LE FRONT-CITOYENS DELA NATION CONGOLASE POUR LES ELECTIONS DEL'ANNEE 2016 VEUT INTEROMPRE LE MANDAT EN COURS DU PRESIDENT JOSEPH KABILA : Les flatteurs cherchent à séduire Kabila. Elu en 2006 et 2011 quoique sur fond de contestation,Joseph Kabilaest celui qui incarne sa majorité. Appelé autorité morale, Kabila est ce président qui a dit ouvertement, le plus officiellement du monde, il l’ya quelques années qu’il n’avait pas de collaborateurs véritablement soucieux de l’aider à aller de l’avant. A l’époque, ses déclarations avaient soulevé des vagues et ce fut une aubaine pour les membres de l’opposition qui l’attaquaient justement sur ce front. Au vu de ce qu’on observe dans les milieux politiques, il y’a lieu de se poser cette fameuse question. Qui est avec Kabila et qui n’est pas avec lui ? Pourtant à travers les chaines de télévisions chaque jour qui passe beaucoup vantent le nom du ‘’Raïs’’. Pour des petits et grands faits, le nom du Chef est porté en triomphe. Chaqu’un veut que se faire remarquer par le Chef. On flatte le président de la république, on l’amadoue en longueur des journées avec espoir de tirer des dividendes de cette action de charme. A l’opposition on appelle les personnes qui flattent : ‘’Atalaku’’. Entendez par là celui qui glorifie quelqu’un les yeux fermés. Pourtant avant eux il y’a eu certains qui ont crié sur tous les toits le nom de Joseph Kabila sans trouver gain de cause. Ils ont attendu des nominations, des élévations qui ne sont pas venues. Ces derniers découragés et furieux sont par la suite devenus opposants Juste par vengeance. Les cas sont connus. Ceux qui n’ont pu rejoindre l’opposition sont restés dans la majorité tout en étant agris, parlant de Kabila durement dans les cercles fermés. Pourtant la bible dit que l’amour n’attend rien en retour. Ces genres d’hommes politiques ne visent que le fauteuil, les fonctions. Ils ont appris à leur dépend à connaître Kabila qui il faut le dire n’est pas comme Mobutu. On le sait, Joseph Désiré Mobutu affectionnait qu’on l’adore. Le Léopard a appelé au près de lui les personnalités politiques qui l’adulaient. Mais Kabila n’est pas Mobutu. Vous pouvez chantez son nom en longueur des journées à la télé et à la radio il n’en a que faire. Joseph Kabila par contre, il nomme qui il veut, quand il veut pour une mission qu’il veut. Kabila sait détecter les flatteurs. Il sait qui peut remplir telle ou telle mission. Il connait quasiment tous les hommes politiques de l’opposition comme de la majorité. La bible ne dit t’elle pas que plusieurs me diront : ‘’Seigneur n’ai-je pas prêché ta parole, n’ai-je pas prophétisé en ton nom ’’. Et Dieu dira, je ‘’ne vous ai jamais connu’’.Les investigations autour du complot d’atteinte à la sûreté de l’Etat congolais éventré dans le dimanche dans le Chef des activistes sénégalais et burkinabé viennent d’être suspendus par le Chef de l’Etat en dépit de la gravité de ses révélations pour lesquels ces suspects sujets étrangers viennent d’être expulsés du territoire congolais Le Président Joseph Kabila Kabange a ordonné, à la demande de son homologue sénégalais, Macky Sall, l’arrêt des poursuites engagées contre trois activistes sénégalais et un burkinabé interpellés dimanche 15 mars pour tentative d’exportation des révolutions violentes en RDC au cours d’une conférence de presse clandestine dans un faubourg de Kinshasa. Les quatre comparses ont été déclarés personae non grata et une procédure d’expulsion du territoire congolais est d’ores et déjà engagée contre eux. Selon le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, ministre de la Communication et des médias, qui a livré cette information au cours d’un point de presse mercredi à Kinshasa, il s’agissait d’une « tentative de déstabilisation des institutions nationales inspirée de l’extérieur ».« Ils ont recouru à des instructeurs étrangers spécialistes en insurrections violentes pour qui plus de 100.000 dollars US avaient été mis à disposition dans un établissement bancaire parmi les mieux côtés du pays pour apprendre à des Congolais des rudiments du chaos, de la confusion et des séditions », a déclaré le ministre. Il a, dans ce contexte, stigmatisé la présence sur les lieux de la conférence de presse d’un diplomate américain en poste à Kinshasa. « Une ambassade étrangère établie à Kinshasa a reconnu avoir pris partiellement en charge les frais de cette opération qui a été lancée par ses auteurs les 14 et 15 mars 2015 avec l’encadrement des leaders des mouvements « Y’en a marre » du Sénégal et « Balai citoyen » du Burkina Faso, a soutenu M. Lambert Mende. Le porte-parole du gouvernement a également annoncé qu’un mouvement congolais recruté à l’Est du pays et dont les leaders ont été transportés à Kinshasa, a été mis à contribution dans cette tentative de déstabilisation qui visait à perturber le processus démocratique et électoral. Parmi les quels Kabila ne connait que ceux qui ont réussi à trouver grâce à ses yeux et là il y’a beaucoup des complices.

