Entre l' Armée et les rébélles ougandais ADF ; Qui tuent réellement dans la région de Beni ? se démande la LUCHA
Dans leur échange avec le maire intérim de Beni, ces militants de la LUCHA cherchent à savoir la vraie identité des auteurs des tueries urbaines qui prennent de l’ascenseur à Beni depuis la suspension de Nyonyi Bwanakawa.
Dans un espace d’environs un mois et demi, environ dix morts par balles ont déjà été enregistrés en ville de Beni avec comme dernier cas en date, la mort par balle d’un infirmer au quartier Rwangoma dans la nuit de mardi à mercredi 22 juillet 2020.
Selon des témoignages dans chaque scènes de crimes, des présumés auteurs de tous ces cas de tueries urbaines sont des hommes porteurs d’armes et habillés en treillis soit militaires, soit policiers. Ce qui crée une grande confusion sur la vraie identité des auteurs de ces crimes.
Pendant ce temps, des spéculations tournent autour des présumés rebelles ougandais de l’ADF d’être a la base de cette recrudescence de l’insécurité à Beni comme il était question lors du dernier massacre des deux personnes au quartier Ngadi selon le mode opératoire de ces djihadistes ougandais.
Ayant reçu ces militants, l’intérimaire à la mairie de Beni s’est trouvé dans une grande incapacité de trouver seul une réponse à leur préoccupation. Bakwanamaha Modest a rejeté cet échange au mardi 28 juillet 2020 dans une rencontre qui connaitra la participation de tous les membres du comité urbain de sécurité.
Cette date dévoilera-t-elle ce qui était supposé caché par le maire titulaire de cette ville, en suspension ? Wait and see disent les anglais.
DIDDY MASTAKI
- Cette quéstion tourmente le mouvement citoyen Lutte pour Changement, LUCHA, section de Beni.
Dans un espace d’environs un mois et demi, environ dix morts par balles ont déjà été enregistrés en ville de Beni avec comme dernier cas en date, la mort par balle d’un infirmer au quartier Rwangoma dans la nuit de mardi à mercredi 22 juillet 2020.
Selon des témoignages dans chaque scènes de crimes, des présumés auteurs de tous ces cas de tueries urbaines sont des hommes porteurs d’armes et habillés en treillis soit militaires, soit policiers. Ce qui crée une grande confusion sur la vraie identité des auteurs de ces crimes.
Pendant ce temps, des spéculations tournent autour des présumés rebelles ougandais de l’ADF d’être a la base de cette recrudescence de l’insécurité à Beni comme il était question lors du dernier massacre des deux personnes au quartier Ngadi selon le mode opératoire de ces djihadistes ougandais.
Ayant reçu ces militants, l’intérimaire à la mairie de Beni s’est trouvé dans une grande incapacité de trouver seul une réponse à leur préoccupation. Bakwanamaha Modest a rejeté cet échange au mardi 28 juillet 2020 dans une rencontre qui connaitra la participation de tous les membres du comité urbain de sécurité.
Cette date dévoilera-t-elle ce qui était supposé caché par le maire titulaire de cette ville, en suspension ? Wait and see disent les anglais.
DIDDY MASTAKI
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