Paroisse Sainte Famille de Gety ; Unique de son genre pour les chrétiens catholique

À l’instar des autres confessions religieuses, l’Eglise Catholique est l’une des institutions sociales, qui est solidement ancrées dans les mœurs des communautés de base. 


La paroisse sainte famille de Gety est une circonscription ecclésiastique de l'Église catholique implanté dépuis l'époque coloniale belge, dans la province del'ituri, térritoire d'Irumu, chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, vers le Nord-Est de la République démocratique du Congo.


Elle se situe dans la localité (nzigo) dans la partie Ouest de Gety-Etat, mais en passant par localité Tsede, en partant vers Nyarara, et Munobi chef lieu du groupement Bamuko.


La population est majoritairement composée des Ìndrŭ que certaines communautés appelens les «Ngiti»


Ils sont les fondateurs et premiers habitants de leur localité, nzigo suite aux fluxes migratoires constantés du XVI e siècle (ou 16 e siècle), auXVII ( ou 17 e siècle, est plus particulièrement dans la chefferrie traditionnelle de Walendu-Bindi localisée en térritoire d'Irumu, province del'ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo.


? Climat :


o Saisons de pluies : de Septembre à Janvier et de Mars à Juin


o Saisons sèches : en Février (la petite saison sèche) et en Juillet et Août (la grande saison sèche)


Nature du sol


Son sol est argilo-sablonneux c'est-à-dire qu'il constitue d'un mélange de l'agile et du sable mais avec une prédominance de l'argile favorable à la fabrication des matériaux de construction notamment le ciment.


Les boisements artificiels


Elle est une végétation artificielle constituée d'arbres généralement des essences importées par la colonisation.


On trouve principalement des eucalyptus, des cipres, des pins, les grévilléas,... et tant 5 arbres fruitiers.


Actuellement, les eucalyptus occupent la première place du point de vue économique dans la chefferie grâce aux planches qu'ils produisent, lesquelles sont sollicitées lors de la construction.


Le Régime foncier


Dans la localité de (Nzigo) comme chez tous les Ìndrŭ, la terre est régie par la culture dans laquelle un chef terrier est propriétaire et distributeur des terres suivant la convention de payement de la redevance coutumière ou une poule, chèvre compte tenu de l'étendu du terrain alloué. 



La convention initiale est héritée et très réputée par toutes les générations des souverains et leurs vassaux. Les descendants gardent ainsi la position de leurs ancêtres suivant ces échelons de bas en haut.

Pour le cas du peuple Ìndrŭ qui habite la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi ! 


Officiellement ; Est une entité coutumière, est aussi une chefferie traditionnelle de hauts plateaux del'Ituri situé vers le ord-Est dela République démocratique du Congo, et d'Afrique centrale, et localisée sur la ligne de séparation des eaux du Congo et du Nil, au cœur de la région des Grands Lacs.


De nombreux genres transmis au départ par la tradition orale sont désormais diffusés à la fois par les vecteurs oraux traditionnels maisaussi par le biais de supports écrits et de médias comme la radio, la téléphonie et Internet.


En plus de l’immersion dans la grande savane majestueuses, la découverte d’un peuple Ìndrŭ vous permettra de partager des moments magiques, mais quelques fois d'une allure peu puissante.


Souvent on peut noter qu' un bon nombre, des Ìndrŭ sont à la taille haute, moyenne et bas.


Aux traits fins, ils ont de lointaines parentés surtout avec les Bhâle lendu qui habitent le térritoire de djugu, et les Lugbara qui sont localisés en térritoire d'Aru.


Mais aussi ; L’appellation Ìndrŭ leur permet de se différencier des autres Lendu qui sont ;


Lugbara et Bhâle !



Alors ; Les points suivants peuvent être retenus.


Physiquement ; Actuel chefferrie traditionnelle de Walendu-Bindi est
occupé en majorité par les Ìndrŭ, l'une d'ethnies se trouvant à l'Est
de la RD. Congo.


Cette entité coutumière quoi qu'étant occupés par un peuple quasi
homogène présentent des diversités sur le plan physique, géographique, démographique, administratif, social et économique.


Situation géographique


a. Limites géographiques :


La Chefferie de Walendu-Bindi est limité :


- Au Nord par la Chefferie d'Andisoma ;


- Au Sud par la Chefferie de Bahema Mitego


- A l'Est par une partie dela rivière semliki, et la chefferie de Bahema Sud ;


- A l'Ouest par la Chefferie de Walese-Vonkutu.


b. Coordonnées géographiques :


La chefferie de Walendu-Bindi s'étend environ sur 2.226 km2 entre 1°
13 00 nord, 30° 12 00 est Altitude 1 531 1 m 0°50' et 1° la latitude
Nord et entre 29 et 30°, selon un document géographique, consulté en
2009, au près d'une équipe engagé au Bureau dela traduction Ndrǔna à
Bunia.


En supprimant la zone urbaine, la zone d’habitation, villageoise, la
zone de chasse, et dela pêche, on constate que, la superficie activement exploitée correspond à environ  30% seulement du terroir.


C’est pour dire qu’il s’agit d’un terroir relativement bien peu exploité,.


Climat et relief dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi


a) Relief


Son relief est varié. En effet, on observe d’abord les montagnes, avec
des sommets à haute et basses-terres dans des paysages variés et
spectaculaires.


D’autant que la grande savane protège des flores et de faunes d'une
grande valeur.


Le relief est du type montagneux, caractérisé par la prédominance des
plateaux, montagnes et des collines dont le bas se réduisent en
vallées, ruisseaux et rivières.