Pour le gouvernement de la RDC, il est évident qu’une main noire s’active depuis le début de l’année à déstabiliser les institutions de la République Démocratique du Congo, au mépris de la volonté de paix exprimée par les Congolais, engagés dans un processus démocratique « ouvert et serein » après des années de guerre qui n’ont que trop endeuillé leurs familles.
En raison de l’importance et de la haute portée politique de cette communication du gouvernement, l’ACP se fait le devoir d’en publier,
Le ministre Lambert Mende fait le point sur le dossier
« Depuis quelques jours, on assiste à une surchauffe médiatique et à une véritable levée de boucliers au sein de certaines chancelleries à la suite de l’interpellation dimanche dernier à Kinshasa d’un groupe d’activistes sénégalais et burkinabé, apprentis exportateurs de révolutions extrémistes et de leurs complices congolais. Pour des besoins d’enquête, d’autres personnes trouvées sur les lieux de cette interpellation ont été identifiées et entendues avant de pouvoir rentrer chez elles. C’est le cas de quelques journalistes et d’un diplomate de l’ambassade des USA.
Face à la mauvaise foi des uns et à l’hypocrisie des autres dans cette affaire, il revient au gouvernement de rétablir la vérité. Il s’agit en fait d’une tentative délibérée de déstabilisation des institutions de notre pays auxquelles les initiateurs de ce projet ont décidé de s’en prendre par tous les moyens, y compris l’extrémisme violent pour les faire « dégager » comme ils ont l’habitude de le dire sans tenir compte de leurs mandats constitutionnels.
La réaction ferme des services du gouvernement a permis de faire échec à ces téméraires qui apprennent ainsi que le gouvernement congolais ne se dérobera à aucun moment et sous aucune forme de pression devant des missions régaliennes. Une ambassade étrangère établie à Kinshasa a reconnu avoir pris partiellement en charge les frais de cette opération qui a été lancée par ses auteurs les 14 et 15 mars 2015 avec l’encadrement des leaders des mouvements « Y’en a marre » du Sénégal et « Balai Citoyen » du Burkina Faso.
Un mouvement congolais recruté à l’Est de notre pays et dont les leaders ont été transportés à Kinshasa pour accomplir leur besogne a été à la manœuvre. L’objectif avoué des maîtres d’œuvre sénégalais et burkinabé et leurs exécutants congolais était de perturber le processus démocratique et électoral dans notre pays, un processus qu’ils considèrent comme trop lent et peu susceptible d’aboutir aux résultats partisans escomptés par les sponsors. Ils ont reconnu eux-mêmes s’inspirer du printemps arabe qui a fait tout le bien que l’on sait à nos frères libyens et à la « révolution » de 2015 au Burkina Faso qu’ils tiennent on ne sait trop pourquoi à jumeler avec l’histoire de la RDC. Trois activistes du mouvement sénégalais « Y’en a marre » sont venus à ce rendez-vous. Il s’agit de :
1.- Barro Cheikh Mohamed, né à Kaolack le 04 janvier 1977, titulaire du passeport sénégalais n° A 0067970 avec le visa d’entrée n° 132 89/RDC/15F85 délivré par notre ambassade à Dakar le 16 février 2015.
2.- Sane Aliou, né à Kolda le 05 juin 1982, passeport sénégalais n°A006680044 portant un visa aéroportuaire délivré le 13 mars 2015 par la DGM à Kinshasa sous le n° 06.3.M/A.N./N°1610/15 ;
3.-Talla Malal Almamy alias Fou Malade, né à Saint Louis le 19 juin 1974, passeport sénégalais n°A 01246740 sur lequel a été apposé le visa d’entrée n° 132.19/RDC/17F/15 délivré par l’ambassade de la RDC à Dakar le 16 février 2015. Ils sont arrivés à Kinshasa le 13 mars 2015 à 11h10 par le vol régulier de Kenya Airways en provenance de Dakar via Nairobi. Les trois ont été rejoints le même 13 mars 2015 par un Monsieur Ouedraogo Sibri, alias Oscibi Jhoan, sujet burkinabé et leader du mouvement « Balai Citoyen » arrivé lui a Kinshasa à 21h25 par le vol Turkish Airlines en provenance de Ouagadougou via Istanbul. Ouedraogo Sibri est né à Bologo Bingo le 1er janvier 1970 et son passeport burkinabé n°A 2014013 a reçu le visa aéroportuaire délivré par la DGM sous le N° 06D.3M/A.N./N° 1623/15. Les quatre comparses se sont fait délivré des visas en bonne et due forme pour entrer en RDC sur la base d’une invitation d’une ancienne société industrielle congolaise, Mazal, une société qui avait été dissoute depuis 1995 mais que l’invitation situait fallacieusement au N° 154 de l’Av. Colonel Mondjimba. Notre compatriote Floribert Anzuluni, directeur à Ecobank Kinshasa est signalé par les enquêteurs comme l’auteur de cette supercherie. Il serait utile qu’il se présente au devant desdits enquêteurs pour clarifier les choses à ce propos. L’agenda de leur séjour en RDC des prénommés activistes sénégalais et burkinabés, est rédigé en anglais alors que ni leurs pays d’origine, ni la RDC ne sont anglophones. Il a culminé avec l’organisation de deux activités importantes, à savoir
- le 14 mars 2015, de 12 à 15 heures, un atelier de sensibilisation de la jeunesse aux techniques de mobilisation de trouble.

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