Un convoi des hommes minue des armes à feu, ont étaient aperçu au Sud du térritoire d' Irumu dans deux Villages de Lintumbe/Mutwei 2h de marche à pied vers l' Ouest de ndalya le 08 mai 2016, un groupe d'hommes armés avaient envahis le lieu de deuil chez le chef kausa à 12h parlant swahili et kinyarwanda. Aucun dégat, n' est enrégistré! car tout le monde avait fuit. Mardi 10/5/2016 à 14 heures un passage des 16 commandos à Makutano/kano 6km de samboko dans la province du Nord-kivu à 13km d' Eringeti une localité situé à plus au moin 50 km au Nord de Beni ville sur le long dela Route N0-4 en térritoire de Beni. Ces hommes lourdement armés, ont démandé les reseignements au deux machinistes des bois, sur la distance de Beni, eringeti, mukakira, mavivi avec 2 GPS à leurs mains! ceux ci parlant kinyarwanda et kiswahili. Dimanche 15/5/2016 à kiravo, 22 millitaires avec 5 armés en chaînes et autres ont capturé 4 mamans au huilerie et les relachées après 2h du temp. Ils ont dit aux mamans que le temp est déja venu ou le kinyarwanda sera une langue nationale. Que tout le monde puisse l'apprendre . Denonciation faite par la CRDH Province de l'Ituri.
Au sud del' Ituri, 8 civils ont étaient tué, avec deux motos taxie, un camionette, dela marque HULUX en couleur noire, sans oublier, un Centre de Santé dela place, plusieurs maisons des habitants brûlé, deux capturé parmi, les assallants, et 2 morts au conté des rébélles : tel est le bilan définitif d' une nouvel attaque des hommes armés identifié au groupe des rébélles Ougandais des Adf-Nalu, dans l' après midi du samedi 14 mai 2016 à KATABEI un village situé sur le long dela route N¤ 4 au Sud du térritoire d' Irumu, Province del' Ituri, à plus au moin 8 km au Nord du centre d' ERINGETI. Le danger est entrain de resserrer davantage l’étau sur le Kivu et L’Ituri. Tirer la sonnette d’alarme au moment opportun aidera à prévenir le pire. pour l’assaut final de Beni-Ituri. Et c’est depuis le 12 mai 2016 que les services de Beni-Lubero Online ont noté le début de leur entrée effective en R.D. Congo par Goma. A leurs arrivée à Goma, certains reçoivent les uniformes des Forces Armées de la République Démocratique Du Congo (FARDC.
En Ituri et à Béni : environ soixante mille (60.000) Hutu ont été infiltrés dans les contrées de Boga et Tchabi, au sud du territoire d’Irumu, depuis 2012 jusqu’à ce jour. Ce sont des Hutu rwandais les génocideurs du 1994 amenés sur le sol congolais en utilisant le gouverneur Julien Paluku – pour couvrir leurs immigration clandestine et leur transport vers Béni et Ituri –, et l’ex-gouverneur AUTSAI ASENGA de la province Orientale pour leur installation. Nos gouvernants, sans froid aux yeux, ont toujours menti aux autochtones que ces immigrés sont des congolais de Masisi et Rutshuru en quête de terres arables. Les autorités n’ont jamais permis qu’ils soient identifiés par des services spécialisés. Par, conséquent, il est désolant de constater que ces « intrus » se comportent la journée en civils doux et humbles, mais, qui deviennent, la nuit, des militaires bien équipés en tenues et en armes pour patrouiller dans le rayon qu’ils occupent. En effet, des avions ont fait de rotations à l’aérodrome de Zunguluka dans la Chefferie des Walese Vonkutu en térritoire d' Irumu, pour leurs apporter de quoi s’équiper militairement jusqu’en avril 2016. La destination privilégiée de ces Rwandais reste le secteur de Beni et l’Ituri. Ils voyagent souvent la nuit bien armés pour ne pas être vus. A en croire, nos sources, il est aussi prévu d’infiltrer ces sujets rwandais partout dans la région parmi les unités locales. Les masques sont en train de tomber. C’est en vue de leur infiltration que le gouverneur avait intimé l’ordre aux maires du Grand Nord de supprimer tous les services de documents ni de marchandises. Au moment où nous bouclons cet article, nous apprenons que le gouverneur de la province d’Ituri aurait lui aussi demandé pour les mêmes motifs aux maires de sa province de démanteler toutes les barrières.
Ce dossier est à caractère urgent, vu que la dite infiltration a déjà commencé. Quoi de plus anormal et surprenant que ce plan d’infiltration coïncide mal avec l’annonce par le général MBANGU MASHITA Marcel, le commandant des opérations SOKOLA I à Eringeti, du déclenchement des actions de grandes envergures. Notre mémoire est encore fraiche. Derrière de telles opérations s’est toujours caché le projet de chasser les populations de leurs terres en vue d’y installer des étrangers. A considérer la présence de ces troupes rwandaises, la déclaration du Général Mbangu sonnerait-elle comme une préparation de dernières manœuvres pour l’assaut final sur Beni, Lubero et Ituri? Car les ex-CNDP et ex-M23, collaborant étroitement au projet d’occupation de l’Est du pays, inondent le commandement de la prétendue opération USALAMA (la paix) qu’annonce le général Mbangu ce 14 mai 2016 et beaucoup d’entre eux seraient impliqués dans les massacres qui sévissent dans ce milieu (lire à ce sujet notre publication du 10 mai dernier sur www.benilubero.com ). Comme par le passé, des combats seront annoncés et lancés. Les FADRC feront semblant de se battre. Ensuite, l’ordre viendra d’en haut pour qu’elles procèdent au repli stratégique. Et à la fin, elles laisseront en définitive le terrain libre à l’envahisseur, avant d’annoncer un début de négociations avec ce dernier et de renvoyer aux calendes grecques les élections. En effet, aujourd’hui la population de Beni-Lubero n’est plus dupe pour un groupe de 200 présumes ADF-NALU (S’il existe) On ne peut pas déployer dix bataillons. Le peuple ferra échec à cet agenda d’occupation.