Et aussi : Le relief est très accidenté avec une altitude variant de
moins de 600 mètres et plus de 1000 à 1800 mètres.


Ce relief est formé des plaines, des plateaux et des chaînes de
montagnes avec une température de 17o et 19 o C. le relief présente
des caractéristiques de vocation agropastorale dans cette région suite
a ses variété tributaires due aux conditions climatiques, de la nature de ses écosystèmes et de la qualité de ses sols.


Source ; Enquête de notable Didi Osée Angaika 2008



Au point de vue administratif


La chefferie de Walendu-bindi qui conserve les tombeaux de la plupart
de ses souverains et leaders d'opinion public  d'une longue date, fût
créé suivant le PV N⁰ 00 85 du 03 décembre 1931, par l'administrateur
térritorial d'Irumu, à l'époque colonial. l'AT Halleux qui trace la carte des 5 chefferies réunifiées et la délimitation des enclaves
d'une localité Lagabo, Lakpa, et Nombe, avec comme Chef-lieu
Gety-Etat.


La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en
1933, ainsi, il est facile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre provincial Honoraire del'ituri, que nous saluons sa mémoire Osée Didi Angaika au cours d'un débat consacrés à la page socio-culturel et histoire dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec un groupe des diplômés originaires dela chefferie de walendu-bindi, via Forum Gety Infos Total à partir de Bunia.


Pour lui, ces dernières ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15
mai 1933.


Donc pour plus de précision, c'est un document tiré dans les archives
dela notabilité de Walendu-Bindi, grâce à Osée Didi Angaika.


D'une manière légal avec la loi colonial Belge, le PV cité ci-haut
avait mis fin aux cinq Chefferies créés aux subdivisions administratives, des royaumes traditionnels  Ìndrŭs ont été préservés avec une autonomie limitée, essentiellement culturelle par certains
clans majoritaires à partir de 1915, en désaccord avec politique dela
Belgique.


Nos sources contactés pour la cause précisent que, le 05 décembre 1933
est considérée comme la date de la création officielle de la Chefferie
de Walendu-Bindi.



Elle aspire à un peuple uni qui jouit d'une prospérité-sociaux-culturelle.


Sous ce rapport, tout en sachant que, la chefferie de Walendu-Bindi est une institution culturelle qui promeut aussi la participation populaire et l'unité des différents clans par le biais de programmes de développement visant à améliorer leur niveau de vie.


Mais aussi ; Avant l'époque pré-colonial, les Ìndrŭ n'ont pas connu de
pouvoir politique centralisé.


C'est pour dire que, le pouvoir s'est limité aux familles au sein
desquelles les guerriers ont joué un rôle de premier ordre car ils garantissaient la paix dans la contrée. À l'époque de la pénétration arabisée et plus tard lors de l'occupation belges firent face à la
résistance farouche des Ìndrŭ, dirigés par leurs principaux guerriers.


🇨🇩━☞ Subdivision administrative


La chefferie de Walendu-Bindi compte six groupements dont ;


Bukiringi, Baviba, Boloma, Ts'ritsi, Zadhu, et Bamuko, fut crée par
une vague migratoire, qui date du XVI et XVII siècle.


CONNAISSANCE GENERALE DES ENTITES COUTUMIERES DE LA PROVINCE D’ITURI


▶️https://www.congovirtuel.com/page_province_ituri.php


🇨🇩👉🏿Grandes agglomérations ;

Bukiringi, Aveba, Gety, Olongba, Songolo, et Kagaba

- Fuseau Horaire ; UTC+2 ; Région d'Afrique centrale

À cela s'ajoute ; 200 villages, qui sont beaucoup plus tranquilles, en
ce qui concerne la situation sécuritaire qui se normalise jour et
nuit.


De toute les façons au sein de plusieurs villages, chaque famille détient une maison dans la quelle on doit obligatoirement trouver des
greniers à nourriture, mêmement avoir des greniers à planter, et multiples cultures, bien que la pauvreté et les problèmes économiques préoccupe la plus part des paysans, mais les Ìndrŭ sont bénis avec  un sol riche, et fertile.


Et puis, l’ensemble des informations recueillies au près des
villageois qui sont la plupart des clairvoyants indiquent que ;


Dans un mode de production basé sur le travail collectif, ces gens là
donc les Ìndrŭ, sont comme des machines ; Au motif, ils peuvent
travailler tout le temps, et ils épuisent rapidement les sols, où
éliminer très vite, les broussailles d'une étendue de terre, considérée du point de vue de sa surface, de sa propriété et de son affectation.


🇨🇩━☞ACCÈSSIBILITE ET VOIES DE COMMUNICATION


Donc ; Walendu est une entité coutumière, divisé en deux parties
del'Est à l'ouest, par la route N⁰ 431 d'intérêt provincial, situé sur
la crête du fleuve Congo, et du Nil.


Les grands axes d'échanges commerciaux sont :


1) Au Nord: Axe Walendu-Bindi-Bunia-Kasenyi-Chomia : cet axe est
utilisé par des véhicules pour les transports des produits
commerciaux.


2) A l'Est : Axe Walendu-Bindi-Buguma : cet axe n'est pas utilisé par
les véhicules. Il faut demi journée de marche à pied pour y atteindre
les destinations.


3) Au Sud : Axe : Walendu-Bindi-chefferie de Bahema-Mitego,
Bahema-Boga, Banyali-Tchabi, et celle du nord Kivu ; cet axe procure
la chefferie en bétail d'abattage notamment les vaches, les moutons,
chèvres et poules.


À l'Ouest : Axe : Walendu-Bindi-Andisoma-Komanda qui échangent des
produits commerciaux aux marchés du groupement Bavi.


