RDC BENI TÉRRITOIRE : UNE NOUVEL ATTAQUE DES PRÉSUMÉES ASSASSINS DES RÉBÉLLES OUGANDAIS DES ADF-NALU SIGNALÉE À KOKOLA LE LUNDI 18 JANVIER 2016 VERS 17 PASSÉ. Bilan, un Taximan tué, deux boutiques, des poulles, chèvres, pharmacie, un kiosque et une partie dela maternité pillé et incendié, c'est resultat de l'incurssion des ADF-NALU à Kokola, localité, situé à plus de vingt km au nord dela commune rurale d'Oicha sur le troçon routier Beni Eringeti, dans le groupement de Bambuba-Kisiki, Sécteur de Beni-Mbau Route N¤4. Informé dela présence de ces térroriste dans cette parti du térritoire, Les FARDC et la Monusco ont commencé à tirer des coups des balles contre ce groupe d'homme armée qui se sont rétraché dans la brousse après leurs forfait de térrorisme. Cela s'ajoute à, une autres attaque de ce même présumés rebelles ougandais des ADF enrégistré, le mercredi 13 janvier après-midi par les FARDC et les casques bleus de la Monusco à Opira un village situé à environ 50 kilomètres au nord-est de la ville de Beni (Nord-Kivu). Selon des sources militaires, les assaillants ont attaqué une position des FARDC et une autre des casques bleus dans la région. D’après des sources locales, l’action des FARDC et des casques bleus ne s’est pas faite attendre. Ces derniers auraient repoussé les rebelles, après une quarantaine des minutes de violents affrontements. Selon les sources militaires, ces assaillants avaient pour objectif de se ravitailler en vivres et minutions, sans y parvenir. Dans cet combat, quatre militaires congolais ont été tués mercredi 13 janvier au cours d’une attaque simultanée d’une position de l’armée et des casques bleus de la Monusco par des présumés rebelles ADF à Oipra dans le territoire de Beni. Selon le porte-parole des opérations Sokola 1, lieutenant Mak Hazukay, sept militaires étaient grièvement blessés au cours de l’attaque. Quatre ont succombé à leurs blessures ce jeudi dans la matinée. Pour le lieutenant Mak Hazukay, deux assaillants ont été tués. Les Forces armées de la RDC (FARDC) seraient à la poursuite des autres assaillants. Jusque-là aucun bilan n’est disponible côté casques bleus de la Monusco. «Pour l’instant, la situation à Kokola est sous contrôle de la coalition FARDC-Casque bleus de la Monusco», ont précisé ces sources. La fois passé, la localité d'Eringeti situé, à 55 km au nord dela ville de Beni sur la RN¤ été aussi sous contrôle des Adf-Nalu le dimanche 29 novembre 2015. Pour la CRDH, les rébélles sont venus pillé et tué la population innoncente car ils ont crépité les coups de balles pendant plusieurs heures tout en etant en train de tuer, pillé, emporté des biens dela population, de brûlé aussi le centre hospitalier de Eringeti en territoire de Beni à l'Est du pays. Ceci intervient après l'attaque du camp de l'armée congolaise par ces rébelles, dimanche soir dernier. Cela a crée un climat de psychose généralisée entre la population victimes des Adf. Les malades et infirmiers seraient déjà brûlés et sont les ADF qui ont contrôlé dans quelques heures Eringeti. Plus de 15 boutiques sont pillées et plusieurs autres maisons réduites en cendre. (Ce matin, des pauvres hélicopts de l'UN survolent les champs de cultivateurs de Beni sans rien appércevoir du mal), se désolent les victimes qui ont passées nuit en brousse avec de serpents. Beni térritoire Nord-Kivu : les ADF-Nalu sèment la terreur. Au moins 22 personnes ont été tuées et plusieurs blesés dans une attaque d’une extrême brutalité, des Adf-Nalu a rapporté la société civile de Beni ville et térritoire dans un communiqué publié ce lundi 30 novembre 2015. Parmi les disparus on compte 11 Adf-Nalu tué, 7 civiles, et 4 millitaires tombé dans le combat Selon la société civile, cette attaque porte la signature des ADF-Nalu, l’un des groupes rebelles les plus secrets et le plus redoutés en RDC. Depuis des années, les ADF-Nalu terrorisent des dizaines de milliers de civils dans la région de Beni, dans le Nord-Kivu. Aujourd’hui, plus qu’hier, bien que l’échec de la pensée et la montée d’une nouvelle barbarie nous mettent en face de la banalisation de la vie humaine en territoire de Beni, à l’Est de la République Démocratique du Congo, j’ai tout de même un rêve. Mais devant tant des massacres, faudrait-il rêver ou serait-il impérieux d’agir? Certes, on peut choisir d’agir mais on ne choisit pas de rêver. Sinon, j’aurais choisi d’agir plutôt que de rêver. Le rêve, cependant, peut avoir une origine. Pour ce qui me concerne, il s’agit d’une histoire récente. Aussitôt, je mis La Peste d’Albert Camus de côté et courus partager l’angoissante nouvelle des massacres à mon Supérieur, le Père Jean-Marie Meso Paluku. Le lendemain, nous eûmes une messe en mémoire de toutes les victimes en priant pour tous ceux qui meurent et pour la conversion des auteurs de ces crimes. Que d’innocents! Tués en arme blanche! Que d’instabilité sécuritaire pour une seule région! Le territoire de Beni est plongé dans une spirale de chaos, de barbarie.

