BENI TÉRRITOIRE UNE NOUVEL EMBUSCADE DES RÉBÉLLES ADF-NALU TÔT LE MATIN D'AUJOURD'HUI DIMANCHE 27 DÉCEMBRE 2015 À LINZOSISENE : Un camion marque fuso en route de kisangani pour kasindi, est tombé aux mains des térroristes ougandais des Adf-Nalu à Linzosisene localité situé à 23.7 km de Beni ville sur axe routier Beni Kisangani dans le groupement de Bambubha-Kisiki sécteur de Beni-Mbau. Bilan, 4 morts et blessé grave. Ce groupe des Adf-Nalu ont attaqué l'engin roulant par de rockette qui a endomagé complètement le véhicule. Cela arrive après la découverte des 6 corps des civiles sans vies à Mavivi le jeudi 24 décembre 2015 a Anzuma, Avemba et Tepiomba. Ces citoyens ont étaient tué ce jour là par les faux Adf-Nalu par machette. Le 25 décembre de ce mois, ces même groupe rébélles ont fait un nouveau éccursion au village de MAYANGOSE, tout près de la ville de Beni où, ils ont encore tué les habitants de cette parti du térritoire de Beni. Bilan, plus des 8 morts des civiles, des maisons dela population, incéndiées, des poules, canards, chèvres, et autres biens des civiles emporté par les rébélles du groupe armée des Adf-Nalu. Donc aujourd' hui la population de Beni térritoire vivent dans l'insécurité totale des Adf-Nalu qui nous térrorisent. Celle d'Oïcha a eu lieu le 08/10/2014 donc plus d'une année jours ou jours nos frères du chef-lieu du térritoire de Beni ont étaient tué àla machette, hache, couteau, par les rébéles Adf-Nalu 1. Du 04 au 05/10/2014 : En village MUKOKO, situé à plus ou moins 5 kilomètres d’Oïcha du côté gauche de la route principale nationale n° 4. Ce jour 2 personnes ont été tuées, par des hommes armés identifiés comme ADF, 3 autres avaient été enlevées avant d’être libérées par les FARDC. 2. Le 06/10/2014 : Au village LINZO-SISENE,sur l’axe Oïcha-Eringethi. 7 personnes tuées,12 blessés par machette et haches, 8 personnes portées disparues jusqu’à présent. 3.Du 5 au 06/10/2014 : Dans les villages MAYIMOYA, MAIBO et KISIKI tous situés sur l’axe Oïcha-Eringethi: 9 personnes tuées. 4.Le 08/10/2014 : En Cité d’Oïcha, Quartier BAKAIKU, Cellule Aliaki/MAMIKI, 9 personnes tuées dont 5 d’une même famille. L’opération avait fait 2 blessés. 5.La nuit du 15 au 16 octobre 2014 : incursion d’hommes armés dans les cellules de Ngadi et Kadou dans les périphéries de Beni. Plus ou moins 30 morts et plus de 10 blessés. Rappellons que, le 08/10/2014 la cité d'Oïcha, été attaqué par ce même rébélles Adf-Nalu présume assasin précisement dans une célule Mamiki. Ce jour là 9 personnes ont etaient tuées à Oïcha, dans une attaque des des rebelles ougandais des ADF-Nalu dans la soirée du mercredi 8 octobre en chef lieu du territoire de Beni,dans la province, du (Nord-Kivu). Des sources locale dans la région ont rapporté que les habitants d’Oicha et d’Eringeti se sont déplacé abandonnant leurs localités et se sont dirigé vers les villes voisines de Beni et Butembo. Pour sa part la société civile locale, avec le président Lewisi Saliboko a témoigné que ces rebelles ougandais ont jeté deux jours avant des tracts à Eringeti, une localité voisine d’Oicha, promettant de venger leurs camarades tués pendant les opérations militaires menées par l’armée congolaise. D'autres sources ont indiqué que les rebelles se sont introduits dans plusieurs maisons avant d’abattre plusieurs personnes. Pour se venger de la complicité de villageois des environs de Beni-centre,dont la collaboration avec le Gouvernement aurait facilité aux FARDC de mettre les ADF-NALU en déroute et de réussir à détruire tous leurs camps,au cours d’une opération-éclair connue sous le nomde code terrible de“SOKOLA” (signifiant : nettoyer,en langue lingala) « Antithèses »1. Ça ne tient pas du tout la route car, la plupart des jeunes gens engagés dans les rangs de l’ADF-NALU, sont des fils et petits-fils de ces villageois qui sont massacrés depuis Août 2014 jusqu’à ce jour. Le 08/10/2015 mr Paluku, Jean Paul Ngahangondi le président nationale d'une ONG, Convention pour le respect des droits de l'homme CRDH en sigle, vient de publié un communiqué sur son compte facebook en disant que , mes chers amis : JUSTICE INTERNATIONALE: Le Procureur de la Cour Pénale Internationale ( CPI) vient d'accuser la réception du rapport pubier fin Septembre 2015 par l'Organisation de défense des droits humais "Convention pour le respect des droits de l'homme" CRDH en sigle. Dans ce rapport de 16 pages intitulé MASSACRES DE LA POPULATION DE BENI VILLE ET TERRITOIRE, COMPLOT BIEN ORCHESTRER, votre Organisation avait demandée au Procureur de la CPI d'ouvrir les enquêtes internationales indépendantes pour identifier les vrais auteurs , leurs complices, et les bénéficiaires ultimes de cette campagne de tueries. Cette ong souhaite l'arrestation des personnes complices, en traduisant dévant la justice et le faire condamner. Compte tenu du manque de crédibilité des autorités Congolaises nous avions demandés l'implication personelle de la CPI et il vient d'accuser reception de nos rapport.