La principale route qui permet l’entrée et la sortie dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi c’est la RS N⁰431 route sécondaire qui part de Bogoro, en passant par Kagaba, Badjanga, Bukiringi, Mitego,
Boga, Tchabi, Kainama, jusqu à Eringeti. 


(C'est une route qui connecte
la chefferie à d'autres entités dela province del'Ituri, celle du Nord-Kivu, et même del'Ouganda, via Burasi à la frontière congolo-ougandaise.


Les activités commerciales et les échanges sont fréquents et
réguliers, car, la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi de par sa
position, se trouve intégré à des circuits d’échanges transfrontaliers
importants, avec l’Ouganda.


Les marchandise arrivent et quittent par voie maritime, aérienne,
routière, d’intérêt interprovincial.


Tous ces axes sont plus ou moins praticables mais ils nécessitent des
interventions mécaniques à grande échelle pour leur réhabilitation car
ces réseaux sont très important pour l'évacuation des produits
agricoles parce qu'il s'agit des voies de desserte agricole permettant
de désenclaver les zones de production.


La chefferie dispose également des rivières qui le traverse dont la
navigabilité est possible seulement pour les pécheurs et qui le relient à quelques villages voisins.


Cependant, on peut aussi accéder dans ce territoire via le lac Albert sur lequel on retrouve un bon nombre des pirogues motorisées qui font
des navettes et de trafic frontalier entre Ouganda et Kasenyi mais
aussi entre les villages frontaliers.


Dans le territoire, les routes sont en bon état car entretenue par le
gouvernement provincial, la Monusco, le Foner et l’office des routes.


Les routes des déssertes agricoles se dégradent d’avantages à cause de
manque d’entrétien.


Souvent les grands sentiers vous fera vivre plusieurs aventures et les
villages avec des cases très traditionnelles.


Donc les communications sont diverses formes car les routes relient
les villages et localités voisines et l'extérieure, en toute saison.


Bien évidemment, l'ambiance qui s'observe dans certains villages
pousse les visiteurs à croire que, l'image de Walendu-Bindi en est
considérablement enrichie, par les montagnes et plateaux, qui abritent
une diversité écologique étonnante.


Sur la fin du trajet, on décide de quitter la route pour prendre un
“raccourci” en terre battue, un choix qu’on ne regrette pas tant les
pistes sont de plus en plus belles.


En plus, sur la route, et pu se tenir un pied dans chaque hémisphère !


N’hésitez pas à visiter les petits villages et les centres culturels, où vous serez accueilli chaleureusement.


Quelques fois, on vous racontera l’histoire des habitants Ìndrŭ primitifs, localement, dangereux, isolés, et belliqueux, qui trouvent leurs origine dans les deux pays limitrophes de la RDC, entre autres,
l'Ouganda et surtout, dans le Soudan du Sud.


Les routes sont les voies de communication les plus utilisées.


Malheureusement, suite au manque d'entretien et des pluies diluviennes
continuelles quelques fois, elles sont souvent en mauvais état.


Par ailleurs, il existe des ponts dont certains sont en état de
délabrement posant ainsi d'énormes difficultés lors des traversées et
d'autres impraticables du fait qu'ils sont inachevés.


Le transport fluvial est assuré dans une partie de la rivière Semliki
qui est seulement navigable en aval du Lac-Albert, jusqu'à Nyanzigo.


En plus des routes, la chefferie de Walendu-Bindi dispose l'aérodrome
qui reçoivent seulement des petits porteurs à Aveba, mais aussi nous
sommes sans ignorer qu'à l’époque, les petits aéronefs Antonove
atterrissaient à Gety pour faciliter les activités de ces derniers.


Article détaillé concernant la paroisse sainte famille de Gety


À ce sujet, nos sources del'église catholique renseignement que, les « pères blancs » établissent la première église catholique, dans la chefferie de Walendu-Bindi, après la première guerre mondiale 50 ans plus tard.


Dépuis sa création, la parroisse sainte famille de Gety-Mission dépend du diocèse de Bunia.


Elle fut la deuxième en territoire d'Irumu après celle de Badiya fondée en 1931 selon l'église catholique.


Jusqu’en 1957, elle était la seule la plus proche du chef-lieu du térritoire Gety-Etat à l'époque.


Ainsi les missionnaires contactaient plus aisément l’autorité coloniale. 


L' Église catholique en République démocratique du Congo fait partie de la communion de l'Église catholique, sous la direction du pape.


La première mission catholique dans l'actuel République démocratique du Congo a été l'œuvre del'administration coloniale belges.


Brève Historique


L'historique de la paroisse sainte famille de Gety-Mission remonte à l'époque coloniale belge, quand les Pères Missionnaires Blancs d'Afrique créait cette paroisse au nom de sainte famille, bâtie sur une propriété laissait par l'administration coloniale belge avant l'indépendance du Congo. 


Elle est fondée dans les années 30 à Bbovi-Sisa, mais ils ont fini la construction de l'actuelle Eglise en 1967.


Le bâtiment actuel, a été construit en briques, est le deuxième à être construit, car les structures précédentes ont été ruinées par les éléments ou simplement abandonnées mais pas totalement. 


Il a presque 57 existance en 2023 ans et est l’un des lieux de culte les plus remarquables en térritoire d'Irumu.


Elle est superbe; l’extérieur de la cathédrale et le bâtiment lui-même sont très grandioses et bien construits. Il y a aussi une statue de Sainte-Marie à l’avant.


. La cathédrale, également appelée église dela paroisse sainte famille ; C'est un lieu de culte paroissial avec une vue magnifique sur l'ensemble de Gety-Mission. 


