Les crépitements de balles enttendus à Otomaber et Bwanasula au sud sud del'Ituri, ont créé une terreur au sein des habitants en Rdc
Localité Otomaber situé au sud del' Ituri ; Des tirs nourris en armes lourdes et légères a été signalé tôt le matin du jeudi 02 Juillet 2020 à Monge , un village situé dans la localité Bwanasula territoire d’Irumu, en République démocratique du Congo.
D’après Mumbere Munyanderu, activiste des droits de l’homme , tout à débuté vers 03 heures du matin.
Ils’agissait des éléments loyaliste qui auraient lancé un assaut sur une position des miliciens Mai-mai installés à l’ouest de Bwanasula mais jusque jusque-là, aucun bilan n’est disponible de tous les côtés.
Il appelle au même moment les habitants de cette entité au calme et de se désolidariser de tout groupe négatif qui continue à semer terreur et désolation dans cette partie du territoire d’Irumu .
Il sied de noter que , les coups de balles enttendus ont créé une terreur au sein des habitants de Bwanasula mais pour le moment, une accalmie s’observe.
🇨🇩🔴⏰📹Beni-térritoire : des violents combats ont opposés les FARDC aux rebelles ADF à MAKULU.
Les affrontements opposés jusqu’à ce mercredi 01er juillet 2020 les FARDC aux rebelles ougandais ADF à MAKULU, contrée située à l’Ouest du village de MUKOKO dans le groupement Batangi-Mbau en territoire de Beni.
Commencés depuis mardi dans la soirée, ces combats se déroulent au tour d’une position des militaires loyalistes basée dans cette contrée.
D’après des sources entrecoupées, ce sont les assaillants ADF qui ont attaqué cette position de l’armée l’obligeant à répliquer. S’en sont suivis de violents affrontements entre les deux parties.
D’autres sources parlent des miliciens Mai-Mai sans donner plus de détails.
Joint au téléphone ce mercredi par radio Moto Oicha, le lieutenant Antony MWALUSHAY, porte-parole des opérations SOKOLA1 confirme la poursuite des combats. Il s’est, toutefois, réservé de donner plus de détails promettant se prononcer au moment opportun.
🇨🇩🔴⏰📹Nord-Kivu : 60 personnes mortes dans le secteur de Ruwenzori suite aux attaques rebelles en juin dernier.
L’ONG-DH Convention pour le Respect des Droits de l’Homme (CRDH), coordination urbaine de Beni a, dans une déclaration d’évaluation sécuritaire du mois de juin 2020, affirmé avoir comptabilisé plus de 15 attaques mises à l’actif des rebelles d’Allied Democratic Forces (ADF) et des miliciens Mai-Mai, dans le secteur de Ruwenzori.
La CRDH-Beni dresse également un lourd bilan de plus ou moins 60 personnes dans ces attaques sanglantes. Elle affirme par ailleurs que plusieurs autres ont été prises en otage.
« En territoire de Beni, la situation a été caractérisée par des cas des incursions répétitives des groupes armés dont l’ADF et les Mai-Mai. En secteur de Ruwenzori, plus de 15 attaques ADF avec un bilan macabre de 60 personnes sauvagement tuées et plusieurs portées disparues », écrit-elle.
Cette structure de défense des droits humains fait savoir en outre qu’au même mois, 5 attaques rebelles ont été effectives à Beni-Mbau et 7 autre dans le groupement de Banande-Kainama.
Fin octobre 2019, les Forces Armées de la République Démocratique du Congo ont lancé les opérations militaires dites de « grande envergure » contre les groupes armés dans l’est (Beni) voire le nord-est (Ituri) du pays. Depuis, les attaques rebelles n’ont pas cessé. Plus de 3000 personnes sont mortes, dès 2014 à nos jours dans la région de Beni, selon le décompte de la société civile locale.
🇨🇩🔴⏰📹Ituri : un mort et un blessé par arme blanche à Mambasa.
Selon John Vuleveryo, activiste des droits humains au sein de la convention pour le respect des droits de l’homme « CRDH », les victimes ont été surprises dans un champ par des inconnus qui ont utilisé des machettes dans leur opération.
Le fait a eu lieu la soirée du mardi 30 juin à Bandisende dans la réserve de faune à Okapi sur la route nationale numéro 4, axe Mambasa _Kisangani.
L’une des victimes ageé d’une trentaine d’annees est morte, alors que l’autre s’en est sortie avec des blessures graves.
L’organisation de défense des droits humains CRDH qui condamne cet acte, plaide pour l’ouverture des enquêtes pour que les auteurs soient connus et jugés.
La rédaction
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