La République démocratique du Congo est, dans ses frontières du 30 juin 1960, un État de droit, indépendant, souverain, uni et indivisible, social, démocratique et laïc. Article premier dela constitution. Il est interdit à toute personne jouissant régulièrement du droit d'asile d'entreprendre toute activité subversive contre son pays d'origine ou contre tout autre pays, à partir du territoire de la République démocratique du Congo Article 33 . La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces de l’ordre et de sécurité dans le territoire de Beni. Depuis que le gouvernement a lancé des opérations contre les ADF en 2010, ils sont devenus agressifs. Ils sont au courant qu’il y a une coopération entre l’armée ougandaise et congolaise pour lancer une offensive. C’est pour ça qu’ils sont plus méchants avec la population », affirme-t-il.« Les ADF-Nalu interdisent aux civils d’aller dans les champs, car il peut y avoir des militaires qui se déguisent en civils pour essayer de les attraper. Depuis des années, les ADF-Nalu terrorisent des dizaines de milliers de civils dans la région de Beni, dans le Nord-Kivu. Kidnapper des femmes, des jeunes, parfois des familles entières pour peu qu’elles se soient trouvées dans les champs au mauvais moment, c’est en effet la marque de fabrique des ADF-Nalu, une rébellion ougandaise. La société civile de de Beni térritoire déplore la situation et demande une plus grande implication des autorités en vue de sécuriser la population. Depuis ce temps, les rebelles multiplient des massacres et n’hésitent pas à s’attaquer même aux forces onusiennes. C’est ainsi que début mai, un hélicoptère de l’Onu a essuyé des tirs qui l’ont forcé à atterrir en urgence. L’appareil transportait le commandant de la Monusco, le général brésilien Carlos Alberto Dos Santos Cruz. Le lendemain, deux casques bleus tanzaniens et deux civils ont été tués dans une embuscade. Face à cette situation l’urgence s’impose, c’est ainsi que l’appel a été lancé au Gouvernement et à la Mission de l’organisation des Nations Unies pour la stabilisation du Congo (Monusco) d’agir immédiatement afin de limiter la catastrophe, d’autant plus que, l’heure est grave.RDC : Les ADF-NALU toujours actifs au Nord-Kivu. Visiblement, ce qui se produit à Beni et Oïcha serrait l’œuvre des grands groupes de jeunes chômeurs qui traînent sans but avec peu ou rien à voir. Ces jeunes gens sont le fourrage pour les groupes Maï-Maï locaux fragmentés qui sont souvent formées par des ex-soldats mécontents et la cruauté, la peur dues aux massacres à répétition attribués aux rebelles ougandais des ADF et qui ne cessent d’endeuiller le territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu sont devenues le quotidien des habitants de ce vaste territoire. Il faut rétablir (…) la confiance entre la Monusco, les FARDC et la population », plaide-t-il. Car, relèvent plusieurs experts, rapporte l’Afp, » les ADF n’ont pas toujours été hostiles à la population locale, avec laquelle ils ont noué au fil des années de nombreux liens commerciaux ou familiaux ». Porte-parole militaire de la Monusco, le lieutenant-colonel Félix-Prosper Basse, se veut rassurant. « Nous sommes dans une dynamique de recherche des meilleures stratégies à mettre en place pour contenir ces massacres », déclare-t-il. Il reconnaît au passage que la mission onusienne a » un problème de renseignement » à corriger avec le soutien de la population. Président du Caucus des députés du Nord-Kivu, Juma Balikwisha, reconnaît, à l’instar du gouvernement, et donc des Fardc, que les tueries du territoire de Beni rentrent dans la logique de la guérilla. « C’est inquiétant, parce que pour gagner une guérilla, ou le terrorisme, il faut une complicité totale avec la population. Moi je pensais que c’est une guerre qu’on veut nous imposer. Je demande au gouvernement de se pencher aussi sur cette piste au lieu de se concentrer seulement sur la piste ADF », précise-t-il. manipulés par les politiciens de la région, en lutte de positionnement. Aujourd'hui des informations à notre possession indiquent que la Coalition terroriste s'est assigné comme objectif poursuivre ses attaques en vue d'occuper l'axe BENI-ERINGETI. Tout porte à croire que si rien n'est fait le plus tôt, MBAU (chef-lieu de la Collectivité Beni-Mbau), OICHA (chef-lieu du Territoire de Beni) ainsi qu'ERINGETI, sont les cibles immédiates de ces rebelles.
Ces entités seraient déjà encerclées par la coalition terroriste des rebélles ougandais qui, faudra-t-il le rappeler, manifeste sa présence par des enlèvements massacres récurrents dela population.

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