. Dans une révélation faites par une source del'église catholique à notre équipe de rédaction montre que, c’est la plus ancienne cathédrale de toute chefferie de Walendu-Bindi.


. C'est un autre lieu incontournable si vous venez visiter Gety-Mission, avec une belle vue un peu à l’écart du centre-de Gety-Etat, mais accessible même à pied, moto, voiture, et tout sorte d'engins roulant.


. L’intérieur et extérieur sont spectacles impressionnant. Il est permis de prendre des photos, mais un petit don vous sera demandé.


Sous la domination écransate des belges, l’église catholique, par ses missionnaires et son clergé, a vigoureusement combattu la religion traditionnelle du pays, considérée comme barbare, puis a élargi son influence grâce à ses activités éducatives, sociales et sanitaires.


Les Pères du Sacré-Cœur


La première mission fondée par eux au Congo date de 1897 à Kisangani : la Mission St Gabriel. Ils avaient pour mission d’évangéliser la région comprenant les bassins du Lualaba, de l’Aruwimi actuel rivière ituri, de la Lindi jusqu’au pied du mont Ruwenzori.


Les prêtres du Sacré – Cœur, premiers pionniers de l’évangélisation du milieu étaient, certes, attirés par la démographie et le climat. 


Une fois relevés par les pères blancs d'Afrique, leurs rapports et leurs projets serviront de base aux nouveaux venus. Ceux-ci ne tarderont pas à s’y installer.


Avant de s’installer définitivement à Gety Mission, les pères auraient plusieurs fois ramené la terre du village Munobi à Gety-Mission, peut-être pour des raisons d’étude de pédologie !


Tout compte fait, elle était fertile et bonne pour les briques. Ils entameront les travaux de construction en durable grâce à la presse-brique empruntée à l’administrateur du térritoire juste après l’érection d’un hangar non loin des latrines de l’E.P Anjikye. 


La position géographique, le climat et la démographie furent des indicateurs positifs de l’implantation del'église catholique.


Nos recherches renseignent que, cette chefferie a été peuplé par les clans d'origines différentes, chose qui avait obligé certaines autorités coloniale à s'instalés momentanément à Gety comme chef-lieu du térritoire d'Irumu.


De toute les façons, avant même l'arrivée du père Michel, Steves, St. Serges, Malaki, et Hamel dans la paroisse de Gety-Mission, les missionnaires s’occupaient de la pastorale et de l’évangélisation dela population autochtones.


Il y avait surtout des Pères blancs et des prêtres du Sacré dans la paroisse où ils exerçaient leur apostolat. 


Avant quitter Bunia pour Gety-Mission, l'évêque de diocèse doit s'adresser aux prêtres à croire au message qu’ils vont transmettre aux brebis de Jésus christ et à mieux connaître les fidèles.


 « Vous allez recevoir la mission d’évangéliser les personnes au nom de Jésus qui est leur grand maître. Annoncez à tous la parole de Dieu que vous venez de recevoir avec joie. Méditez beaucoup sur le commencement. 


Croyez aux paroles que vous allez annoncer, la parole de Dieu que vous croyez vous-mêmes et connaître ceux que vous enseignez. Que votre enseignement soit la nourriture du peuple de Dieu. »


On pouvait également voir des prêtres venus de Bunia, des religieux et religieuses, des couples représentant les familles en provenance du diocèse de Bunia.


S’adressant souvent aux chrétiens, ils les a invitées à se nourrir de la prière quotidienne, l'amour, la méditation de la Parole de Dieu et le bon témoignage pour renforcer leur foi, afin de devenir réellement une Eglise domestique qui annonce la Bonne Nouvelle. 


À travers les activités sportives et les rencontres en tout genre, il s’est agit de rassembler les habitants autour du vivre ensemble, de la cohésion sociale ; appeler à marcher ensemble.


La question des relations entre la population et l’Église à l'époque ne devrait tenir compte de tous ces éléments qui s’entremêlaient étroitement. 


Selon les récits de maman Jeannette Androsi coriste dans l'ancien temp à la cheppelle de localité Matafu, révèlent que, dès l’époque coloniale, il était normal de respecter celui qui portait une soutane.


Aux moines et aux prêtres étaient réservés un accueil spécial et un plus grand respect.


Dans ses propos recueillis à Matafu par Adirodu Roger son enfant dans les années 1994 ;  Elle, avait dit que, comme pour les moines et les frères, les vêtements des sœurs aussi varient en fonction de la congrégation religieuse d’appartenance.


Les fidèles bénéficiaires de cette paroisse n'en ont pas été les moins indiqués pour manifester leur joie.


Dépuis sa création qui date del'époque coloniale, la paroisse sainte famille de Gety-Mission, à travers son organisation, ecclesiastique a été beaucoup présente dans la vie publique locale dans la chefferie de Walendu-Bindi.


Elle a une « place digne » pour les chrétiens catholique dans la chefferie de Walendu-Bindi.


Au-delà de ses chrétiens, et il y a les curés qui sont permenant au couvent dela paroisse qui animent au quotidien les activités à caractère religieux et d’ordre social.


Le curé est l’administrateur de la paroisse. 


C’est un religieux qui enseigne la parole de Dieu et appelle à la sanctification. Il joue aussi un rôle de médiation dans la gestion et la résolution de certains litiges et conflits qui surviendraient dans la communauté.


L'administration belge était accompagné toujours des missionnaires. De ce que nous avons entendu, l'église de la paroisse de Gety était construite par le frère Adellar, car le même technicien avait conçu les plans de plusieurs Eglises du Diocèse de Bunia !


