de 3000 membres créée mi-2013 pour mener des opérations militaires contre les groupes armés.

La série de massacres a débuté plusieurs mois après que l’armée congolaise ait délogé les rebelles ADF de leurs principales bases.

Mêmes acteurs, revendications différentes.

Depuis la revendication de différentes attaques ADF dans la région par l'Etat Islamique, les acteurs de la société civile, mais aussi certains analystes, alertent sur ce lien entre les deux organisations.
Mais à ce jour, il semble que l'AFD ne bénéficie d'aucun soutien direct, logistique ou financier, de la part de l'Etat islamique.

Teddy Kataliko, un des acteurs majeurs de la société civile de cette région, s'étonne du réveil tardif de la communauté internationale sur la présence terroriste en territoire de Beni.

Mais pour lui, il n'y a pas d'éléments nouveaux dans ce qui se passe à Beni car les acteurs restent les mêmes et seules les revendications changent :

"C'est juste le mot musulman qui apparaît davantage pour montrer que c'est l'Etat islamique. Mais en soi c'est le même mode opératoire, les mêmes hommes qui ont simplement compris qu'il faut changer d'idéologie.

Vous savez que la région est chrétienne mais on veut instaurer autour effectivement de cette zone, et donc dans la région des Grands lacs, cet Etat islamique pour essayer de promouvoir leurs idéaux".

Face à cette situation, de hauts responsables de l’ONU et de l’armée congolaise ont affirmé à maintes reprises que les attaques dans le territoire de Beni étaient menées par les Allied Democratic Forces (ADF, Alliance des Forces démocratiques), groupe rebelle islamiste dirigé par des ougandais et présent dans la région depuis 1996.

Il faudrait au gouvernement congolais et aux casques bleus de l’ONU une nouvelle stratégie pour protéger les civils à Beni et faire répondre de leurs actes les responsables de ces attaques », a déclaré Ida Sawyer, chercheuse senior sur l’Afrique à Human Rights Watch. « Après deux ans de massacres sauvages, de nombreux habitants de Beni vivent dans la crainte de la prochaine attaque et ont presque perdu tout espoir que quiconque puisse mettre fin au carnage. »

Depuis des années, des mouvements de jeunes et organisations de défense des droits humains congolais organisent des manifestations pacifiques pour demander que cessent les tueries à Beni, et exiger un engagement international pour améliorer la sécurité et traduire les responsables en justice.

Les massacres fréquents perpétrés dans le territoire de Beni ont attisé la colère du peuple à l’égard du gouvernement congolais pour avoir échoué à arrêter les massacres.

Cette colère a inspiré de nombreuses journées « villes mortes », marches pacifiques et certains incidents de « justice populaire.
»

Les manifestations contre les massacres de Beni ont, dans certains cas, été liées à celles d'aujourd'hui.

« La RD Congo à présent empêtrée dans une crise politique plus large, le gouvernement est moins en mesure d’empêcher les attaques de Beni de prendre des proportions incontrôlables », a déclaré Ida Sawyer.

« Une attention internationale soutenue de haut niveau est désormais indispensable pour aider à mettre fin aux massacres à Beni et pour identifier et traduire devant la justice les responsables de ces attaques. »


Les informations additionnelles reçu par Adirodu-Roger, via News-Letters dans sa boîte E-mail



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