Un groupe des gens d' expression dela langue Rwandophone sont, chassés de Boga, Mitego, et Zunguluka, dans l'actuel province del' Ituri, où ils sont parti, àla recherche des sols capable de produire tout les produits d'agriculture! des retournés hutus rentrent del'Ituri, vers térritoire de Masisi dans la province du Nord-Kivu.

Sur la route N0-2, le premier convoi des hutus qui se soumet à cet exercice a été visible à Butembo jeudi 9 juin 2016. Il voyageait à bord d’un minibus bien rempli de femmes, adolescentes, jeunes gens et des hommes.
« Nous venons de l’Ituri pour chez nous parce que les autochtones nous ont expulsés », ont lancé ces migrants qui ont accepté d’échanger très brièvement avec notre reporter hors micro. Selon notre source, ces citoyens hutus ont été embarqués à bord des voitures qui ont quitté, la province l’Ituri la soirée de mercredi 8 Juin et le matin de jeudi 09 juin 2016.
« Ils viendront en masse. D’autres hutus sont en train d’envisager rentrer chez eux à Masisi », chuchote une source sécuritaire. Cette dernière poursuit que des autochtones de certains coins de l’Ituri ne veulent plus de la présence des hutus dans leur contrée. Motif, l’instabilité sécuritaire depuis leur arrivée. Un groupe d'hommes supposés comme des rwandophones en provenance de Bunia/ITURI a été visible le jeudi 09/06/2016 à la Mairie de Butembo.
Personne (y compris la presse) n'était
autorisée de les entretenir pour avoir
des explications sur leur présence en ce lieu, ni sur leurs vraie identité. On
suppose qu'ils sont allés viser leurs feuille de route.
Selon Radio Moto Butembo-Beni, ces hommes seraient en train de retourner.
à Masisi par craindre des menaces
leur préférées par les peuples
autochtones de l'Ituri.
Très vite, certains auditeurs n'ont pas.
traîner d'exprimer leur satisfactions.
par rapport à ce mouvement de
retour.
(Attention. n'allez pas vite en
besogne!).
Pendant ce temps, nous apprenons
que les FDLR reprennent les hostilités
à Walikale, à RUTSHURU et au Sud de
LUBERO... (À vérifier...)
Par ailleurs, ce vendredi, nous
apprenons que les mouvements des hommes qui seraient fidèles à
Bisambaza seraient en train de
s'organiser pour attaquer
Kanyabayonga via Kitibito et
Nutalongola alors que d'autres
seraient en train de venir par Nyazale
(RUTSHURU)
Or à Butembo, on redoute l'infiltration de ces mêmes rwandophones qui se
font passer soit pour étudiants, soit pour motards (à vérifier).
N'y a-t-il pas des relations entre ces mouvements de retour et la rébellion qui serait en gestation à RUTSHURU,
Walikale, LUBERO, Beni, Ituri (Irumu)?
En effet, on vu comment, quand
naissait le M23, les FARDC fidèles au Rwanda, ont fait défection pour aller renforcer la rébellion...
Soyons prudents. Nous mourrons,
certes, mais les quelques gens qui
vont rester ne doivent pas autoriser que des étrangers s'approprient la
terre de nos ancêtres Le gouverneur du Nord-Kivu Julien Paluku Kahongya a décidé, samedi 28 mai 2016, de suspendre tous mouvements des populations jugés suspects au Nord-Kivu. Le N°1 de la province dit prendre en compte les préoccupations exprimées par les députés provinciaux au cours de la plénière de vendredi 27 mai 2016 portant notamment sur l’insécurité dans le territoire de Beni.
« Eu égard à la résolution du comité provincial de sécurité en la matière, je vous demande, toutes affaires cessantes, de prendre toutes les dispositions utiles en vue de suspendre les mouvements suspects des populations dans vos entités respectives »,a indiqué l’autorité provinciale dans une note circulaire.
D’après plusieurs sources, ces populations proviennent surtout des territoires de Walikale et de Masisi dans la partie ouest de la province du Nord-Kivu. Le député Jaribu Muliwavyo parle même de certaines qui viendraient de l’Ouganda. Dans une note circulaire signée samedi 28 mai à Goma, il motive cette mesure par l’insécurité qui a occasionné des massacres des populations civiles dans la région.
Julien Paluku demande dans cette circulaire aux maires des villes, aux administrateurs des territoires, aux bourgmestres des communes et aux chefs des chefferies et secteurs de suspendre les mouvements suspects des populations inconnues dans leurs entités respectives.
Cette décision satisfait Juma Balikwisha, député national élu de Beni.
« C’est une piste dans la résolution des problèmes d’insécurité. J’aurais aimé qu’on renforce la mesure », affirme-t-il, plaidant pour un arrêt définitif des mouvements suspects des populations.
Le début des massacres dans le territoire de Beni en octobre 2014 a coïncidé avec l’intensification des mouvements des gens.
À Beni ville:
Le mardi 07 juin 2016, un immigrant clandestin a été intercepté dans la ville de Beni. Cet homme est, à vrai dire, un expert criminel rwandais qui aurait rejoint l’équipe des migrants dans la précipitation, vu qu’il n’a même pas eu le temps de se débarrasser des indices pouvant trahir sa provenance.
Ne sachant quoi faire pour se déguiser lorsqu’il devait traverser la grande agglomération de la ville de Beni, l’homme s’est masqué sous l’apparence d’un fou : il était en une petite culotte de la taille d’un caleçon, pied nu et portant au dos un sac très sale. Il venait de réussir à franchir le niveau du Rond-point Nyamwisi et fonçait déjà en direction de Boïkène, sur l’axe qui mène vers Oicha.

Commentaires