« Térritoire et ville de Beni toujours sous la menance des groupes armée actif dans cette parti dela province du nord-kivu encore aujourd'hui un camion du marque TaTa est tombé dans une embuscade à Kokola on conte quelques morts et des blessés grave »
" En République démocratique du Congo (RDC), trois personnes ont été tuées, aujourd'hui lundi 21 septembre 2015, dans une embuscade tendue par de présumés rebelles ougandais dans la localité de Kokola sur l'axe routier Beni Kisangani en territoire de Beni, dans la province du Nord-Kivu, route n¤ 4.Les assaillants ont également attaqué un camion marque TaTa avant d'être dispersés par les soldats congolais. « Des échanges de tirs ont été nourris », a indiqué un responsable militaire à l'AFP. La journée noire du Lundi pour les habitants de Kokola, qui censent d' interpeller les autorités et la monusco. Dépuis l'année 2010 les massacres à Beni, a vu plusieurs nouvelles victimes. Elles sont tombées suite à une embuscade tendue par des combattants présumés de la rébellion ougandaise dénommée ADF-Nalu (Forces démocratiques alliées - Armée de libération de l’Ouganda), selon les autorités locales. De son conté la société civile du térritoire de Beni condamne les actes des térroristes attribué aux rébelles Adf-Nalu qui tuent la population inocente en ville et térritoire de Beni.« La population dela ville et térritoire de Beni toujours victime des massacres et tuerries des rébeles Adf-Nalu » "Les différents conflits en République démocratique du Congoont fait près de 4 millions de morts entre 1998 à 2004 selon les estimations de l' organisation non-gouvernementale International Rescue Committee(IRC) (janvier 2006) en République démocratique du Congo(RDC) durant la Première guerre du Congo(fin 1996-1997), la Deuxième guerre du Congo dépuis (1998 à 2015). Ces massacres,dont certains constituent descrimes contre l'humanité,ont fait l'objet d'investigations partielles.Ils ont donné lieu parfois dans les médias à la dénomination de «génocide congolais»,souvent dans la perspective de confirmer la thèse du« double génocide »(dans la seule problématique rwandaise), [pas clair]approche rejetée par des historiens, comme Jean-Pierre Chrétien 1, Gérard Prunier 2, ou Alison Desforges. Des troubles et tuerries des Adf-Nalu continue dans le térritoire de Beni.Un taximan et son client on péris hier le mardi 15/09/ dans une embuscade ces malfrants adf ont tué à fusié deux personnes à Kokola localité situant sur l'axe routier Beni Kisangani environt 15 km au nord du chef lieu du térritoire Oïcha. Ces rébelles voulaient traversé la route n'4 en allant del'autre conté del'est vers l'ouest mais la situation sur la ligne des fronts était métrisé par le Fardc
Qui pourra arrêter les massacres à répétition dans la région de
Beni, à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) ? La
longue litanie des attaques d’hommes armés contre les
populations civiles vient encore de s’allonger cette semaine dans
ce territoire du Nord-Kivu. Dernier massacre en date : 23
personnes tuées dans la nuit du mercredi 13 au jeudi 14 mai à
Mbau, une localité située à une vingtaine de kilomètres de Beni. Le
12 mai, 5 civils étaient massacrés à la machette et à la hache,
toujours près de Beni. Le 8 mai, ce sont 7 personnes qui ont été
tuées à l’arme blanche à Mulekera, encore en territoire de Beni.
Enfin, il y a trois semaines, fin avril, la société civile du Nord-Kivu
dénombrait 18 morts à Matiba et Kinzika. Et la liste ne s’arrête pas
là. Depuis l’automne 2014, plus de 400 personnes ont été
massacrées par des hommes en armes. Sur le banc des accusés :
les miliciens des ADF-Nalu, une rébellion ougandaise, qui sévit
dans la région depuis une vingtaine d’années… dans l’indifférence
générale.
La colère gronde
Le regain de violence dans la zone de Beni suscite la colère des
populations locales qui ont le sentiment d’être délaissées par les
autorités congolaises et les casques bleus des Nations-unies.
(Monusco). Depuis trois jours, Beni est déclarée « ville morte » par
la société civile, qui proteste contre l’impuissance du
gouvernement. Et la colère se propage dans toute la région. Les
villes d’Oicha et de Butembo ont rejoint la contestation. A Goma, la
capitale provinciale du Nord-Kivu, ce sont les étudiants qui sont
descendus dans la rue ce jeudi 14 mai. « L’opération « ville morte
» va durer jusqu’à ce que le gouvernement trouve des solutions à
la problématique de massacres à répétition des civils », indique le
communiqué de la société civile.
« Définir les responsabilités»
Sous le feu des critiques, le gouvernement congolais a dépêché
son ministre de l’Intérieur, Evaristo Boshab, sur place, mercredi 13
mai 2015 ."
Qui pourra arrêter les massacres à répétition dans la région de
Beni, à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) ? La
longue litanie des attaques d’hommes armés contre les
populations civiles vient encore de s’allonger cette semaine dans
ce territoire du Nord-Kivu. Dernier massacre en date : 23
personnes tuées dans la nuit du mercredi 13 au jeudi 14 mai à
Mbau, une localité située à une vingtaine de kilomètres de Beni. Le
12 mai, 5 civils étaient massacrés à la machette et à la hache,
toujours près de Beni. Le 8 mai, ce sont 7 personnes qui ont été
tuées à l’arme blanche à Mulekera, encore en territoire de Beni.
Enfin, il y a trois semaines, fin avril, la société civile du Nord-Kivu
dénombrait 18 morts à Matiba et Kinzika. Et la liste ne s’arrête pas
là. Depuis l’automne 2014, plus de 400 personnes ont été
massacrées par des hommes en armes. Sur le banc des accusés :
les miliciens des ADF-Nalu, une rébellion ougandaise, qui sévit
dans la région depuis une vingtaine d’années… dans l’indifférence
générale.
La colère gronde
Le regain de violence dans la zone de Beni suscite la colère des
populations locales qui ont le sentiment d’être délaissées par les
autorités congolaises et les casques bleus des Nations-unies.
(Monusco). Depuis trois jours, Beni est déclarée « ville morte » par
la société civile, qui proteste contre l’impuissance du
gouvernement. Et la colère se propage dans toute la région. Les
villes d’Oicha et de Butembo ont rejoint la contestation. A Goma, la
capitale provinciale du Nord-Kivu, ce sont les étudiants qui sont
descendus dans la rue ce jeudi 14 mai. « L’opération « ville morte
» va durer jusqu’à ce que le gouvernement trouve des solutions à
la problématique de massacres à répétition des civils », indique le
communiqué de la société civile.
« Définir les responsabilités»
Sous le feu des critiques, le gouvernement congolais a dépêché
son ministre de l’Intérieur, Evaristo Boshab, sur place, mercredi 13
mai 2015 ."
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