La RDC sur les chapeaux de roues avec trois buts à un àla faveur dela République Démocratique du Congo, et se califie, pour le quart de final dela CAN 2017 : Dès les premières minutes, les joueurs du Togo essayent de prendre le jeu à leur compte, car pour se qualifier, ils doivent remporter cette rencontre face aux Congolais. Leur domination stérile va toutefois pousser les Léopards à réagir par l’inévitable Junior Kabananga. A la 28e minute, Junior Kabananga, lancé en profondeur par Chancel Mbemba, arrive à se défaire du marquage de Serge Gakpé. Il frappe du pied gauche en rentrant dans la surface et ne laisse ainsi aucune chance au portier Cédric Mensah. Une entame difficile pour le gardien togolais, qui est entré en jeu quelques minutes plus tôt après la blessure du titulaire, Baba Tchagouni. Ils ont gagné avec la manière, 3-1, face à une sélection togolaise qui a montré ses limites physiques. la RD Congo s’assure la première place avec 7 points :

Le score à la fin de la première période reflète l’équilibre entre les deux équipes. La RD Congo a même une autre occasion de but flagrante. À la 45e minute, Junior Kabananga, encore lui, place un coup de tête, à la suite d’un corner. Le ballon finit sur le poteau du Togo.
Les Eperviers lâchent prise :
La volonté de bien faire des Eperviers, commandés par l’entraîneur français Claude Le Roy, était visible sur le terrain, avec. Tout les joueurs qui se sont, montrés de la détermination dans les duels. Mais physiquement, les choses n'ont pas marchés, pour les joueurs du Togo affaiblie de plus que les Togolais sont à bout, qu'ils n’ont plus beaucoup de ressources.
D’ailleurs, c’est une erreur d’inattention qui va amener le deuxième but. A la 54e minute, sur un long dégagement en cloche des Congolais, c’est Firmin Mubele qui récupère le ballon, avec une défense togolaise totalement passive. L’attaquant de la RD Congo se présente seul face au gardien, qu’il lobe tout en subtilité. L’écart se creuse et la qualification se rapproche pour les Léopards.
Les Togolais ont un sursaut d’orgueil à la 69e minute. Kodjo Fo Doh Laba frappe pied gauche à l’entrée de la surface et trompe le portier congolais, Ley Matampi. Un but qui ne change toutefois rien à la situation. La RD Congo va en effet rétablir ses deux buts d’écart. A la 80e minute, sur la ligne des 16 mètres, Paul-José Mpoku tire un coup franc direct, imparable pour Cédric Mensah.
Le Togo n’aura pas démérité durant cette CAN 2017, en produisant un football attractif. Mais il n’aura remporté aucune rencontre. Quant à la RD Congo, avec 7 points, elle réussit le pari de terminer à la première place de ce groupe C qui, sur le papier, était certainement le plus difficile, et ce grâce à une victoire 1-0face au Maroc, au nul 2-2face à la Côte d'Ivoire, et à ce dernier résultat favorable, 3-1, face au Togo.
Le dimanche 29 janvier, la République Démocratique du Congo affrontera le deuxième du groupe D à Oyem, tandis que les Marocains joueront face au premier de cette même poule D à Port-Gentil. Ils ont gagné avec la manière, 3-1, face à une sélection togolaise qui a montré ses limites physiques. Le stade de Port-Gentil a accueilli le match entre les Congolais et les Togolais dans une bonne ambiance, ce 24 janvier. L’enceinte de 20 000 places a été bien garnie avec des supporters euphoriques durant toute la rencontre. Tous les ingrédients étaient donc présents pour un beau spectacle. La RD Congo affrontait, ce mardi 24 janvier, le Togo, lors de la troisième et dernière journée du groupe C de la CAN 2017. Les Congolais n’avaient besoin que d’un point pour assurer leur qualification.
Le football ivoirien a subi un grand coup d’arrêt, ce 24 janvier 2017 au Gabon. Son équipe nationale A, championne d’Afrique en titre, a été éjectée dès la phase de groupes de la CAN 2017. Pour trouver pire performance, il faut remonter à la CAN 2004 et à la non-qualification des « Eléphants » pour le tournoi. La sélection ivoirienne avait en effet franchi le premier tour des six dernières Coupes d’Afrique des nations…
La Côte d’Ivoire passera un autre test entre les mois d’août et de novembre 2017, avec la fin des éliminatoires africaines pour la Coupe du monde 2018. Elle disputera alors quatre matches cruciaux. Leurs résultats permettront de savoir si cette CAN 2017 a été un accident de parcours ou pas, les Ivoiriens ayant disputé les trois dernières phases finales (2006, 2010, 2014) du plus prestigieux tournoi de football.
Un sélectionneur fragilisé
Afin de décrocher la qualification pour le Mondial 2018, les dirigeants de la Fédération ivoirienne (FIF) vont sans doute se poser beaucoup de questions. La première sera vraisemblablement de savoir si Michel Dussuyerest toujours le sélectionneur qu’il faut aux « Eléphants ».
Dans pareille situation, il est en effet rare que la légitimité de l’entraîneur ne soit pas remise en cause. A raison ou pas. Or, le Français, en place depuis juillet 2015, présente un bilan contrasté, à la tête de l’équipe nationale A.
D’un point de vue strictement comptable, ses 5 victoires, 8 nuls et cette unique défaite, face au Maroc, n’ont certes rien d’infamant. Mais c’est davantage le manque d’efficacité offensive de la Côte d’Ivoire qui interpelle, depuis plusieurs mois.
Une équipe moins forte
L’explication semble pourtant simple : cette sélection ivoirienne est moins forte notamment que celle sacrée en 2015, en Guinée équatoriale. Elle dispose certes de jeunes joueurs brillants, notamment en défense, comme Serge Aurier (Paris Saint-Germain/France) ou Eric Bailly (Manchester United/Angleterre). Mais elle a aussi perdu beaucoup de joueurs emblématiques. L’équipe de football de la Côte d’Ivoire, championne d’Afrique en titre, a été éliminée dès le premier tour de la CAN 2017, ce 24 janvier à Oyem. Ce coup d’arrêt, après six qualifications de suite en quarts de finale du tournoi, s’explique en grande partie par une certaine régression, depuis deux ans. Explications.

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