La zone consistait en plusieurs villages entre autres : 

-  1 . Nyarara

-  2 . Mbasa

-  3  . Tsede

-  4  . Karatsi

-  5  . Kawangu 

-  6  . Nzigo 


Mais celle de Gety-Etat avait été choisie pour la garnison belge, et celle de GETY-MISSION accueillait la mission catholique et celle d'Isura était investie par la mission protestante del'église anglicane.


Donc Gety-Etat a donc grandi comme le chef lieu dela chefferie  dont beaucoup de bâtiments survivent encore, tels que la prison centrale de Gety-Etat, construite en 1931, les tombes de différentes autorités coutumière et l'emplacement du bureau administratif dela chefferie de Walendu-Bindi.


C'est après 1908 que les Belges installent un poste d'État dans ce qui est le térritoire administratif actuel de Gety. 


Avant cette date, les archives sur la chefferie de Walendu-Bindi sont toutes constituées de la mine d'informations recueillies auprès des missionnaires catholiques de la Société des missionnaires d'Afrique (ou Pères blancs) qui s'étaient lancés à la conquête spirituelle de cette contrée où ils craignaient d'être devancés par des anglicans anglophones venant de l'Ouganda ainsi que par d'autres missions protestantes.


Entre autres ; La réalité confirme que, l'implatation de cette église dans les groupements Bamuko, Boloma, Bukiringi, Bavi, Zadhu et Ts'ritsi ; Donc, église solide et remarquablement engagée dans l'oeuvre d'évangélisation qui a valu à cette région, son élévation au rang de province eclésiastique.


. Désormais, l’église est ouverte aux cultes religieux.


On peut encore y voir la première croix sur le toit dela paroisse sainte famille de Gety situé dans la chefferie de Walendu-Bindi. 


Mais les paysans ne vont vraiment se convertir au christianisme que beaucoup plus tardivement, après la seconde guerre mondiale, sous l’occupation belges à l'époque.


Quant aux prêtres, ils sont exhortés à sensibiliser constamment des fidèles sur les principes pastoraux fondamentaux.


Les relations entre l'Église et l'État sont normalisées en 1912, et après cette date le nombre de catholiques augmente beaucoup, en 1963, et en 1967 l'actuel église dela paroisse avait été inauguré. 


Dans la seconde moitié du XIX e siècle (ou 19 e siècle) siècle, plus douze sécteurs suivant ont été créés.


Ici bas dépuis l'époque du Congo Belge on avait ;


. 1 - Gety-Etat


. 2 - Djimbira 


. 3 - Ruzinga 


. 4 - Kabona 


. 5 - Bukiringi 


. 6 - Boga 


. 7 - Zitono


. 8 - Gety-Mission 


. 9 - Bogoro


. 10 - AVEBA MUKUBWA


. 11- RUDJOKI


.12 - OPILI


Face aux catholiques, les églises anglicanes et luthériennes prennaient toujours un peu plus de place attirant un peu plus de fidèles.


Pour décrire le panel religieux, le chef lieu Gety abrite des communautés surtout catholique, qui constitue même la plus grande part de fidèles dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.


Selon l'église catholique, la réligion continue encore aujourd’hui d'influencer, consciemment ou inconsciemment, les comportements des adeptes de ces différentes communautés de foi.


Il suffit de passer devant une église un dimanche, vous serez frappés par la ferveur qui se dégage des offices.


C’est encore plus le cas pour les grandes fêtes comme par exemple ;


Noël, fête de Nouvel An, et Pâques.


Les hommes, les femmes et les enfants portent leurs plus beaux habits, se rendent au lieu de culte le plus proche pour assister à des messes qui peuvent durer plusieurs heures. Je conseille même aux non-croyants d’observer ce spectacle hebdomadaire.


La cathédrale est maintenant le centre des sécteurs où l'année est remplie d'une variété de festivals et de célébrations rituelles, y compris des «présentations» des mariages, confirmations des baptêmes et d'autres rassemblements familiaux.


D'autres jours fériés, célébrés dans tout le pays, sont tirés des calendriers chrétien, ou commémorent des événements de l'histoire, tels que le jour des martyrs (30 juin), le jour des héros (16 et 17 janvier) et le jour de l'indépendance ( 30 juin ). 


Donc Gety-Mission est un endroit agréable avec de nombreuses installations comme Cathédral dela Paroisse ste Famille, Institut Abaka, Ep-G, Ep-F et un hôpital général de référence. 


Pendant les grandes fêtes, il était recommandé aux chrétiens vivant très loin de la mission de venir à la mission pour s’acquitter de leur devoir de chrétiens.


La cérémonie de confirmation, ordination des nouveaux prêtres, mariage, alliance, festival, concours, même le baptême est impressionnante mais, les candidats de baptême basé souvent sur le genre, doivent complètement  raser leur cheveux, et doivent de sorte que l’eau puisse toucher leur corps ; ils recevaient un habit blanc.


En 2023 plus tard !


l’Abbé Léon Malobhi Kpasini, actuel Curé de la paroisse Sainte, il est bon de préciser que les travaux de réalisation ne sont pas entièrement achevés, après le départ des pères blancs d'Afrique. 


Donc à la fin d'année 1996. Jusqu' en 2023, il reste encore certains réaménagements pour la réalisation des portiques et l’intérieur de la cour qui sera pavée. 


«La mobilisation des ressources continue malgré les contributions des loyers»


C’est dans une église rénovée dépuis année 2023, que les fidèles catholiques ont célébré la messe un certain dimanche jour de la dédicace de la cathédrale de cette paroisse.


