Stocker de produits alimentaires change la vie dela population en térritoire de Beni en Rdc

Selon notre source qui nous donne cette information, avoir un stocks de produits alimentaires c’est notre vie depuis nos parents.


Les blancs nous ont amené la culture de produits agricoles et nos parents sont grandis en l’ayant adopté ainsi,  explique  Kasereka Justin ,  42 ans , agriculteur de Beu-Manyama, localisée dans la partie ouest du térritoire de Beni.


En 1960, nos parents ont même eu une coopérative qu’ils appelaient «  komborotive », ne sachant comment prononcer le mot coopérative, se remémore-t-il  de cette anecdote racontée de père à fils avec sourire.


Et puis après le départ des blancs avec l’indépendance et consort, le café a perdu sa valeur.  


« Soucieux de vivre de la seule culture rentable qu’ils ont apprise, nos parents eux aussi nous ont appris à exporter le café, souvent  de manière frauduleuse.


En territoire de Beni-Rdc, la  nouvelle vie de produits agricoles  donne espoir aux paysans.


«Tout est  réalisé  grâce à notre enquête mené ; depuis qu’il est redevenu rentable, la vie a complètement changé », se réjouissent certains cultivateurs de Beni térritoire.


Pour eux, les produits vert introduit en RDC au 19e siècle, a fait la pluie et le beau temps dans les années 1960  aussi bien dans le  Kivu que  dans la partie orientale où elle a été expérimentée avec succès.


Sa qualité aux saveurs tropicales était appréciée à travers le monde.


Puis tout a sombré dans le noir à la fin des années 1980.


Entre 2010 et 2024, les champs ont été presque abandonnés.


Ils sont devenus des fruits sauvages à récolter saisonnièrement dans le village sans trop attendre d’eux car moins rentables.


Las de la fraude et de ce manque d’intérêt, les coopératives se formalisent et le nouvel âge du café reprend  vers 2010.


On doit noter aussi que...


La production agricole dans la région de Beni, au Nord-Kivu, est en forte baisse en raison de l'insécurité liée aux attaques de bandes armées. 


Les agriculteurs demandent plus de sécurité pour pouvoir reprendre leurs activités.


En térritoire de Beni, un certain nombre d'habitants qui vivaient de l'agriculture sont partis se réfugier en ville. 


Ceux qui essaient de poursuivre leur production malgré l'insécurité prennent le risque de voir leurs cultures volées par les hommes en armes qui contrôlent ces zones. 


Conséquence : la province du Nord-Kivu qui est à dominance agricole fait face à la fermeture de centaines d'entreprises du secteur, explique Achille Mbusa Lumalisa, président de la Fédération des producteurs agricoles du Nord-Kivu, (FOPAC).


D'après lui, cette situation a créé la famine dans les familles et automatiquement il y a une insécurité alimentaire.


Il y a la pauvreté qui sévit maintenant dans notre région à cause d'une réduction de la production agricole, causée par l'insécurité dans le territoire de Beni."


Production de produits agricoles


La préparation du sol


La préparation du sol est la première opération qui permet d’obtenir de meilleurs rendements dans les récoltes.


Selon enquête de notre équipe de rédaction, il est essentiel de fournir aux plantes des conditions de sol optimales pour leur bon développement.


Un lit de semis adéquat offre aux semences les substances nutritives et les conditions appropriées qui leur permettront, en premier lieu, de germer et, ensuite, de se développer jusqu’à leur maturité.


Traditionnellement, cette étape était réalisée à travers l’utilisation de pratiques agressives telles le labour, le débroussaillement et le brulis, etc.


Ces pratiques, non seulement, ne sont pas durables à long terme mais elles sont également lourdes en termes de charge de travail, spécialement dans des contextes de basse mécanisation, ce qui représente un poids pour des petits exploitants qui doivent préparer le sol manuellement avec des outils de base.


La FAO encourage des modes alternatifs de préparation du sol qui visent, à la fois, à réduire les besoins en main d’œuvre et la pénibilité du travail, tout en améliorant la durabilité des activités de préparation du sol.


Un travail réduit du sol ainsi que l’emploi d’outils et d’équipements adéquats contribuent à cet objectif.


Les tâches concernant la préparation du sol et le désherbage peuvent être réalisées de façon à exiger moins de travail grâce à l’emploi de houes améliorées, de semis en ligne, de défonceuses à traction animale, de herses et de planteurs.


L’utilisation de tracteurs mono-axes représente une option à prendre en considération s’il existe les infrastructures et les services appropriés, les capacités des agriculteurs et les conditions économiques et sociales nécessaires.


Les autres tâches concernant l’entretien de la couverture du sol et la préparation du sol peuvent être réalisées grâce à l’emploi dela Rdc, Zamwipe (ou balai de Zambie) et de techniques de pulvérisation appropriées qui éliminent en grande partie le désherbage.


Ceci devrait être fait à l’intérieur de systèmes de travail du sol limité ou minimum, comme par exemple des platebandes surélevées et l’agriculture de conservation.


Les opérations de récoltes


Différentes opérations déterminent les résultats d’une récolte, y compris la plantation et le désherbage.


Des taux appropriés de semis, l’espacement des graines et leurs placements sont cruciaux pour le développement de la plante.


Celui-ci sera également influencé par les conditions du sol et le système de culture.


Entre l’ensemencement manuel et l’utilisation d’un semoir pneumatique de précision, il existe une vaste gamme d’outils et d’équipements qui peuvent améliorer les opérations de semis dans le contexte socio-économique et environnemental des agriculteurs.


La combinaison de travail réduit du sol et de semis direct, à travers l’application des principes de l’Agriculture de Conservation, contribue à préserver les conditions du sol et à améliorer le placement des semences.


Des semoirs et des planteuses spécifiques peuvent être employés dans des conditions de travail du sol réduit, comme par exemple des planteuses manuelles, des semoirs directs à traction animale, des semoirs et des planteuses à tracteurs à deux roues (adaptés aux différentes récoltes) et des semoirs directs attachés et tirés par des tracteurs à quatre roues (avec différents types de modèles et niveaux de sophistication).


La réduction de la pénibilité et le respect des délais représentent des bénéfices immédiats découlant de l’utilisation du semis direct ; ils créent pour les petits exploitants des opportunités de rendements plus élevés ainsi qu’une meilleure utilisation de la main d’œuvre.


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