Aujourd' hui les ADF-Nalu sèment la terreur dans la région. Au moins 22 personnes ont été tuées et plusieurs blesés dans une attaque d’une extrême brutalité, des Adf-Nalu a rapporté la société civile de Beni ville et térritoire dans un communiqué publié ce lundi 30 novembre 2015. Parmi les disparus on compte 11 Adf-Nalu tué, 7 civiles, et 4 millitaires tombé dans le combat Selon la société civile, cette attaque porte la signature des ADF-Nalu, l’un des groupes rebelles les plus secrets et le plus redoutés en RDC. Depuis des années, les ADF-Nalu terrorisent des dizaines de milliers de civils dans la région de Beni, dans le Nord-Kivu. Reportage ici du président d'une ONG connu sous le non de CEPADO. Plusieurs biens des villageois ont par ailleurs été emportés par les assaillants, ont-ils précisé. Alors que ce sont des véritables terroristes qui s’assignent pour mission islamiser de force toute la région et créer un Etat Islamiste dans la Région de Grand-Lac. Pour sa part, la société civile de Beni ville et térritoire encourage l’armée régulière congolaise de démanteler le centre international de terrorisme. La guerre en RDC témoigne du réveil d’une guerre qui couvait depuis des années. Au-delà des réactions émotionnelles que suscitent les images, toujours recommencées, des victimes civiles fuyant les zones de combat, les pillages et les viols perpétrés par toutes les forces armées impliquées dans le conflit ou celles du recrutement forcé d’enfants soldats, se posent des questions de fond. Quels sont les acteurs d’un conflit dont la durée et les rebondissements après chaque phase d’accalmie signifient qu’il est l’expression de tensions structurelles ? Depuis ce temps, les rebelles multiplient des massacres et n’hésitent pas à s’attaquer même aux forces onusiennes. C’est ainsi que début mai, un hélicoptère de l’Onu a essuyé des tirs qui l’ont forcé à atterrir en urgence. Enchâssé dans l’entité géopolitique des Grands Lacs, le Kivu est partie prenante, d’un système régional de conflits. La guerre qui s’y déroule constitue une sérieuse entrave à la reconstruction de la RDC, et une menace pour la stabilité de toute la région : aujourd’hui plus que jamais le Kivu est la poudrière de l’Afrique Centrale. Après des incursions successives des miliciens ADF dans les localités de Linzo-Sisene, Mayi-Moya, Kisiki et Maibo dans le groupement de Bambuba-Kisiki sur l’axe Oicha-Eringeti, dans le secteur de Beni-Mbau, rappelle-t-on, ces terroristes viennent d’opérer un véritable carnage à Oicha, chef-lieu du territoire de Beni. Toutefois, avec les ingrédients de l’histoire tumultueuse de la RDC depuis 1960, l’enjeu que représente Beni mérite d’être perçu différemment… Près de 250 morts en un mois ou presque, et cela à raison d’une trentaine un jour, d’une vingtaine un autre jour, d’une quarantaine encore un autre jour, quand ce n’est pas une dizaine ou moins d’une dizaine : le territoire de Beni est en train de subir une épreuve que jamais les autres territoires de l’Est n’ont jusque-là connue, et cela dans un laps de temps si court. La guerre en RDC témoigne du réveil d’une guerre qui couvait depuis des années. Au-delà des réactions émotionnelles que suscitent les images, toujours recommencées, des victimes civiles fuyant les zones de combat, les pillages et les viols perpétrés par toutes les forces armées impliquées dans le conflit ou celles du recrutement forcé d’enfants soldats, se posent des questions de fond. Quels sont les acteurs d’un conflit dont la durée et les rebondissements après chaque phase d’accalmie signifient qu’il est l’expression de tensions structurelles ? Enchâssé dans l’entité géopolitique des Grands Lacs, le Kivu est partie prenante, d’un système régional de conflits. La guerre qui s’y déroule constitue une sérieuse entrave à la reconstruction de la RDC, et une menace pour la stabilité de toute la région : aujourd’hui plus que jamais le Kivu est la poudrière de l’Afrique Centrale. Insécurité à Beni : Adf-Nalu sur les traces de Boko Haram ? La cruauté, la peur dues aux massacres à répétition attribués aux rebelles ougandais des ADF et qui ne cessent d’endeuiller le territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu sont devenues le quotidien des habitants de ce vaste territoire. Ces rebelles sont de plus en plus actifs et continuent de défier les forces de l’ordre congolaises, les autorités y comprises. La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces de l’ordre et de sécurité dans le territoire de Beni. Depuis octobre, plus de 300 personnes hommes, femmes, enfants ont été massacrées dans ce territoire.

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