Selon le curé, cette dédicace est une action de grâce et une reconnaissance à Dieu, car « Il a donné les moyens matériels et financiers pour la réfection de la cathédrale ». 


Le curé était content de cette dédicace car, pour lui, l’Homme ne se nourrit pas seulement de pain, mais aussi de toute parole venant de la bouche de Dieu. « Vous êtes les pierres vivantes de cette cathédrale », a-t-il déclaré. 


Pour le curé, la prière pour la restauration de la cathédrale a été exaucée. En effet, pendant au moins quatre ou cinq ans, les fidèles, dans une prière unanime, ont demandé à Dieu de les aider à restaurer la cathédrale qui soit belle et digne de Lui.  


Donc le curé s’est dit satisfait de la qualité des travaux de réhabilitation.  


Selon le curé c’est un grand événement, une occasion de rendre grâce à Dieu pour avoir aidé l’Eglise paroissial de Gety-Mission mais aussi tous ceux qui ont participé à faire œuvre utile en reconstruisant la maison du Seigneur. a remercié tous ceux qui ont contribué à la réalisation cette église. 


À tout de même le serviteur de Dieu a rappelé que, la mobilisation des ressources continue malgré les contributions des loyers.  


Il faut dire qu’au cours de la messe, les fidèles catholiques ont exprimé leur joie de voir cette église renovée, à travers des prières et des chants d’action de grâces.


Selon le curé de la paroisse , l’Eglise Catholique contribue pour beaucoup à l’enracinement d’une gouvernance locale apaisée par l’enseignement de l’évangile aux fidèles, la promotion d’une culture de tolérance, la médiation dans certains différends et par l’implication, chaque fois que de besoin, à la réflexion et la recherche de solution aux problèmes de la cité. 


Avec les Fidèles catholiques il y a une bonne collaboration et une adhésion aux actions de l’Eglise, au-delà des activités religieuses. Il en est de même avec les protestants (AD)


« Jamais la Bible n’a été aussi accessible à tous, dans toutes les langues, et maintenant même dans des formats digitaux »


Cependant, sur le plan organisationnel, il y a une faible relation avec les nons chrétiens. 


Alors que sur le plan individuel il y de très forte relation. 


Defi à relever selon Adirodu Roger Androzo 


"Il y a tellement de dénominations et nous voyons beaucoup de nos jeunes se convertir de l'église catholique à ces églises."


"Il semble également qu'il n'y ait pas d'éducation religieuse et sur les aspects moraux. 


L'éducation semble se concentrer uniquement sur les aspects académiques, ce qui fait de l'évangélisation un grand défi", a-t-il ajouté, et il a ajouté : "Les gens deviennent plus séculiers en termes de pensée, de comportement et de vie sociale."


La tendance à donner la priorité au divertissement sur les forums de médias sociaux constitue un autre défi, a déclaré le Adirodu Roger.


Il a déclaré : "La vie sociale est affectée parce que les gens sont plus dans les smartphones, dans les quels on peut avoir WhatsApp, Facebook, Youtube, Tik Tok, Google, et avec tous ces perturbateurs, ils ont à peine le temps de penser à la foi et à la religion."


De leur côté, les religieux doivent faire davantage d’efforts sera entrepris pour se rapprocher sur le plan organisationnel et promouvoir le dialogue interreligieux.


L'Eglise catholique à sa nomenclature et par conséquent, pour bien s'exprimer, il convient de parler en termes de création de la province ecclésiastique de Walendu-Bindi.


Il s'agit concrètement d'un regroupement d'Eglises particulières voisines dans le triple but de promouvoir l'action pastorale commune, de mieux favoriser les relations mutuelles entre les Evêques diocésains et de renforcer la communion collégiale avec PIERRE (disciple du Christ). 


Cela voudrait dire que le Pape Jean Paul II durant son vivant reconnait à un ensemble de diocèses, une autonomie d'organisation et un devoir de coordination (les deux sont liés) mais aussi une capacité de répondre aux besoins et aux exigences de création d'une Eglise locale particulière. 


Parmi les prêtres populaires qui ont fait vibrer la communauté de la paroisse sainte famille figurent ; le Père Michel, Steves, Serges, Hervé Hamel, curé paroissial à l'époque, et Père Malaki. 


Dans leur propos devant les chrétiens, ils disaient souvent que, celui qui se met à l’écoute de la Parole de Dieu reçoit des « retournements existentiels salutaires ». 


« C’est la lettre d’amour écrite pour nous par Dieu, celui qui nous connaît comme personne d’autre : en la lisant, nous entendons à nouveau sa voix, nous contemplons son visage, nous recevons son Esprit »


Ils encourageaient les fidèles à approfondir le sens et le bénéfice de la communion spirituelle, à intensifier la prière en famille, à pratiquer la visite au Saint Sacrement ou l’adoration du Saint Sacrement. 


Les informations en notre possession révèlent que, ces derniers demandaient souvent aux chrétiens de Gety et ses environs, de leur rester vraiment fidèles et de s'éviter surtout des enseignements anti-Christ qui proviendraient d'éventuels faux prophètes du milieu, car ceux-ci risqueraient de leur empêcher de continuer à espérer la gloire céleste promise à l'humanité et l'avènement de Jésus Christ, notre Sauveur.


Dans leur propos, ils estimaient que celui qui se met à l’écoute de la Parole de Dieu reçoit des « retournements existentiels salutaires ». « C’est la lettre d’amour écrite pour nous par celui qui nous connaît comme personne d’autre : en la lisant, nous entendons à nouveau sa voix, nous contemplons son visage, nous recevons son Esprit », abondaiet-ils.


