Mangina-Biakato ; ONG-La CRDH demande aux autorités de faire preuve de collaboration avec la population du térritoire de Mambasa en Rép dém du Congo

🔴Mambasa : Existence des barrières de tracasserie sur l’axe Biakato-Mangina, la CRDH monte au créneau

La CRDH, une organisation de défense de droits humains operant dans le territoire de Mambasa en Ituri denonce l’existence de barrières de tracasseries érigées sur l’axe Biakato-Mangina.

Selon cette organisation, c’est depuis la fin du mois de janvier 2020 que les populations de cette partie du territoire de Mambasa se déplacent vers les zones jugées sécurisées, fuyant l’insecurité dans leurs localités d’origine.

Cette structure précise que ces deplacés ont été victimes de plusieurs violations de leurs droits pendant leur déplacements.

 » Pendant que l’autorité militaire rassure à la population qu’il n’y a plus rien à craindre, et que la population peut maintenant rentrer dans l’agglomération de BIAKATO et ses environs, l’on assiste aujourd’hui à des tracasseries notoires de la population qui, du reste, veut rentrer au bercail, » écrit cette organisation.

La CRDH rappelle que BIAKATO est séparé de MANGINA de 40kms, mais on y rencontre ces jours 6 barrière qui tracassent la population.

 » Achaque barrière, toute personne à moto est obligée de payer un minimum de 1000 Fc à 2 500FC sous prétexte de payement des rapports, » indique cette organisation.

 » Nous avons reçu plusieurs plaintes des personnes victimes de ce comportement qui ternit l’image de notre cher Pays la RDC. La Convention pour le Respect des Droits Humains Crdh dénonce ces actes de concussion posés par les agents commis aux différentes barrières érigées à Biakato mayi, Bela, Nziapanda, Makiki, Mangina…, » poursuit cette organisation.

La CRDH demande aux autorités de faire preuve de collaboration longtemps demandée avec la population en facilitant son deplacement libre.

La CRDH demande également que les enquêtes soient menées afin que des sanctions judiciaires soient prises à l’encontre de ces personnes qui utilisent ces barrières pour s’enrichir sans cause.

*En Territoire de Mambasa, Province de l'ituri/RDC.*

Le commandant du secteur opérationnel grand Nord *SOKOLA 1* a rassuré  la population de la chefferie de BABILA BA BOMBI de la détermination des FARDC dans la poursuite des rebelles ADF et de la totale pacification de la zone meurtrie a indiqué le *Général de Brigade Jacques NDULA* lundi dernier.

Par ailleurs, c'est depuis la fin du moi de Janvier 2020 que les populations de cette partie du territoire ont commencé à se déplacer dans les zones jugées sécuriser, ils ont été victime des plusieurs violations pendant leurs déplacements:

 *1* . Pour assurer le transport, une distance où  un taxi moto demandais dans le temps 20 000FC, les taximen faisaient payer *25 à 35$* par personne; la plus par des déplacés  venant de BIAKATO pour le centre de MAMBASA passaient plus de  de trois jours des marches faute des moyens.

 *2* . Que malheureusement à ces jours-ci, pendant que l'autorité militaire rassure à la population qu'il y a plus rien en craindre,  et que la population peut maintenant rentrer dans l'agglomération de BIAKATO et ses environs, l'on assiste aujourd'hui à des tracasseries notoires de la population motorisée qui du reste veullent rentrer de la qu'elle était en fuite et ou pendant le ravitaillement en nourriture de leurs familles.

Pour rappel, dès *BIAKATO à MANGINA* il y a que *40km* , mais on y rencontre ces jours *6 barrière* aux quelles le population est tracassée;  à chaque barrière, toute personne à moto est obligée de payer un minimum de *1000 à 2 500FC* sous prétexte de payement des *rapports* .

Nous avons reçu plusieurs plaintes des personnes victimes de ce comportement qui terni l'image de notre cher Pays la RDC. La *CONVENTION  POUR LE RESPECT DES HUMAINS CRDH*  dénonce ces actes de concussion posés  par les agents commis aux différentes barrières érigées à *Biakato mayi, Bela, Nziapanda, Makiki, Mangina...*

Notons que les plus part des barrières y sont érigées en distance de *3km* de l'une à l'autre.

La *CRDH* demande aux autorités de faire preuve de la collaboratio longtemps demandée avec la population en lessant celle-ci de rejoindre leurs milieux pesiblement.

La *CRDH* demande également que les enquêtes soient menées afin que  des saxtions judiciaires soient faites à ces personnes qui utilisent ces barrières pour des arrichissement sans cause.

 *Pour la coordination territoriale de la CRDH MAMBASA*

 *KASEREKA SIVAMWENDA Gilbert*
 *Coordonateur*
+243994310890

 *Maître JOHN VULEVERYO*
 _secrétaire_
+242993727351
+242826559304

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