Cette alerte s’adresse avant tout aux FARDC et à la PNC. Les militaires congolais devraient appliquer la plus grande vigilance et devraient vérifier minutieusement l’identité des nouveaux éléments qui jonchent leurs rangs pour dénicher les personnes dangereuses pour leur population, pour eux-mêmes et pour la patrie.
Cette alerte s’adresse ensuite à la MONUSCO et la communauté internationale. Non seulement elles doivent tenir efficacement leur part de responsabilité dans la tempête grandissante.
En Ituri et à Béni : environ soixante mille (60.000) Hutu ont été infiltrés dans les contrées de Boga et Tchabi, au sud du territoire d’Irumu, depuis 2012 jusqu’à ce jour. Ce sont des Hutu rwandais les génocideurs du 1994 amenés sur le sol congolais en utilisant le gouverneur Julien Paluku – pour couvrir leurs immigration clandestine et leur transport vers Béni et Ituri –, et l’ex-gouverneur AUTSAI ASENGA de la province Orientale pour leur installation. Nos gouvernants, sans froid aux yeux, ont toujours menti aux autochtones que ces immigrés sont des congolais de Masisi et Rutshuru en quête de terres arables. Les autorités n’ont jamais permis qu’ils soient identifiés par des services spécialisés. Par, conséquent, il est désolant de constater que ces « intrus » se comportent la journée en civils doux et humbles, mais, qui deviennent, la nuit, des militaires bien équipés en tenues et en armes pour patrouiller dans le rayon qu’ils occupent. En effet, des avions ont fait de rotations à l’aérodrome de Zunguluka dans la Chefferie des Walese Vonkutu en térritoire d' Irumu, pour leurs apporter de quoi s’équiper militairement jusqu’en avril 2016. La destination privilégiée de ces Rwandais reste le secteur de Beni et l’Ituri. Ils voyagent souvent la nuit bien armés pour ne pas être vus. A en croire, nos sources, il est aussi prévu d’infiltrer ces sujets rwandais partout dans la région parmi les unités locales. Les masques sont en train de tomber. C’est en vue de leur infiltration que le gouverneur avait intimé l’ordre aux maires du Grand Nord de supprimer tous les services de documents ni de marchandises. Au moment où nous bouclons cet article, nous apprenons que le gouverneur de la province d’Ituri aurait lui aussi demandé pour les mêmes motifs aux maires de sa province de démanteler toutes les barrières.
Ce dossier est à caractère urgent, vu que la dite infiltration a déjà commencé. Quoi de plus anormal et surprenant que ce plan d’infiltration coïncide mal avec l’annonce par le général MBANGU MASHITA Marcel, le commandant des opérations SOKOLA I à Eringeti, du déclenchement des actions de grandes envergures. Notre mémoire est encore fraiche. Derrière de telles opérations s’est toujours caché le projet de chasser les populations de leurs terres en vue d’y installer des étrangers. A considérer la présence de ces troupes rwandaises, la déclaration du Général Mbangu sonnerait-elle comme une préparation de dernières manœuvres pour l’assaut final sur Beni, Lubero et Ituri? Car les ex-CNDP et ex-M23, collaborant étroitement au projet d’occupation de l’Est du pays, inondent le commandement de la prétendue opération USALAMA (la paix) qu’annonce le général Mbangu ce 14 mai 2016 et beaucoup d’entre eux seraient impliqués dans les massacres qui sévissent dans ce milieu (lire à ce sujet notre publication du 10 mai dernier sur www.benilubero.com ). Comme par le passé, des combats seront annoncés et lancés. Les FADRC feront semblant de se battre. Ensuite, l’ordre viendra d’en haut pour qu’elles procèdent au repli stratégique. Et à la fin, elles laisseront en définitive le terrain libre à l’envahisseur, avant d’annoncer un début de négociations avec ce dernier et de renvoyer aux calendes grecques les élections. En effet, aujourd’hui la population de Beni-Lubero n’est plus dupe pour un groupe de 200 présumes ADF-NALU (S’il existe) On ne peut pas déployer dix bataillons. Le peuple ferra échec à cet agenda d’occupation.
Cette alerte s’adresse avant tout aux FARDC et à la PNC. Les militaires congolais devraient appliquer la plus grande vigilance et devraient vérifier minutieusement l’identité des nouveaux éléments qui jonchent leurs rangs pour dénicher les personnes dangereuses pour leur population, pour eux-mêmes et pour la patrie.
Cette alerte s’adresse ensuite à la MONUSCO et la communauté internationale. Non seulement elles doivent tenir efficacement leur part de responsabilité dans la tempête grandissante.
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