« Un prête doit semer l’espérance » d'après Hervé Hamel 


À l'époque ; Adirodu Roger affirment que ; Hervé Hamel dans son homélie, qui avait donc été préparée par Dieu, ce dernier a rappelé que la Parole de Dieu « semée dans le terrain de notre cœur, nous amène à semer l’espérance à travers la proximité ». 


Sa « force universelle » est qu’elle « rejoint tout le monde et tous les domaines de la vie » : elle est « l’antidote à la peur de rester seuls devant la vie », a-t-il encore souligné. « 


Celui qui fait l’expérience de la proximité de Dieu ne peut pas mettre à distance le prochain, ne peut pas l’éloigner dans l’indifférence », poursuivait-il.


Dépuis sa création, la paroisse compte également beaucoup d’agents pastoraux suivants ;


La collaboration avec les autorités compétente est aussi bonne du fait que, la rencontre de cadre d’échanges et de partage de points de vue sur certaines questions importantes pour la communauté.


De son côté ; Le Curé pense qu’il serait opportun que les autorités locales créent de plus en plus, un cadre de dialogue avec les responsables religieux.


Les communautés sacerdotales du grand séminaire à l'époque les pères (Croisiers) prêtent mains fortes à la pastorale paroissiale. 


La structure paroissiale organise trois conseils : paroissial, pastoral et pédagogique, et cinq commissions : développement, famille, justice et paix, intellectuels, finances et autofinancement et caritas. 


L’Union de la Jeunesse Catholique (U.J.C.) encadrant les jeunes de 13-35ans organise différents groupes et mouvements d’action catholique qui sont : la légion de Marie, la Croisade Eucharistique, les Kiro, les Xaveri, le Renouveau Charsmatique, les scouts, les Chorales, le mouvement Marial, la jeunesse ouvrière catholique, les Anges du ciel, les Vélites de Marie, les Couronnes de Marie, le club Unité, l’Union Fait la Force, le J.E.D., les saint Vincent de Paul…


. La Paroisse Sainte Famille de Gety-Mission, fondée par les Pères blancs d'Afrique, et a été longtemps dirigée par eux.


Bunia a même été un centre d’apprentissage du Kiswahili à tous les pères Assomptionniste venant de l’Europe pour travailler dans le diocèse apostolique de Bunia, et même dans toute sous région del'ituri à l'époque.


En cet effet mr Adirodu Roger Androzo présente à ses aimables lecteurs et lectrices quelques données en matière du bâtiment del' église dela parroisse sainte famille de Gety-Mission. Mais aussi ; Il y en a encore beaucoup qui manquent dans notre archive.


Ainsi par la fondation de dela parroisse  de Gety-Mission, l’évangélisation rapprochée de la population collaborait facilement avec l’Etat dans la gestion du bien-être indigène.


En effet, les missionnaires catholiques ont été les premières à s’occuper des constructions d'hôpital, des écoles, des lazarets et même des centres de santé. 


Mais souvent,  plus de 80 % du personnel d'hôpital de la place sont composés des religieux de la paroisse. 


Pour une petite histoire 


Les ìndrǔs sont un peuple de branche lendu que l'on trouve en Afrique centrale, province del'Ituri, térritoire d'Irumu, plus particulièrement  dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, où beaucoup sont attachés à leur terre qu'ils se sont appropriés en créant des véritables foyers qui jouent un rôle des lieux pour la communauté, àl'extrême Nord Est dela République Démocratique du Congo.


ils vivent surtout sur les montagnes, également sur les plateaux versant est-ouest du lac Albert, de 800, 1200, jusqu'à 1600 mètres d'altitude au dessus de la mer !


La grande concentration d'autochtones Ìndrǔ se trouve dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, une région de hauts plateaux parsemée d’une grande savane mais aussi par les paysages de montagnes.


Composition religieuse


Christianisme ; Dépuis 19ième siècle jusqu'àujourd' hui, à peu près de 80 % des chrétiens sont la plupart des catholiques et les protestants.


Le reste dela population est Animisme ; Environ 10 %


La République démocratique du Congo est un pays où la religion occupe une place très importante.


Ethnonymie


Selon les sources et le contexte, on observe de multiples variantes :


Ci-dessous nous avons


Ndrǔay-Bhale, ou les gens parlent d'eux-mêmes comme les ìndrǔ, (Ba-ìndrǔ) au pluriel, parfois simplement Ndrǔ, une seul personne humaine.


La dénomination Ngiti a été imposée et utilisée dépuis année 1980, à partir de Bunia mais l'ethnonyme exact utilisé par la population est Ìndrŭ au singulier et les Ìndrŭ au pluriel.


Leur origine est très ancienne, remontant au soudan du sud.


Histoire ancienne rendu publique par notable notable Didi Angaika Osée révèle qu' à cause de la famine et de la domination arabe, ce peuple a dû fuir le Soudan du Sud pour s'installer en Afrique centrale, dans le vieux Kibali-Ituri.


Àl'époque ; il avait dit que, les Ìndrŭ auraient leurs origines à partir dela corne del'Afrique, plus particulièrement dans la région arrosée par la rivière Akobo, avant d'ajouter que, les Ìndrŭ sont la plus vieille population du sud-soudan.


La même source ajoute qu' un bon nombre des Ìndrŭ sont les descendants de Funzi Ancêtre, ou grand parent lointain, qui est réserver des vertus ancestrales, qui remonte à un passé très lointain et assez imprécis, suivi de Bindi, qui a donné naissance à deux fils : MUKO et AZATA et, quand on parle de WALENDU-BINDI, c'est BAMUKO et ZADHU, enfants de même Père.


Propos de Didi Angaika Osée député provincial honoraire del'ituri


Pour lui, si nous partons à partir de Bindi, nous avons dans le lignage les personnes suivantes : Bindi, Azata, Kati, Chomi, Nzigo, Kalyaki, Komovi, Bangajduna(le père de Nyanza le premier chef coutumier de Walendu-Bindi).



Âges



Espérance de vie à la naissance 75,3 ans souvent en (2020)



Hommes : 73,9 ans



Femmes : 54,7 ans



Âge médian 36,8 ans

(2020)



Hommes : 34,5 ans



Femmes : 36,1 ans



Structure par âge 0-14 ans : 39,89 %



15-64 ans : 56,72 %



65 ans et plus : 3,39 %


Sur le plan linguistique



Les Ìndrŭ parlent majoritairement le ndrŭna. L'une des langues plus
souvent apparentées,  et intercompréhensibles, avec Bhaledha langue des lendu Bhâle qui sont essentiellement en térritoire de Djugu.


De toute les façons ; Les Ìndrŭ appartiennent au groupe dela
population lendu uni surtout par les éléments anthropologiques,
caractères socio-culturelle, sans oublier les trois clans énumérés ici
bas.


Delà on peut avoir  :


les Tsiritsi, les Rutsi, et les Bindi, qui  ont leur propre dialectes.


Donc,  le ndrǔna est la langue maternelle des Ìndrǔ.


Au nombre de plus de 250.000 au tournant du XXIe siècle, ils parlent
une langue ndrǔna  de la branche orientale de la famille nilo-saharienne et sont culturellement et historiquement liés à leurs frères des lendu Bhâle, et Lugbara.


Ils parlent la langue ndrǔna qui est étroitement liée et hautement
intelligible à la langue Bâaledha, Kilubgara, et à toutes les autres langues du groupe nilo-saharienne, de sorte qu'ils peuvent facilement comprendre toutes les autres langues cité ci-haut.


Ces dernières constituent un groupe de langues rattachées aux langues
soudaniques orientales, à l'intérieur de l'ensemble nilo-saharienne.


Le Ndrǔna est la seul langue naturel pour toute la communauté entière, mais difficile à comprendre souvent par les nouveaux,
expatriés où étrangers.


C'est une langue parler par des « être humains », qui appartiennent au
peuple ìndrǔ, vivant en société, et unies par des liens socio-culturels, leur langage articulé, caractérisée par un riche
système de préfixes attachés aux racines, et l'intelligence développée, conformément à la nature linguistique.


Du point de vue démographique, la chefferie de Walendu-Bindi est
habité à 95 % par les  Ìndrǔ dit Ngiti.


Cependant, l'agglomération de Gety-Etat, Kagaba, Aveba, Bukiringi, et
Songolo, sont souvent appelés cosmopolite en raison de la présence de
plusieurs autres ethnies venu de d'autres villes et térritoires nationale qui y vivent.


Mais aussi pour les personnes déplacées par les violences armées, le
salut vient souvent de la mine, alternative locale à la migration vers
une ville lointaine.


Donc selon certains Ìndrǔ ; Walendu-Bindi est l'une des chefferrie du térritoire d'Irumu connu comme la terre des personnes à cœur dur–qui
abrite un groupe ethnique et de nombreuses traditions culturelles
riches.



LE SWAHILI


Le swahili (appelé aussi kiswahili) n'a aucun statut juridique dans la
chefferie de Walendu-Bindi, mais cette langue demeure importante,
notamment dans les petites entreprises commerciales, alors qu'elle
sert de langue véhiculaire.


En fait, le swahili est la langue véhiculaire la plus importante de la
région des Grands Lacs, et ce, d'autant plus que c'est la langue
africaine comptant le plus grand nombre de locuteurs en Afrique de
l'Est.


-LE 👉🏿FRANÇAIS


Le français est la langue officielle du fait que c'était la langue de
l'Administration coloniale.


Si dans l'Est de l'Afrique, le swahili s'est développé comme langue commune à tous les peuples, en Afrique Centrale c'est la langue des anciens colonisateurs qui dominent, en l'occurrence, le français.


Après l'indépendance, le français a continué d'être employé par le
gouvernement, les tribunaux et le domaine commercial.


Le Français est la langue officielle du pay dépuis l'époque colonial belges, même si elle est plutôt parlée dans les marchés et les petitscommerce. On le retrouve également dans les services de police ou de l’armé ainsi que sur certains documents officiels du gouvernement.


Vous retrouverez un peu de Swahili aussi sur les affiches dans les
rues ou sur les billets.


Le francais aurait été choisi comme «langue neutre» pour éviter les
conflits ethniques, construire l'unité nationale et économiser les
ressources.


C'est aussi la langue d'enseignement souvent dans les différentes
écoles. Les publications officielles et les principaux journaux du
pays sont diffusés en français de même qu'à la radio et à la
télévision.


À l'Instar du swahili, le francais est une langue seconde parlés dans
la partie Orientale dela   République démocratique du Congo.


Mais dans la chefferie de Walendu-Bindi, il serait parlé et compris
par environ 35 % de la population comme la troisième langue après le
Ndrǔna, et swahili.


C'est aussi la langue privilégiée par l'élite du pays.


Les données détaillées sur le français qui cohabite avec diverses langues nationales telles que le lingala (Kinshasa et Equateur), le Tshiluba (les deux Kasaï et le Katanga), le Swahili (Kivu, le Katanga et la Province Orientale) et le Kikongo (le Bas-Congo et le Bandundu).


Selon l'enquête d'opinion public

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